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08Avr/16
Agneau, Pardon, Jésus-Christ

La Foi est basée sur le Pardon

E-18 Maintenant, lisons: Jésus prit la parole et leur dit: Ayez foi en Dieu Je vous le dis en vérité, si quelqu’un dit à cette montagne: Ôte-toi de là et jette-toi dans la mer, et qu’ il ne doute point en son coeur, mais croit que ce qu’il dit arrive, il le verra s’accomplir. C’est pourquoi je vous dis: Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous 1’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir. Et, lorsque vous êtes debout faisant votre prière, si vous avez quelque chose contre quelqu’un, pardonnez, afin que votre Père qui est dans les cieux vous pardonne aussi vos offenses. Mais si vous ne pardonnez pas, votre Père qui est dans les cieux ne vous pardonnera pas non plus vos offenses.
E-19 Ainsi, la foi est basée sur le pardon. Et, alors, comme nous l’avons dit ce matin, essayant de placer l’église là où nous pouvons réellement voir les temps apostoliques agissant au milieu de nous, c’est de cela que nous avons tous faim. Et cela se trouve juste à la porte. Nous le voyons, mais nous voulons en voir plus. Nous voulons que ce soit une telle effusion que cela nous aide à nous déverser sur d’autres.
E-20 Souvenez-vous, Jésus (comme nous l’avons dit dans la leçon ce matin), n’a jamais utilisé Sa puissance pour Lui-même. Il l’utilisa pour les autres. C’est pour cela qu’elle fut envoyée. Et vous pensez parfois: «Pourquoi un Homme comme Lui, qui était si plein de puissance, devrait-Il être une fois malade?» Oui, monsieur. J’ai lu dans un livre quelque part, que lorsqu’Il ressuscita ce garçon, le fils de la veuve de Naïn (je crois que c’est dans Le Prince de la Maison de David), Il s’assit sur un rocher et se plaignit d’un mal de tête. Il porta sur Lui nos infirmités. Porter signifie «prendre sur Lui». Vous voyez, Il les porta. Et Il avait toutes choses en… comme nous. Il avait la maladie, Il avait des tentations, Il avait des ennuis, il avait des frustrations comme nous en avons, parce qu’Il devait être le genre de Médiateur parfait. Il devait donc être un participant, le cultivateur du fruit, avant de savoir… La femme au puits et beaucoup d’autres choses, voyez-vous… si nous regardons dans l’Écriture.

Extrait de la prédication « La Foi Parfaite » du 25 Août 1963, prêchée par William Branham Traduction MS

