Category Archives: La Prière

28Déc/15
prier les uns pour les autres

Une prière remplie de sincérité

14     Il y avait un petit–petit garçon, une fois, dans le sud, dont on–on racontait qu’il s’était agenouillé au milieu d’un rang qu’il venait de labourer. Et un–un membre du clergé qui passait par là a entendu ce petit garçon qui récitait l’alphabet: «A, B, C, D», et ainsi de suite; et comme il était à genoux, le membre du clergé était fort troublé. Donc, il a entendu ce petit garçon réciter l’alphabet, et dire ensuite: «Amen.»

15     Et, comme il se relevait, eh bien, le membre du clergé lui a parlé, il a dit: «Fiston, je suis un… le serviteur du Seigneur. Je t’ai entendu prier, mais tu ne faisais que réciter l’alphabet. Et je–je ne comprends pas pourquoi tu ne faisais que réciter l’alphabet.»

16     Il a dit: «Monsieur, je–je ne sais pas prier.» Il a dit: «Je–je n’ai jamais prié. Mais ma mère et mon père qui sont déjà partis au Ciel, eux, ils priaient.» Et il a dit: «Maman, je… elle est morte quand j’étais tout petit garçon. Mais je me rappelle l’avoir entendue, quand elle avait des problèmes, elle s’adressait au Seigneur, elle priait. Et j’étais tellement jeune quand elle est morte, qu’elle n’a pas pu m’apprendre à prier. Et on m’a placé sous la responsabilité d’une personne méchante, qui me bat et me maltraite. Et je–je… pensais qu’après avoir appris mon alphabet, peut-être que si je prenais tous les–les mots, que je récitais toutes les lettres, qu’Il serait peut-être capable de les assembler pour comprendre ce que j’ai voulu dire

17     Voilà une prière remplie de sincérité. Bien sûr qu’Il serait capable de les assembler. Ce n’est pas notre manière de prier, ce qui sort de nos lèvres, mais c’est notre motif, dans notre cœur, que Dieu entend. Parfois Il n’entend pas nos lèvres, Il entend notre intention, ce qu’il y a dans notre cœur, notre motif.

Extrait de l’  » Imitation du christianisme », prêché le 20 Janvier 1957, par William  MARRION BRANHAM

27Oct/15
Si vous demeurez sous l’Esprit

Si vous demeurez sous l’Esprit

60     J’ai dit: «J’ai dû venir ici et me retirer à part dans ce désert». Et j’ai pensé: «Je me demande pourquoi Dieu m’a amené dans un désert, là où il n’y a que des scorpions et des lézards monstrueux». Non seulement c’est un désert naturel (il y fait très chaud) mais c’est aussi un désert spirituel. Oh, mon Dieu! Il n’y a aucune vie spirituelle. Les églises sont contre… Oui, je n’ai jamais vu cela de ma vie. Nous n’avons même pas une église ou aller, rien. Les gens sont sur le point de périr spirituellement. J’ai remarqué cela dans les gens que l’on voit là-dehors, je les ai observés et j’ai vu ce qui les différenciait. Si vous demeurez sous l’Esprit de Dieu, votre vie prend un caractère doux, tendre, comme l’eau qui fait pousser l’herbe et ces doux bourgeons. En Arizona, cette herbe ne pourrait pas pousser. Ces arbres seraient des cactus. Ce serait la fin de ces feuilles qui se tourneraient en épines. C’est ainsi que cela se passe quand il commence à faire sec autour de l’église, les gens commencent à se piquer les uns les autres, vous savez… Vous voyez? Vous devez recevoir les douces eaux de la pluie pour être apaisés et produire des feuilles et de l’ombre pour les pèlerins qui passent.

