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23Juil/15
prier les uns pour les autres

Nous devrions nous aimer les uns les autres

243 Oh! prenez ces choses au sérieux! Nous devrions nous aimer les uns les autres! Oh! la la! Nous devrions être tellement amoureux! Ne dites jamais de mal les uns des autres. Si quelqu’un fait une erreur, priez pour lui tout de suite. Cela nous concerne tous, en Dieu. Nous sommes frères et soeurs. Oh, ayez une vie sainte! Vivez, vivez comme des filles de Dieu, vivez comme des fils de Dieu. Vivez dans la douceur, la bonté, l’humilité.

244 Ne laissez aucun mal entrer dans votre esprit, dans votre pensée; chassez-le simplement! S’il frappe à la porte, renvoyez-le. Dites simplement… Montrez simplement votre Signe, continuez simplement à avancer – “Je suis sous le Sang!”

245 Rappelez-vous, ce soir-là, beaucoup se sont présentés chez ces femmes [Frère Branham frappe sur la chaire.–N.D.É.], en disant : “Hé! Gertie! Lillie! les filles! sortez un peu, nous allons à une fête ce soir!

246 – Non, non! Je suis sous le sang! Je suis sous le signe, et je dois rester ici. Je garde mon amour pour mon Créateur. La mort plane sur le pays ce soir!”

247 Et la mort plane sur le pays aujourd’hui! Le jugement se tient là, il est suspendu sur nous. La bombe atomique, la bombe à hydrogène, toutes sortes de désastres guettent les nations.

Extrait de la Prédication « Le Signe », prêché par William Branham, le 01er  Septembre 1963 (63-0901M)

22Juil/15
Soif

Ayez l’esprit de clan le plus possible

25     Nous pouvons passer par beaucoup de difficultés et d’épreuves. Souvenez-vous simplement qu’il y a Quelqu’un qui sait, qui éclaire le chemin, qui rend la chose réelle. Je ne sais pas ce qu’il y a derrière le rideau. Mais je sais une chose: je cours vers le but de la vocation céleste, tous les jours, j’essaie de vivre pour ce grand événement qui aura lieu un jour; quand je Le verrai face à face, et que je raconterai l’histoire “Sauvé par grâce”. C’est pour ce jour-là que je vis. Laissant en arrière les choses qui y sont, je veux courir vers le but, continuer simplement à avancer.

26     Je veux que ce tabernacle, maintenant que vous êtes sur pied, je veux que vous continuiez à courir vers le but de la vocation céleste. Quoi que vous fassiez, soyez fermement attachés les uns aux autres, ayez l’esprit de clan le plus possible, mais en gardant toujours un bras tendu vers l’extérieur, pour aller chercher quelqu’un d’autre, pour les faire entrer. Mais, quant à cette Foi que nous prêchons maintenant, et pour laquelle nous combattons, ne vous En éloignez pas d’un pouce. En effet, si vous croyez que je suis Son serviteur, c’est ceci le programme de Dieu. Ce ne sera jamais dans la majorité. Ce sera toujours dans la minorité, ça a toujours été et ce sera toujours comme ça. Mais, souvenez-vous, il est écrit: “Ne crains point, petit troupeau; votre Père a trouvé bon de vous donner le Royaume.”

27     Maintenant, il y a un groupe de fonctions dans notre église: diacres, administrateurs, surveillant de l’école du dimanche, pasteurs, selon l’ordre établi dans notre église. Et c’est vous-mêmes qui avez élu les frères qui occupent ces fonctions, et le pasteur. Moi, je suis simplement le surveillant général, je suis là pour veiller à ce que tout se déroule bien, et pour donner des conseils, et ainsi de suite. C’est vous qui élisez votre pasteur, qui élisez vos administrateurs, qui élisez vos diacres, qui élisez chaque fonction qu’il y a dans cette église, c’est vous-mêmes. Et c’est votre devoir de soutenir ces hommes, voyez-vous, car ils commettront des erreurs. Ce sont des mortels. Ce ne sont que des hommes, et ils commettront des erreurs. Mais si le président des États-Unis commet une erreur, est-ce qu’on le renvoie comme président? On oublie ça et on va de l’avant. C’est comme ça que nous voulons faire dans notre église maintenant. Je l’écoutais prier, il y a quelques instants, pour les diacres. Et d’entendre, là-derrière, à la porte, un témoignage des administrateurs, que vous êtes tous d’un même accord. Maintenant, restez comme ça. Maintenant, vous, les membres, soutenez ces administrateurs, ces diacres et ce pasteur. Et, souvenez-vous, une fois que vous êtes unis comme ça, souvenez-vous que c’est le rôle du diable de faire en sorte que cette unité soit brisée. Or ça l’a toujours été, et ça le sera toujours. Mais vous, soutenez vos frères qui occupent ces fonctions; c’est de ça que je voulais parler.