26Mar/16
En commun

Ce qu’ils avaient en commun

E-73 Récemment (pour terminer), un homme et une femme, mari et femme, étaient en train de se séparer. Et ils ont essayé de se réconcilier. Ils sont allés consulter un psychiatre pour voir s’il pouvait rapprocher leurs idées. Mais il n’a pas pu. Ils ont recouru à tout ce qu’ils pouvaient imaginer pour essayer de rester ensemble, mais ils ne faisaient que se quereller et étaient continuellement divisés. Et ils ne pouvaient pas se supporter, et ils ne pouvaient pas supporter l’un la présence de l’autre, et ils ont continué à se quereller. Ils ont donc décidé de divorcer. Alors ils ont payé le service d’un avocat pour obtenir le divorce. Et il a dit : « Eh bien, maintenant avant de faire cela, a-t-il dit, nous allons vendre la maison. » Et il a dit : « Vous feriez mieux tous les deux d’aller vous partager le reste avant que le divorce vous soit accordé et que la maison ne soit vendue. »
E-74 Le mari et la femme sont donc partis ensemble, ils sont allés à la maison. Puis ils sont entrés au salon, et elle a dit : « Je vais prendre ceci. » Et lui a dit : « Je vais prendre ceci. » Et ils se sont querellés, et ils se sont fait des histoires et ils ont continué à se traiter ainsi. Quelques instants après, ils ont dit : « Eh bien, je te donnerai ceci si tu acceptes de prendre ceci. » « Très bien ! » Cela a marché pendant un instant. Ensuite ils sont allés au salon et à différents endroits, dans la cuisine et dans la chambre à coucher. Ils se sont partagé le reste.
E-75 Puis finalement ils se sont rappelé qu’il y avait des choses au grenier. Alors ils sont montés au grenier et ils ont sorti la vieille malle. Puis ils ont commencé à faire sortir les différents effets, disant : « Tu peux prendre ceci, et tu peux prendre ceci. » Puis finalement, leurs yeux sont tombés sur une certaine petite chose et ils se sont tous deux saisis de cela. Ensuite ils se sont regardés. Qu’était-ce ? Une paire de petites chaussures blanches qui appartenaient à leur bébé qui était mort. Il était une partie de tous les deux. Là, avec leurs mains serrées comme cela sur la chaussure du bébé… A qui appartenait-elle réellement ? A qui était-elle ? Elle leur appartenait à eux deux. Ils avaient des choses en commun. Quelques minutes après, comme ils se regardaient l’un l’autre, les larmes ont commencé à couler sur leurs joues. Qu’est-ce ? Ils pouvaient partager tout le reste, mais quand ils en sont arrivés à ce qu’ils avaient en commun, l’enfant, et qui était au ciel, alors la querelle était terminée. Quelques minutes après, ils étaient dans les bras l’un de l’autre ; le divorce était une affaire oubliée. La paix s’était rétablie.
E-76 Et, frères, permettez-moi de vous dire ceci ce soir. Nous ne voulons pas que vous vous joigniez à une église. Mais je vous demande ceci ; il y a une chose que nous avons en commun : c’est Jésus-Christ. Il nous est commun. Nous ne pouvons pas tous être des baptistes ; nous ne pouvons pas tous être des méthodistes ; nous ne pouvons pas tous être des unitaires, ou des trinitaires, ou quoi que ce soit. Nous ne pouvons pas être cela. Mais il y a une chose que nous avons en commun. C’est le don du pardon de Dieu, Son Fils, Jésus-Christ. Nous avons toutes choses en Lui. Mais cela est la première chose qu’il nous faut accepter. Ensuite, nous pouvons avoir les autres choses quand nous acceptons le pardon que Dieu nous a offert. Et cela ne se fera pas au moyen de notre système d’instruction, au moyen de notre système dénominationnel, mais ce sera par le Sang de Jésus-Christ. Nous pouvons tous nous rencontrer sous la croix et être un et avoir des choses en commun. Croyez-vous cela ? Inclinons la tête juste un instant pendant que nous prions.

« ETRE PARDONNE » prêché par Fr Branham le 28Octobre 1963, Traduction SHP

20Mar/16
William Marrion Branham

Pardonnez…

36        Ce n’est pas l’homme. Quand vous voyez une personne comme ça, n’allez jamais penser que c’est l’homme; c’est le démon, qui est dans l’homme.

Or, ce fou furieux, qui était sur l’estrade ce soir-là, qui voulait me tuer, là-bas, dans l’Oregon. Cet homme, je, quand il est venu vers moi, au lieu de… il m’avait craché au visage et m’avait traité de “serpent dans l’herbe” devant près de dix mille personnes; eh bien, ce n’était pas cet, ce n’était pas l’homme. Lui, c’est un homme qui mange, qui boit, qui dort, qui a peut-être une famille, et qui aime, et–et qui est comme vous et moi. Mais c’était ce démon en lui qui faisait ça. Voyez?

37        Et on ne chasse jamais un démon par une mauvaise attitude. Il faut de l’amour pour le faire. L’amour est la force la plus puissante du monde. Or, si vous remarquez, un démon, c’est toujours de la haine. La haine vient du diable. Et quand des gens haïssent quelqu’un, souvenez-vous, c’est un démon terrible, ça : d’avoir du mépris ou de l’aversion. Il ne faut pas faire ça.

38        Vous vous souvenez que le–le… Jésus a dit, dans Son sermon, que lorsque vous priez : “Notre Père qui es aux Cieux”… Et plus loin, Il a dit : “Si, de tout votre coeur, vous ne pardonnez pas à chacun ses offenses, votre Père Céleste ne vous pardonnera pas non plus vos offenses.” Voyez? Il ne faut pas faire ça.

William Branham dans Questions et Réponses du 23 Décembre 1959

 

17Mar/16
Le Saint-Esprit

Shalom !

C’est toujours un réel plaisir de voir vos encouragements pour cette œuvre de diffusion du Message du Temps de la fin apporté par notre Précieux Frère Branham.

Que Dieu vous bénisse richement !

Nous avons besoin de vos prières afin que le Seigneur Jésus Christ nous donne l’énergie nécessaire pour réaliser tout ce qu’il a mis dans nos cœurs pour la Gloire de Dieu et le Salut des âmes !!!!

Si nous avions une demande bienaimés, ce matin, c’est comme disait Pierre dans la Bible :

Ayant purifié vos âmes en obéissant à la vérité pour avoir un amour fraternel sincère, aimez-vous ardemment les uns les autres, de tout votre coeur

1 Pierre 1:22

Que Dieu vous bénisse !