William Branham, extrait de « Honteux de Lui », prêché le 11 Juillet 1965, Traduction MS

13Sep/15
Baptême, Lac Michigan Réveil

Revenir aux Réunions de Prière

16     Je vous le dis, Madame McPherson est partie, beaucoup de vétérans sont partis, mais s’il leur était possible de jeter un regard par-dessus les rampes de la gloire aujourd’hui, ils crieraient « Amen » à cela, tout aussi sûr que je me tiens debout ici. C’est vrai. Retournez de nouveau à l’ancienne ligne de démarcation; retournez à la Pentecôte.
Ce qu’il nous faut faire, c’est nous débarrasser de beaucoup de nos futilités fantaisistes et retourner à la Bible, retourner au Saint-Esprit à l’ancienne mode, retourner au point où les hommes et les femmes paraissent, agissent et marchent comme des Chrétiens. Amen. Vous pourriez penser que je suis un peu excité, que je suis juste un peu fou, mais je vous assure que j’aime bien être ainsi.
Il y a quelque temps, alors que je parcourais les rues ici à Los Angeles, j’ai vu un homme qui portait un écriteau. Par devant, il y était mentionné: « Je suis fou de Christ », et par derrière, il était écrit: « De qui es-tu fou? » Ainsi, je préférerais simplement être fou de Christ plutôt que d’être, à n’importe quel moment, fou du diable.

17     Ce qu’il nous faut aujourd’hui, ministres, ce qu’il nous faut aujourd’hui, frères et soeurs, c’est cette unique chose. Le diable est entré dans notre église et nous a rendus tous formalistes, indifférents. Ce qu’il nous faut, c’est un appel à retourner. Ce qu’il nous faut, c’est encore un rassemblement à l’ancienne mode, le retentissement du Jubilé, l’effusion du Saint-Esprit, le déversement de l’Esprit. Amen. Certainement, c’est bien là une raison pour revenir aux réunions de prière.
C’est vrai, nous avons simplement commencé à suivre la mode, juste comme le monde, à agir exactement comme le monde. Cela est arrivé à cause de tant d’évangélisation à la Hollywood, de tant de télévision, du fait de rester à la maison le soir pour regarder la télévision au lieu d’aller à la réunion de prière; regarder « Qui aime Lucy » et toutes sortes de sottises, et rester loin de la Parole de Dieu et loin de l’église. Et je vous le dis, frère, c’est cela la raison. Vous savez bien que c’est la vérité. Que Dieu nous aide aujourd’hui à revenir à l’expérience de la Pentecôte à l’ancienne mode: celle du baptême du Saint-Esprit.

 Le jubile d’Azusa,  William Branham, a été prêchée le 16 Septembre 1956

26Août/15
La Prière fervente, Le travail de l'âme

Prière fervente

E-75 Nous voyons dans Jacques 5.15, la Bible dit que la prière fervente (c’est-à-dire qu’on est poussé à bout) – la prière fervente du juste a une grande efficacité. Quand un homme juste, un homme de bien est en travail ou que son âme voyage ou plutôt que son âme est en travail, l’un ou l’autre… [Frère Branham utilise le terme anglais  » travel « , qui signifie  » voyage  » au lieu du terme  » travail « , qui signifie  » douleurs d’enfantement  » – N.D.T.] (Je – je pense que voyage [En anglais :  » Travel – N.D.T.] est le meilleur terme. Travail ou voyage [En anglais :  » Travail  » or  » travel  » – N.D.T.], l’un ou l’autre, le terme par lequel vous voulez désigner cela.) Mais quand une – l’âme est poussée à bout tandis qu’elle travaille, la prière fervente d’un homme qui peut montrer le Signe produit quelque chose. Vous voyez?

E-76 Remarquez ce que la Bible dit aussi ici dans Jacques 16… 5.16, il est dit:  » Si… En confessant nos péchés (en nous mettant en ordre, nous préparant pour cela)… Confessons nos péchés les uns aux autres.  » N’ayons point – point de péché… demandez aux gens de prier pour vous, confessant nos péchés les uns aux autres et priant les uns pour les autres… Voilà ! Ayant un amour – un amour tel que j’aurai confiance, et que je pourrai vous confesser mes torts. Vous pouvez me confesser vos torts; je vous aime tellement que je vais prier pour vous, et vous, vous prierez pour moi; et je m’en tiendrai à cela, à cette prière fervente jusqu’à ce qu’elle soit exaucée. C’est – c’est cela être poussé à bout. C’est la condition dans laquelle nous devrions être.