 Extrait de la prédication Une Délivrance totale prêchée le 12 Juillet 1959 par  William Branham

21Juil/15
Troupeau de Girafes

Dieu peut avoir confiance en nous

51     Je me demande, ce matin, si, comme Chrétiens, nous avons abandonné notre propre volonté, et si nous nous sommes complètement abandonnés à Dieu, à tel point que Dieu peut avoir confiance en nous dans la position où Il nous a placés. Je me demande, ce matin, si moi-même, je pourrais être tellement abandonné à Dieu que Dieu pourrait avoir confiance en moi, pourrait avoir confiance en Frère Neville, pourrait avoir confiance en notre conseil des administrateurs, en notre conseil des diacres, ou aux membres de notre église. Nous avons tous une place, et nous avons un devoir.

52     Le ministre a une place, son devoir, c’est de se tenir là et de prêcher les richesses insondables de Christ, sans faire de compromis, s’il est appelé à être un prédicateur. Il n’usera d’aucun ménagement envers qui que ce soit, s’il est appelé à être un prédicateur.

53     Et le membre de l’église, il est appelé à être un membre de ce groupe-là, alors il ne fera aucun compromis. Si l’église croit qu’on ne doit pas jouer à des jeux d’argent, alors ce membre ne devrait jamais toucher à un jeu de cartes. Nous ne croyons pas à la boisson, il devrait tourner la tête complètement de la boisson. Si nous ne croyons pas aux jeux d’argent, ni au tabac, le membre de cette église-là ne devrait jamais toucher à une telle chose. Dieu donne une délivrance complète. Quand nous…
    Il le fera si nous nous abandonnons complètement à Lui. Si nous nous remettons complètement entre Ses mains, alors Dieu pourra vivre en nous. Christ, l’Espérance de la Gloire, Il pourra Se refléter en nous, alors que nous nous enlèverons du chemin. Alors nos pensées seront Ses pensées. Pouvez-vous vous imaginer Christ en train de fumer un cigare? Pouvez-vous vous imaginer Christ en train de prendre un verre, ou de jouer aux cartes? Alors, si votre esprit est une partie de Son Esprit, Il veut qu’il en soit ainsi par votre confession. Mais vous permettez au diable d’entrer et de prendre le contrôle. Et pendant tout ce temps, tout au fond de votre cœur, vous savez que vous avez tort quand vous faites ces choses.
    Et qu’un membre dise du mal de l’autre membre, vous savez que c’est mal, ça. Vous avez reçu l’ordre de prier les uns pour les autres; non pas de dire du mal les uns des autres, mais de vous aimer les uns les autres. Et si quelqu’un est abattu, relevons-le, aidons-le. Alors, ça fera de nous un—un—un groupe de croyants unis. Or, quand nous n’obéissons pas à ça, alors nous n’obéissons pas à Dieu, et Dieu n’est pas content de nous. Par conséquent, notre église, nos fidèles ne peuvent pas prospérer, l’église ne peut pas avancer, c’est parce que nous sommes tous désunis. Comme Jésus l’a dit: “Un peu de levain fait lever la pâte.”

Extrait de la Brochure « Une Délivrance totale » prêchée  par le Prophète de Dieu, William Branham, le 12 Juillet 1959

20Juil/15
Dossier sur williambranham.fr

Ces bons vieux cantiques

359  Je prie que Dieu… Chacun de mes amis catholiques qui sont ici et chacun de mes amis protestants, et même… Ils ne sont pas plus… Si quelque… Je–je vous aime vraiment tous. Et Dieu sait si c’est vrai ou pas. Observez, dans la ligne de prière, quand il y a les aveugles–aveugles et les boiteux, Il ne dit pas : “Catholique.”
360 Voici un homme, assis ici même sur l’est-… ici même, un catholique qui se mourait, rongé par le cancer; il est venu chez moi, et le Saint-Esprit est descendu sur lui, l’a guéri de ce cancer. Il ne lui a jamais dit s’il était catholique ou pas. Je ne lui en ai pas soufflé mot. Il est venu, s’est fait baptiser au Nom de Jésus-Christ et a reçu le Saint-Esprit. Voilà l’homme, assis juste là, un homme d’affaires de Louisville. Oui. Voyez?
361 Il ne demande pas si vous êtes catholique ou pas. Ce qui importe, c’est que votre coeur ait faim de Dieu. “Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés.” Pas vrai? Amen. Que le Seigneur vous bénisse.