24Fév/16
Dans quel but venir à la maison du Seigneur

Dans quel but venir à la maison du Seigneur

  1. Pourriez-vous, s’il vous plaît, nous dire ce que notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ attend de nous, quand nous entrons dans la maison de notre Seigneur pour adorer?

111      Très bien, c’est une bonne question. C’est une question tout à fait essentielle, pour n’importe quelle église. Dieu s’attend à ce que vous veniez à cette maison, à l’église… Bon, celle-là, ce n’est qu’une question, qu’une question posée, comme ça. Ce n’est pas une question sur l’Écriture, c’est – mais en même temps ça l’est. Attendez, je vais vous dire ce qu’Il a dit. Premièrement, si vous voulez l’Écriture, les gens sont censés venir à la maison de Dieu dans un seul but, celui d’adorer, de chanter des cantiques et d’adorer Dieu. Voilà ce que Dieu attend de nous. Il ne s’attend pas à ce que nous entrions dans la maison de Dieu pour parler de ce qui nous concerne, ou d’autre chose, ou pour parler les uns des autres, ou pour parler de ce que nous prévoyons faire pendant la semaine; Il s’attend à ce que nous venions pour L’adorer. C’est une maison d’adoration. “Et tout doit se faire avec bienséance et avec ordre”, a dit Paul, dans la Bible. Tout doit être impeccable. Il doit y avoir un message.

112      La première chose que je dirais, c’est que, selon les règles observées par l’Église dans l’Ancien Testament, ou plutôt, dans le Nouveau Testament, premièrement, les gens entraient dans l’église de–de Dieu avec un Esprit d’adoration. Et ils entraient, on chantait des cantiques. Et peut-être que le prédicateur prenait la parole, car il était un prophète de l’église. (Un prophète du Nouveau Testament est un prédicateur; nous savons ça : “Le témoignage de Jésus-Christ est l’Esprit de la prophétie”, dit l’Apocalypse.)

113      Alors, le prédicateur commençait à prêcher. Pendant qu’il prêchait, là les bénédictions – vers la, peut-être la fin de sa prédication – se mettaient à descendre; les gens disaient : “Amen”, se mettaient à bénir Dieu. Ensuite, dès qu’il arrêtait de prêcher, peut-être qu’un message venait, peut-être que c’était prononcé dans des langues inconnues (I Corinthiens 14.13, 14). Alors–alors, s’il n’y avait pas d’interprète dans l’église, ces gens devaient se taire – parce qu’ils parlent effectivement en langues, mais ils le font devant Dieu. Voyez? Par contre, s’ils parlent en langues et qu’il y a un interprète, l’interprète est censé donner le message. Toutes les églises sont en train de se rallier à cela.

QUESTIONS ET RÉPONSES n° 2 prêché le 03 Janvier 1954, soir, par William Branham, Traduction VGR

20Fév/16
Seigneur, pardonne-moi

Seigneur, pardonne-moi

  1. Je voudrais savoir ce que signifie ce qui–ce qui suit : I Timothée, 2… II Timothée, chapitre 2, verset 16.

136      Un instant. II Timothée. [espace.non.enregistré.sur.la.bande–N.D.É.] On se réunit. Peut-être que vous ne serez pas d’accord sur ce que j’ai dit. On rentre chez nous… Ensuite, vous rentrerez chez vous et vous étudierez beaucoup, ce qui servira à faire de vous quelqu’un de spirituel. Très bien, II Timothée 2.16, voici ce qu’on y lit :

Évite les discours vains et profanes; car ceux qui les tiennent avanceront toujours plus dans l’impiété,

Oui. Très bien, vous voulez savoir ce que sont ces “discours profanes”. “Profanes… évite les discours profanes, car ils se multiplieront.”

137      Bon, la première chose, “les discours profanes, car ils se multiplieront”. Bon, tout ce qui n’est que de l’espèce de vieux… que du babillage, sans plus. La Bible dit, Jésus a dit : “Que votre oui soit oui, et que votre non soit non, car tout ce qu’on y ajoute mène au péché.” Vous n’êtes même pas censés blaguer ni faire le pitre l’un avec l’autre. Dieu vous fera rendre compte de chaque parole vaine que vous aurez proférée. Saviez-vous ça? La Bible dit que vous devrez rendre compte de toute parole vaine. Alors, quelle sorte de gens devrions-nous être? Des gens qui sont francs, sérieux, pleins d’amour, gentils, jamais un déversement de sottises, toujours en train de…

138      Regardez. Prenez quelqu’un qui commence, aujourd’hui… J’ai remarqué que c’est mon cas, c’est dans ma nature, étant Irlandais; et, de toute manière, j’ai toujours beaucoup de salive quand il s’agit de faire le pitre et toutes sortes de singeries. Et de temps–de temps à autre, même ma femme me dit : “Allons, Bill!”