Poussé à bout, prêché le 01 Septembre 1963, soir, à Jeffersonville par le Prophète William Branham, Traduction SHP

 

17Août/15
William Marrion Branham

Prier, c’est entrer dans une atmosphère

34.  Les hommes et les femmes qui y vivent sont mal compris. Saisissez-vous cela? Ils deviennent particuliers. Ils n’entendent plus les choses du monde, ou même s’ils les entendent, ils n’y prêtent plus attention. Ils avancent tout simplement. Dieu n’a jamais mis cela là-dedans pour rien. Dieu ne vient jamais de façon hasardeuse. La prière n’est pas un – un peut-être. La prière est une chose sincère. Prier, c’est parler à Dieu. Prier, ce n’est pas s’agenouiller, fermer les yeux, et penser à votre lessive ou au travail que vous faites, et dire :  » Seigneur, aide-moi et John, et guéris Mlle Jones et ainsi de suite. » Ce n’est pas ça prier. Ça, c’est réciter des paroles. Mais prier, c’est entrer dans une atmosphère où vous réalisez que vous êtes dans la Présence de Dieu et alors vous entrez dans la plus profonde sincérité. Tout d’abord, vous offrez une petite adoration, disant : « Ô Jéhovah, comme je T’aime ! » Saisissez-vous cela ? Ensuite, après la prière d’adoration, vous vous approchez alors avec un cœur sincère pour faire une demande.

« Si vous demeurez en Moi« , ce n’est pas sortir de derrière les rideaux pour retourner dans le monde aujourd’hui et courir partout, puis chercher à revenir ce soir derrière les rideaux. « Si vous demeurez en Moi, que Mes Paroles demeurent en vous… » En d’autres termes, si vous êtes comme la verge d’Aaron qui avait été amenée jusque dans la Gloire de la Shekinah, près du pot en or contenant la manne, où vous pouvez la manger n’importe quand… Et votre âme est rafraîchie, elle fleurit et porte des fruits. Demeurer. « Si vous demeurez en Moi, et que Mes Paroles demeurent en vous, alors demandez ce que vous voulez, cela vous sera accordé. »

Le Surnaturel (L’Atmosphère SPIRITUELLE), prêché par William BRANHAM, le 29 Janvier 1956

02Août/15
Bible rayonnante

En nous consacrant pour le service

86     Maintenant, Seigneur Dieu, Créateur des cieux et de la terre, nous sommes le peuple de Ta bergerie. Nous sommes le–le–le–le peuple de Ton Royaume. Et, en même temps que moi-même, et le pasteur, et l’église, les gens, nous consacrons ce bâtiment au service du Dieu Tout-Puissant, par le Nom de Jésus-Christ, Son Fils, pour le service de Dieu, et pour la vénération et le respect de Dieu. Et puisse l’Évangile se répandre de ce lieu à un point tel, qu’Il attirera le monde entier à venir des quatre coins du globe pour voir la Gloire de Dieu se manifester à partir d’ici. Ce que Tu as fait dans le passé, puisses-Tu le multiplier dans l’avenir.

87     Père, nous nous consacrons maintenant au service, par la Parole, de tout notre être. Seigneur, l’assemblée et les gens, ce matin, ils se consacrent à l’écoute de la Parole. Et nous, les prédicateurs, nous nous consacrons “à la prédication de la Parole; à insister en toute occasion, favorable ou non; en reprenant, en censurant avec toute douceur”. Comme il a été écrit dans la pierre angulaire, il y a déjà trente ans. Tu as dit qu’“il viendrait un temps où les gens ne supporteraient pas la saine Doctrine, mais que, ayant la démangeaison d’entendre des choses agréables, ils se donneraient une foule de docteurs selon leurs propres désirs; qu’ils détourneraient l’oreille de la Vérité et qu’ils se tourneraient vers des fables”. Seigneur, comme nous nous sommes efforcés de présenter la Parole aux gens, puissions-nous être inspirés et fortifiés pour redoubler d’efforts. Seigneur, alors qu’une double portion de l’Esprit se répandra sur cet endroit, puisse le Saint-Esprit…