362 Combien connaissent ce bon vieux cantique, Béni soit le lien? Combien de personnes ici sont âgées de plus de quarante ans, levez la main avec moi, et dites : “Je me rappelle ce vieux cantique, de quarante ans en arrière, Béni soit le lien”?

Béni soit le lien
Qui nous unit en Christ,
Le saint amour, l’amour Divin
Que verse en nous l’Esprit.
363 Vous aimez ces vieux cantiques, n’est-ce pas? Écoutez, je veux dire ceci : si nous avions plus de ces vieux cantiques au lieu de toute cette excitation que nous avons, je crois que l’église serait dans une meilleure situation. J’aime ces bons vieux cantiques qui ont été composés par le Saint-Esprit.

364 Ces vieux de la vieille, autrefois, je me rappelle, un vieil homme de couleur avait l’habitude de s’asseoir derrière la maison, là-bas, dans les montagnes du Kentucky. Quand il était abattu, il s’asseyait sur ce vieux–vieux tronc d’arbre, et il tambourinait sur ce tronc d’arbre. Je me rappelle très bien de lui, il avait une petite couronne de cheveux blancs. Il chantait ce vieux cantique, un vieux cantique :
        
    Je me lèverai, j’irai vers Jésus,          
    Il me prendra dans Ses bras;         
    Dans les bras de mon cher Sauveur,        
    Oh, je trouve dix mille joies.     
365 Ce n’est pas très mélodieux. Combien ont déjà entendu ce vieux cantique? Oh! C’est bien, ça. Écoutez. [fin de l’enregistrement–N.D.É.]

54-0515 QUESTIONS.ET.RÉPONSES_ JEFF.IN COD SAMEDI_

18Juil/15
Passe moi la Guérison

Toutes les bénédictions rattachées à la rédemption

212 Le parler en langues est un don Divin de Dieu, qui a sa place dans l’église aujourd’hui, tout autant qu’il s’y trouvait, là-bas, au commencement. C’est l’exacte Vérité. Oh oui! C’est ce qu’enseigne la Bible. C’est un don Divin, et vous, de nier ça, c’est la même chose que de nier la nouvelle Naissance, vous niez tout ce que Jésus a enseigné, quand vous essayez de retrancher ça.
213 Il est vrai qu’on peut pousser cette chose-là à l’extrême, c’est ce qui est arrivé à beaucoup de personnes. Mais ce que je dis, c’est que “cela a sa place”. C’est comme une paire de chaussures; quand vous achetez une paire de chaussures, les languettes sont dedans. C’est vrai. Quand vous êtes dans le Corps de Christ, Dieu a dressé là la table, tout y est. Il a l’amour, Il a la joie.
214 Si je vais m’asseoir à votre table, et que vous m’avez dit : “Prédicateur, venez manger avec moi” – je crois que vous m’aimez. Et vous avez là des fèves, des pommes de terre, des carottes, du poulet frit, de la tarte à la citrouille, de la crème glacée, tout y est. Eh bien, je crois que vous vous feriez un plaisir de me passer les pommes de terre, autant que les fèves. La seule chose – je crois que vous vous feriez un plaisir de me passer le poulet, autant que la tarte. Tout cela est sur la table. La seule chose que j’ai à faire, c’est de dire : “S’il vous plaît, pourriez-vous me passer la tarte?” Et je crois que c’est volontiers et de bon coeur, du fait que vous m’aimez, que vous diriez : “Bien sûr, mon frère, prenez-en un beau gros morceau.” Pas vrai? Si je disais : “Voudriez-vous me passer les pommes de terre?” “Mais, bien sûr, mon frère, les voici.”
215 Et toutes les bénédictions rattachées à la rédemption, pour lesquelles Jésus-Christ est mort et qu’Il a acquises par Son expiation au Calvaire, elles sont là, sur la table, et tous les croyants sont assis devant. Alléluia! Si j’ai besoin de guérison, je dis : “Père, passe-moi la guérison”, et je verse cela dans mon assiette, et j’en mange en quantité. Bon, si vous voulez mourir de faim, allez-y. Oui monsieur. Et la prophétie, le parler en langues…