Je dis : “C’est vrai, chérie.” Elle dit, je joue avec les enfants, je dis, je fais le pitre avec eux ou quelque chose comme ça, je dis : “Eh bien, vous savez, il y a eu trois grands hommes qui sont sortis du Kentucky.

– Qui ça?
– Eh bien, Abraham Lincoln.
– Oui.
– Daniel Boone.
– Oui.
– Et votre père.” Quelque chose comme ça.

139      Elle me dit : “Allons, Bill, te voilà reparti.” Je suis obligé de me retirer dans le petit bureau, quelque part, et je dis : “Seigneur, pardonne-moi, je ne voulais pas dire ça. Fais quelque chose pour moi; fais que j’arrête de faire ça.” Voyez?

140      Et chaque jour, je, si je fais ça… Or, nous parlions du mot rétrograder, ce matin. Quand vous faites ça, vous êtes rétrograde. Oui monsieur! Vous devez vous repentir. Pas vrai? Bon, je ne dis pas que vous êtes retourné dans le monde et que vous avez fait ceci et cela, mais vous avez fait quelque chose. Vous devez vous repentir et mourir journellement, pour vivre en Jésus-Christ. Donc, chaque, – journellement, – chaque jour, vous devez mourir chaque jour, pour vivre en Jésus-Christ.

141      Quand je fais quelque chose – et il m’arrive souvent de mal agir. Je suis quelque part, et quelqu’un dit telle ou telle chose, et je me permets une petite plaisanterie à ce sujet. Quelqu’un dit… Pas une plaisanterie de mauvais goût; en effet, je ne crois pas que les Chrétiens font des plaisanteries grossières. Non monsieur! Non monsieur! Ce n’est même pas digne de Chrétiens, dit la Bible. Il y est dit de repousser les choses profanes de ce genre, les plaisanteries, les blagues et ce genre de chose. Non, les Chrétiens ne racontent pas ces choses-là; les Chrétiens ont des pensées pures.

142      Mais si on ne fait pas attention, de temps en temps, là, un homme, il fera une petite plaisanterie aujourd’hui. Eh bien, il pensait qu’il n’y avait pas vraiment de mal à ça, alors il laisse passer, il n’y pense plus. Le lendemain, on fait deux petites plaisanteries. Et tout d’un coup, on fait quelque chose d’autre. Et voilà, ça mène tout droit dans le même vieux système de nouveau. Pas vrai? Tenez-vous loin de cette affaire-là. Fuyez ça! Et évitez ce babillage profane.

QUESTIONS ET RÉPONSES n° 2 prêché le 03 Janvier 1954, soir, par William Branham, Traduction VGR

14Fév/16
un sermon vécu vaut mieux qu'un sermon prêché

Premièrement d’amener les âmes perdues à Christ

5     Maintenant, nous essayons de placer les réunions dans le meilleur cadre possible. Nous ne nous spécialisons pas dans la guérison divine, comme on dit, parce que la guérison divine n’est pas le plus important. Et vous ne pouvez pas mettre en avant le moins important, nous savons cela. La grande chose donc que nous recherchons dans tout réveil, c’est premièrement d’amener les âmes perdues à Christ, et de réveiller l’église, la ramenant à un état spirituel, là où elle doit être, une communion intime avec Dieu. Troisièmement, de susciter la communion entre les églises; et quatrièmement, de prier pour les malades. C’est notre but, c’est ce que nous essayons de faire.

6     Ce sont les pécheurs d’abord, la communion entre les églises, et une marche intime entre l’église et Dieu, et ensuite la prière pour les malades.

Prédication « Parle à cette Montagne » du 23 Novembre 1959

 