88     Comme il en a été au jour de la consécration du temple, quand Salomon a prié: le Saint-Esprit, sous la forme de la Colonne de Feu et de Nuée, est entré par la porte principale, Il a tourné autour des Chérubins, et Il est allé dans le Lieu Saint pour occuper Son lieu de repos. Ô Dieu! Salomon a dit: “Si Ton peuple est en difficulté en quelque endroit, et qu’il T’adresse des prières, les regards tournés vers ce Saint Lieu, alors exauce-le du haut du Ciel.”

89     Seigneur, que le Saint-Esprit entre dans chaque cœur ce matin, dans chaque âme consacrée qui est ici. Et la Bible dit que “la Gloire de Dieu était tellement grande que les serviteurs de Dieu ne pouvaient même plus faire le service, à cause de la Gloire de Dieu”. Ô Éternel Dieu, que cela se reproduise de nouveau, alors que nous nous offrons à Toi, avec cette église, en nous consacrant pour le service. Et il est écrit: “Demandez, et vous recevrez.”

90     Aussi nous nous remettons à Toi, en même temps que nous T’offrons cette église ce matin, pour le service, les Lumières du dernier jour, les Lumières du temps du soir; pour que nous puissions apporter consolation et foi au peuple, qui est dans l’attente, dans l’attente de la Venue de l’Époux, pour vêtir une Épouse de l’Évangile de Christ, afin que le Seigneur Jésus puisse La recevoir. Ainsi, nous nous consacrons, moi-même, Frère Neville et l’assemblée, au service de Dieu, dans le Nom de Jésus-Christ. Amen.
    Vous pouvez vous asseoir.

25Juil/15
Le Saint-Esprit

Trop de laisser-aller en nous

50 S’il n’y a pas beaucoup de scellements parmi nous, c’est à cause de ça; il y a trop de laisser-aller en nous. Quand l’Inspecteur fait son examen, qu’Il inspecte votre vie, pour voir s’il n’y a pas un peu de laisser-aller chez vous, un peu de laisser-aller dans votre vie de prière, un peu de laisser-aller quant à ce tempérament colérique, un peu de laisser-aller quant à cette langue, pour parler des autres, Il ne scellera jamais le wagon. Des habitudes sales, des choses dégoûtantes, des pensées vulgaires, Il ne peut pas sceller le wagon.
Mais, quand Il a trouvé tout à sa place, l’Inspecteur, là, Il le scelle. Que quelqu’un ose donc ouvrir ce sceau avant que le wagon ait atteint sa destination, l’endroit pour lequel il a été scellé! Voilà. “Ne touchez pas à Mes oints; ne faites pas de mal à Mes prophètes. Car Je vous dis qu’il vaudrait mieux pour vous qu’on suspende à votre cou une meule de moulin, et qu’on vous jette au fond de la mer, plutôt que de chercher à scandaliser ou à ébranler, ne serait-ce qu’un peu, le plus petit de ceux qui ont été scellés.” Vous voyez ce que ça veut dire?

51 Voilà ce qu’est le Saint-Esprit. C’est votre assurance. C’est votre protection. C’est votre témoin. C’est votre sceau. C’est votre signe, qui dit : “Je suis en route pour le Ciel. Peu m’importe ce que le diable peut dire! Je suis en route pour le Ciel. Pourquoi? Il m’a scellé. Il me L’a donné. Il m’a scellé dans Son Royaume, et je suis en route pour la Gloire! Que les vents soufflent, que Satan fasse ce qu’il veut. Dieu m’a déjà scellé jusqu’au jour de ma rédemption.” Amen! Voilà ce qu’est le Saint-Esprit. Oh, vous devriez Le désirer. Je ne pourrais pas continuer sans Lui. On pourrait en dire tellement long ici, mais je suis sûr que vous savez de quoi je parle.

