Dans quel but venir à la maison du Seigneur

Dans quel but venir à la maison du Seigneur

  1. Pourriez-vous, s’il vous plaît, nous dire ce que notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ attend de nous, quand nous entrons dans la maison de notre Seigneur pour adorer?

111      Très bien, c’est une bonne question. C’est une question tout à fait essentielle, pour n’importe quelle église. Dieu s’attend à ce que vous veniez à cette maison, à l’église… Bon, celle-là, ce n’est qu’une question, qu’une question posée, comme ça. Ce n’est pas une question sur l’Écriture, c’est – mais en même temps ça l’est. Attendez, je vais vous dire ce qu’Il a dit. Premièrement, si vous voulez l’Écriture, les gens sont censés venir à la maison de Dieu dans un seul but, celui d’adorer, de chanter des cantiques et d’adorer Dieu. Voilà ce que Dieu attend de nous. Il ne s’attend pas à ce que nous entrions dans la maison de Dieu pour parler de ce qui nous concerne, ou d’autre chose, ou pour parler les uns des autres, ou pour parler de ce que nous prévoyons faire pendant la semaine; Il s’attend à ce que nous venions pour L’adorer. C’est une maison d’adoration. “Et tout doit se faire avec bienséance et avec ordre”, a dit Paul, dans la Bible. Tout doit être impeccable. Il doit y avoir un message.

112      La première chose que je dirais, c’est que, selon les règles observées par l’Église dans l’Ancien Testament, ou plutôt, dans le Nouveau Testament, premièrement, les gens entraient dans l’église de–de Dieu avec un Esprit d’adoration. Et ils entraient, on chantait des cantiques. Et peut-être que le prédicateur prenait la parole, car il était un prophète de l’église. (Un prophète du Nouveau Testament est un prédicateur; nous savons ça : “Le témoignage de Jésus-Christ est l’Esprit de la prophétie”, dit l’Apocalypse.)

113      Alors, le prédicateur commençait à prêcher. Pendant qu’il prêchait, là les bénédictions – vers la, peut-être la fin de sa prédication – se mettaient à descendre; les gens disaient : “Amen”, se mettaient à bénir Dieu. Ensuite, dès qu’il arrêtait de prêcher, peut-être qu’un message venait, peut-être que c’était prononcé dans des langues inconnues (I Corinthiens 14.13, 14). Alors–alors, s’il n’y avait pas d’interprète dans l’église, ces gens devaient se taire – parce qu’ils parlent effectivement en langues, mais ils le font devant Dieu. Voyez? Par contre, s’ils parlent en langues et qu’il y a un interprète, l’interprète est censé donner le message. Toutes les églises sont en train de se rallier à cela.

QUESTIONS ET RÉPONSES n° 2 prêché le 03 Janvier 1954, soir, par William Branham, Traduction VGR

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