Brochure  » QUESTIONS ET RÉPONSES SUR LA GENÈSE  » préché par William Marrion Branham le 29 Juillet 1953 à Jeffersonville,IN, USA

05Juil/15
Bible rayonnante

Je désire le rendre vraiment doux

173 Notre Père Céleste, nous Te remercions pour ce moment de douce consécration; c’est comme si on prenait une pomme dans la main, qu’on la broyait, qu’on l’écrasait jusqu’à ce qu’elle devienne molle, si molle qu’un petit bébé pourrait s’asseoir et la manger. C’est ainsi que nous voulons que nos coeurs soient, Seigneur! Prends-le dans Ta main qui porte la cicatrice des clous, écrase-le en disant : “Mon enfant, ne vois-tu pas que tu M’as blessé. Tu M’as blessé lorsque tu es ainsi sorti de tes gonds. Tu Me blessais. Oh, Mon coeur a saigné pour toi, enfant, lorsque Je t’ai vu faire telle et telle chose. Mais maintenant que J’ai ton coeur dans Ma main, Je désire le rendre vraiment doux. Je désire le rendre de telle façon que Je puisse l’utiliser et y vivre. Je désire revenir sur le perchoir ce matin. Je désire revenir et demeurer… faire Ma demeure en toi.” Accorde-le, Seigneur. Nous T’aimons. Accorde-le, pour Ta Gloire. Nous le demandons au Nom de Jésus.

Être comme Jésus, être… (N’aimez-vous pas simplement adorer ainsi? Oh! mon âme est inondée.)
Sur terre je… (Le voir descendre ainsi dans les adorateurs, vous sentez une réelle douceur dans votre coeur? Mon coeur bat très rapidement.)
… voyage de la terre à la Gloire,
Je ne demande qu’à Lui ressembler.
Voulez-vous lever la main tandis que nous le chantons?
Être comme Jésus, être…
(Jo, veux-tu t’avancer pour prier ce matin, frère? Dieu te bénisse. Trouve-toi une place ici à l’autel, Frère Jo. Dieu te bénisse.)
… voyage de la terre à la Gloire,
Je ne demande qu’à Lui ressembler.

L’Eglise et sa Condition, prêché le 05 Août 1956, William Branham

03Juil/15
Le Saint-Esprit

Travail de l’âme

165 Seulement voilà, il s’agit d’accepter la Personne, Jésus-Christ, et alors ces autres choses entrent et elles s’ajustent parfaitement. Que chaque membre de ce corps, ce matin, que ce petit groupe de gens – si nous pouvions faire descendre le rideau de chaque côté, et que chaque personne ici reçoive la Personne, Jésus-Christ, il n’y aurait jamais de prise de bec, il n’y aurait jamais de dispute. Il n’y aurait qu’un amour parfait. Mais malgré tout, vous croiriez encore ceci, et vous croiriez encore cela, mais ce serait tellement rempli d’amour que vous… Voyez? C’est ça. Or, Jésus a dit : “C’est à leur fruit que vous les reconnaîtrez.” Et le fruit de l’Esprit, c’est l’amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la douceur, la bienveillance.
166 Maintenant, je vais, je vais vous présenter mon opinion de ce qui, selon moi, se rapproche le plus d’une preuve qui indiquerait qu’un homme est un Chrétien, ce qui s’en rapproche le plus, à ma connaissance. Vous savez ce que c’est? Le travail de l’âme. Une personne qui a constamment tellement faim et soif de Dieu. Ils sont tout simplement, jour et nuit, pour eux–pour eux, c’est presque insoutenable. Il faut absolument qu’ils–qu’ils–qu’ils fassent quelque chose pour Dieu. Ils–ils sont remplis d’amour, et ils sont vraiment, c’est un travail de l’âme, ils sont en travail, tout le temps. La Bible dit : “Celui qui va en semant avec larmes, reviendra certainement avec allégresse, quand il portera ses précieuses gerbes.” Pas vrai? Toutes ces choses.
167 Maintenant, regardez, si… Si cette église… Si je disais ce matin, au sujet de ce petit groupe de gens ici, et que je, que Dieu dise : “Maintenant, regarde, William Branham, c’est toi qui auras à rendre compte de ce groupe de gens là, de ce que tu leur dis. Maintenant, veux-tu qu’ils poussent tous des cris?
– Bien sûr, je veux qu’ils poussent des cris.
– Veux-tu qu’ils parlent tous en langues?
– Je veux que chacun d’eux le fasse.
– Veux-tu qu’ils dansent par l’Esprit?
– Je veux que chaque d’eux le fasse.
168– Bon, d’accord, c’est très bien, mais plus que toutes ces choses, que préférerais-tu les voir faire?” Ah.
169“Ce que je préférerais de mon église, c’est que les gens aient sur leur coeur un si grand fardeau pour la prière qu’ils restent ici, devant l’autel, qu’ils y soient jour et nuit, et tout; et dans leurs foyers, qu’ils soient constamment en prière, et qu’ils soient humbles, et qu’ils s’efforcent d’amener des gens à Dieu, qu’ils aillent à l’hôpital faire des visites, qu’ils rendent visite aux malades, et qu’ils s’efforcent d’amener les gens à venir à l’église et à faire ce qui est bien. C’est ce que je préférerais, plus que toutes les autres choses réunies; bien que ces autres choses soient bonnes, elles ont leur place dans l’église.”
170 Mais, même s’il fallait avoir ces choses, personnellement, c’est à ça que je donnerais la première place. Parce que, si vous avez ça, les autres choses viendront. Oui. Voyez? Si vous avez ça, si vous avez tellement faim de Dieu, les cris viendront. Si vous avez tellement faim de Dieu, le parler en langues viendra. Si vous avez tellement faim de Dieu, et que vous continuez à avoir faim, continuez comme ça. Or, si vous voyez que vous devenez indifférent, souvenez-vous bien de ceci : attention, il y a là un autre esprit qui cherche à s’introduire. Restez là, devant Dieu, dans l’humilité, l’âme en travail. Soyez simplement… ayez, à la bonne manière ancienne…