Qu’est-ce que le Saint-Esprit ? préché par William Branham le 16 Décembre 1959

22Juil/15
Soif

Ayez l’esprit de clan le plus possible

25     Nous pouvons passer par beaucoup de difficultés et d’épreuves. Souvenez-vous simplement qu’il y a Quelqu’un qui sait, qui éclaire le chemin, qui rend la chose réelle. Je ne sais pas ce qu’il y a derrière le rideau. Mais je sais une chose: je cours vers le but de la vocation céleste, tous les jours, j’essaie de vivre pour ce grand événement qui aura lieu un jour; quand je Le verrai face à face, et que je raconterai l’histoire “Sauvé par grâce”. C’est pour ce jour-là que je vis. Laissant en arrière les choses qui y sont, je veux courir vers le but, continuer simplement à avancer.

26     Je veux que ce tabernacle, maintenant que vous êtes sur pied, je veux que vous continuiez à courir vers le but de la vocation céleste. Quoi que vous fassiez, soyez fermement attachés les uns aux autres, ayez l’esprit de clan le plus possible, mais en gardant toujours un bras tendu vers l’extérieur, pour aller chercher quelqu’un d’autre, pour les faire entrer. Mais, quant à cette Foi que nous prêchons maintenant, et pour laquelle nous combattons, ne vous En éloignez pas d’un pouce. En effet, si vous croyez que je suis Son serviteur, c’est ceci le programme de Dieu. Ce ne sera jamais dans la majorité. Ce sera toujours dans la minorité, ça a toujours été et ce sera toujours comme ça. Mais, souvenez-vous, il est écrit: “Ne crains point, petit troupeau; votre Père a trouvé bon de vous donner le Royaume.”

27     Maintenant, il y a un groupe de fonctions dans notre église: diacres, administrateurs, surveillant de l’école du dimanche, pasteurs, selon l’ordre établi dans notre église. Et c’est vous-mêmes qui avez élu les frères qui occupent ces fonctions, et le pasteur. Moi, je suis simplement le surveillant général, je suis là pour veiller à ce que tout se déroule bien, et pour donner des conseils, et ainsi de suite. C’est vous qui élisez votre pasteur, qui élisez vos administrateurs, qui élisez vos diacres, qui élisez chaque fonction qu’il y a dans cette église, c’est vous-mêmes. Et c’est votre devoir de soutenir ces hommes, voyez-vous, car ils commettront des erreurs. Ce sont des mortels. Ce ne sont que des hommes, et ils commettront des erreurs. Mais si le président des États-Unis commet une erreur, est-ce qu’on le renvoie comme président? On oublie ça et on va de l’avant. C’est comme ça que nous voulons faire dans notre église maintenant. Je l’écoutais prier, il y a quelques instants, pour les diacres. Et d’entendre, là-derrière, à la porte, un témoignage des administrateurs, que vous êtes tous d’un même accord. Maintenant, restez comme ça. Maintenant, vous, les membres, soutenez ces administrateurs, ces diacres et ce pasteur. Et, souvenez-vous, une fois que vous êtes unis comme ça, souvenez-vous que c’est le rôle du diable de faire en sorte que cette unité soit brisée. Or ça l’a toujours été, et ça le sera toujours. Mais vous, soutenez vos frères qui occupent ces fonctions; c’est de ça que je voulais parler.

 Extrait de la prédication Une Délivrance totale prêchée le 12 Juillet 1959 par  William Branham

02Juil/15
Education, instruction

Une mère et un père qui restent à la maison

128  Les enfants d’aujourd’hui ont besoin d’un copain. S’ils avaient une mère et un père qui restent à la maison et qui s’occupent d’eux plutôt que d’aller dans un bar, là-bas, sortir toute la nuit et autres choses du genre, il n’y aurait pas–il n’y aurait pas de délinquance juvénile. Voyez?
129 Ils se sont éloignés de la Bible; ils sont tous allés à l’église et ils ont fait des parties de loto et autres choses du genre, et… Voyez? Vous essayez de vous moderniser, d’être comme le terrain de Satan, là-bas à Hollywood. Vous ne pourrez jamais amener Hollywood dans l’église, vous devez… je veux dire amener l’église dans Hollywood, vous devez amener Hollywood sur votre terrain à vous. Voyez? Pas aller sur leur terrain à eux, mais que, eux, ils viennent de ce côté-ci. Nous possédons quelque chose dont ils ignorent tout.

130  Alors, nous nous sommes agenouillés là, et nous avons remis la chose à Dieu. J’ai dit : “Je sais qu’elle a dix-huit ans, elle les aura dans quelques jours, et elle… et une jeune fille de cet âge-là pense aux garçons, et nous l’avons gardée à la maison.” J’ai dit : “Je–je n’ai jamais voulu la voir mariée. Je veux la faire travailler ici dans le bureau. Je veux la voir remplie de l’Esprit et–et–et vivre comme ça.”
Et elle… Eh bien, c’est ce que nous voulions tous. Elle a dit : “Eh bien, nous ne pouvons pas faire ça.” Elle a dit : “Elle ne veut rien entendre.”

131 J’ai dit : “Attends une minute! Nous avons fait tout notre possible pour bien l’élever; maintenant, remets-la dans les mains de Dieu, confie-la-Lui.” Et j’ai dit : “Puis, quand elle fera quelque chose, dis : ‘Becky, ma chérie, maman ne veut pas que tu fasses ça, mais je suis ta copine; je ne te laisserai pas tomber.’ Tu vois? Fais-lui savoir que tu l’aimes. Elle va chercher quelqu’un qui l’aime, et il se pourrait que ce ne soit pas la femme qu’il faut.” Voyez? J’ai dit : “Que ce soit toi, la femme qui l’aime.” J’ai dit : “Chérie, ça peut sembler assez direct, ça, mais les gens viennent de partout pour avoir un entretien particulier, et tout.” J’ai dit : “Je suis si ordinaire; nous sommes ordinaires l’un pour l’autre, parce que nous sommes mari et femme; mais nous ne laisserons jamais une telle chose arriver. Il faut te souvenir que ceci, c’est au Nom du Seigneur!”
Alors, elle a dit : “Très bien.”
Nous nous sommes agenouillés, et nous avons remis la chose à Dieu. Nous avons dit que nous allions laisser ça tranquille.
Cet après-midi-là, quand elle est arrivée, elle a dit : “Eh bien, je suppose que tu dis encore que je ne peux pas aller là-bas!”

132 Méda a dit : “Non, je n’ai pas dit un mot là-dessus.” Elle a dit : “Tu sais, maman ne veut pas que tu fasses ça; et tu sais que ça a arraché le coeur de ton papa de t’entendre, là-bas, jouer ce boogie-woogie, ou cette musique-là, avec cette fille.” Elle a dit : “Bon, il ne voulait pas que tu fasses ça, et nous ne voulons pas que tu le fasses, Becky, mais nous avons simplement remis la chose au Seigneur. Je veux que tu saches que nous t’aimons. Quoi que tu fasses, nous t’aimons quand même.”
Elle a dit en criant : “J’y vais quand même!”
Elle a dit : “Très bien, ma chérie.” Alors elle a continué son chemin. Elle a dit : “Très bien, ton souper sera prêt quand tu reviendras.” Elle n’y est jamais allée! Non, elle n’y est jamais retournée depuis. Voyez?

133 Peu de temps après, elle a rencontré Georges; Georges est un Chrétien. Avec ça–avec ça, c’était réglé.
134 Elle essayait de raconter ça à Mme Wood, l’autre jour. Elle disait : “Oh, j’étais vraiment déchaînée!” Elle disait : “Papa et maman m’ont confiée au Seigneur.” Elle disait : “Vraiment déchaînée.” Mais, pour nous, ça–ça l’était, déchaîné; on ne voudrait vraiment pas quelque chose de plus déchaîné que ça. Voyez? Que ça s’arrête là. Bien.

Questions et Réponses n°1 du 23-08-1964, prêché par William Branham

Lire la suite : Rubrique Brochures