Questions et Réponses n°1, du 03 Janvier 1954, prêché par William Branham, à Jeffersonville

02Juil/15
Education, instruction

Une mère et un père qui restent à la maison

128  Les enfants d’aujourd’hui ont besoin d’un copain. S’ils avaient une mère et un père qui restent à la maison et qui s’occupent d’eux plutôt que d’aller dans un bar, là-bas, sortir toute la nuit et autres choses du genre, il n’y aurait pas–il n’y aurait pas de délinquance juvénile. Voyez?
129 Ils se sont éloignés de la Bible; ils sont tous allés à l’église et ils ont fait des parties de loto et autres choses du genre, et… Voyez? Vous essayez de vous moderniser, d’être comme le terrain de Satan, là-bas à Hollywood. Vous ne pourrez jamais amener Hollywood dans l’église, vous devez… je veux dire amener l’église dans Hollywood, vous devez amener Hollywood sur votre terrain à vous. Voyez? Pas aller sur leur terrain à eux, mais que, eux, ils viennent de ce côté-ci. Nous possédons quelque chose dont ils ignorent tout.

130  Alors, nous nous sommes agenouillés là, et nous avons remis la chose à Dieu. J’ai dit : “Je sais qu’elle a dix-huit ans, elle les aura dans quelques jours, et elle… et une jeune fille de cet âge-là pense aux garçons, et nous l’avons gardée à la maison.” J’ai dit : “Je–je n’ai jamais voulu la voir mariée. Je veux la faire travailler ici dans le bureau. Je veux la voir remplie de l’Esprit et–et–et vivre comme ça.”
Et elle… Eh bien, c’est ce que nous voulions tous. Elle a dit : “Eh bien, nous ne pouvons pas faire ça.” Elle a dit : “Elle ne veut rien entendre.”

131 J’ai dit : “Attends une minute! Nous avons fait tout notre possible pour bien l’élever; maintenant, remets-la dans les mains de Dieu, confie-la-Lui.” Et j’ai dit : “Puis, quand elle fera quelque chose, dis : ‘Becky, ma chérie, maman ne veut pas que tu fasses ça, mais je suis ta copine; je ne te laisserai pas tomber.’ Tu vois? Fais-lui savoir que tu l’aimes. Elle va chercher quelqu’un qui l’aime, et il se pourrait que ce ne soit pas la femme qu’il faut.” Voyez? J’ai dit : “Que ce soit toi, la femme qui l’aime.” J’ai dit : “Chérie, ça peut sembler assez direct, ça, mais les gens viennent de partout pour avoir un entretien particulier, et tout.” J’ai dit : “Je suis si ordinaire; nous sommes ordinaires l’un pour l’autre, parce que nous sommes mari et femme; mais nous ne laisserons jamais une telle chose arriver. Il faut te souvenir que ceci, c’est au Nom du Seigneur!”
Alors, elle a dit : “Très bien.”
Nous nous sommes agenouillés, et nous avons remis la chose à Dieu. Nous avons dit que nous allions laisser ça tranquille.
Cet après-midi-là, quand elle est arrivée, elle a dit : “Eh bien, je suppose que tu dis encore que je ne peux pas aller là-bas!”

132 Méda a dit : “Non, je n’ai pas dit un mot là-dessus.” Elle a dit : “Tu sais, maman ne veut pas que tu fasses ça; et tu sais que ça a arraché le coeur de ton papa de t’entendre, là-bas, jouer ce boogie-woogie, ou cette musique-là, avec cette fille.” Elle a dit : “Bon, il ne voulait pas que tu fasses ça, et nous ne voulons pas que tu le fasses, Becky, mais nous avons simplement remis la chose au Seigneur. Je veux que tu saches que nous t’aimons. Quoi que tu fasses, nous t’aimons quand même.”
Elle a dit en criant : “J’y vais quand même!”
Elle a dit : “Très bien, ma chérie.” Alors elle a continué son chemin. Elle a dit : “Très bien, ton souper sera prêt quand tu reviendras.” Elle n’y est jamais allée! Non, elle n’y est jamais retournée depuis. Voyez?

133 Peu de temps après, elle a rencontré Georges; Georges est un Chrétien. Avec ça–avec ça, c’était réglé.
134 Elle essayait de raconter ça à Mme Wood, l’autre jour. Elle disait : “Oh, j’étais vraiment déchaînée!” Elle disait : “Papa et maman m’ont confiée au Seigneur.” Elle disait : “Vraiment déchaînée.” Mais, pour nous, ça–ça l’était, déchaîné; on ne voudrait vraiment pas quelque chose de plus déchaîné que ça. Voyez? Que ça s’arrête là. Bien.

Questions et Réponses n°1 du 23-08-1964, prêché par William Branham

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28Juin/15
La Bible

La Parole de Dieu, l’avait dit

168 Michée avait la Parole, et il savait que le mal devait recevoir le mal pour salaire. Il savait que cette hypocrisie, cette religion artificielle, ces choses qui avaient beaucoup de classe et une Jézabel toute maquillée, et toutes ces autres choses, forcément qu’elles auraient affaire à la main du Dieu vivant. En effet, le prophète, la Parole de Dieu, l’avait dit.
Vous dites : “Le prophète était-il la Parole de Dieu?” Oui monsieur.

169 Ils sauront. “À plusieurs reprises et de plusieurs manières, le Seigneur a parlé à nos pères par les prophètes; en ces derniers jours, par Son Fils, Jésus-Christ.” C’est exact. Bien
sûr, c’était la Parole de Dieu.

Brochure « Dieu tient Sa Parole », préché le 20 Janvier 1957, par William Branham

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27Juin/15
Ils ont vu la Lumière grâce à ces bandes

…dans Son âme, Il était Dieu

76 Je crois que Jésus est le Fils de Dieu. Je crois que, dans Son corps, Il était un homme. Il est né d’une femme, tout comme moi, mais Son Sang ne venait pas d’une femme, il venait de Dieu. Et Jéhovah Dieu, le Logos, qui a couvé la terre (dans mon Message de ce matin), et qui a couvé la terre pour faire sortir le premier homme de la poussière de la terre; Il a couvert Marie de Son ombre, et Il l’a couvée, pour accomplir Sa Parole, et Il a créé la cellule de Sang qui a produit le Fils du Dieu vivant. Je crois que, dans Son corps, Il était un homme. Je crois que, dans Son âme, Il était Dieu. Il était la manifestation de Dieu, ici sur terre. “Dieu était en Christ, (Se) réconciliant le monde avec Lui-même.” Je crois qu’Il n’était pas qu’un simple homme, et Il n’était pas non plus qu’un prophète. Il était Dieu, Emmanuel. Je crois de tout mon coeur que c’est vrai. Je ne peux pas prouver que c’est la vérité, parce que…si je le pouvais, alors ce ne serait plus par la foi. Mais je sais que les arbres viennent et repartent. Je sais que les fleurs viennent et repartent. Je sais que la nature tout entière fait sa révolution. Le monde reste sur son orbite par une grande Puissance suprême.

DIEU TIENT SA PAROLE, prêché le 20 Janvier 1957, par William Branham