10Jan/16
Baptême, Lac Michigan Réveil

Ramenez les réunions de prière à l’ancienne mode

E-139 La grande dénomination tomba. Ça a toujours été ainsi quand Dieu entre en action, les autres choses tombent. Ce fut alors la plus grande victoire de Samson. Oh ! je souhaiterais voir l’Eglise du Dieu vivant se lever ce soir :  » Encore une fois, Seigneur. Encore une fois. Envoie-nous un réveil, qu’il me coûte le tout ; qu’il me coûte tout ce que j’ai, envoie-moi un réveil. Envoie-le sur moi, Seigneur.  » Ecoute ce groupe d’environ trois cent personnes ou plus crier ici ce soir, à l’unisson :  » Seigneur Dieu, encore une fois, laisse-moi voir Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Laisse-moi reconnaître qu’Il est près de moi. Laisse-moi savoir qu’Il est ici pour prendre soin de moi. Je suis disposé maintenant.  »
E-140 Oh ! rendez-vous (compte), tous les ennemis étaient détruis. Les pentecôtistes se tiennent à ce poteau-là ce soir. Nous sommes nés pour détruire, ces choses, elles ont pris le dessus. Repentez-vous, criez à haute voix :  » Seigneur, encore une fois ; encore une fois, laisse-nous voir cela.  »
E-141 Laissez-moi dire ceci, mon ami. Vous feriez mieux de détruire votre ennemi avant que votre ennemi vous détruise. Ramenez les réunions de prière à l’ancienne mode, la repentance à l’ancienne mode, quand on restait à l’autel jusqu’à ce qu’on meurt et qu’on en ait fini avec le péché. On ne voyait jamais une femme allait à l’autel, mourir au péché, et le lendemain, revenir avec des cheveux coupés et du maquillage au visage. Cela n’existe pas. Le Saint-Esprit enseigne, la nature enseigne, la nature du Saint-Esprit. On ne voyait jamais des femmes sortir en sexy, elle rentraient et cherchaient à se couvrir. On ne voyait jamais des hommes avoir peur de se lever et craindre que sa petite femme le quitte l’une ou l’autre chose, pour avoir pris l’initiative. Eh bien, les hommes étaient des hommes à l’époque. Ils parlaient, ils étaient des hommes ; ils étaient maîtres chez eux. Ils étaient les chefs de la maison. Mais cet Américain raffiné.

E-142 J’ai appris il n’y a pas longtemps d’un petit érudit Grec, il est assis ici à me regarder maintenant, il vient de la Grèce, c’est un érudit en grec, il s’est mis à jouer mes bandes et il a suivi le Message. Il a dit :  » Je sais que vous n’avez même pas l’instruction, mais, Frère Branham, vos termes et votre Message sont en parfaite harmonie avec l’interprétation grecque de la Bible.  » Il a dit :  » C’est tout à fait exact. Ce que vous avez dit est tout à fait exact.  » Et il est venu vers moi, il me disait :  » Laodicée signifie,  » femme  » en grec. C’est le monde de la femme.  » C’est l’église de la femme.  » C’est l’âge de la femme. Plusieurs hommes voulaient… Quand est-ce que Dieu s’est jamais retrouvé dans cette condition-là ? Oui, êtes-vous prêt à ramener un réveil ? Etes-vous prêt ?

E-143 Une femme disait :  » J’ai le droit de faire ce que je veux. C’est mon privilège d’Américaine.  » C’est votre privilège d’Américaine ; ce n’est cependant pas un privilège que Dieu vous a donné. Une brebis… Une chèvre s’agitera toujours, mais une brebis se tiendra tranquille et abandonnera ses droits. Voyez ? Si vous êtes un véritable enfant de Dieu, vous abandonnerez vos droits d’Américain au Saint-Esprit, vous Le laisserez vous modeler et faire de vous ce que vous devriez être.  » Encore une fois, Seigneur.  » Oh ! la la !
E-144 Oh ! Eglise, abandonnez la Délila d’Hollywood ; elle va vous tuer. Elle fera sortir la vie spirituelle de vous en vous suffoquant. Abandonnez-la. Vos mises en scène d’Hollywood sur l’estrade. Votre Hollywood, vos clinquants, notre réunion ressemble en grande partie au reste du monde ; ce qu’on a dans les plus grandes églises. Un évangéliste va dans une ville, vous devez lui promettre beaucoup d’argent sinon, il ira pas là. Comme c’est ridicule ! Cela montre là où se trouve votre trésor, c’est là que se trouve votre cœur. Tournez-vous de tout votre cœur vers Dieu et vers Sa Parole, et crions :  » Encore une fois, Seigneur. Encore une fois, manifeste Ta Présence. « 

Extrait de la brochure « Encore une fois seulement, Seigneur », prêchée par William Branham  le 20 Janvier 1963

31Déc/15
un sermon vécu vaut mieux qu'un sermon prêché

Un sermon vécu vaut mieux qu’un sermon prêché

1.  Inclinons la tête juste un instant. Notre Bienveillant Père céleste, nous sommes très heureux ce soir d’avoir cette communion ensemble, et du fait que Tu nous as rassemblés. Ce merveilleux cantique a vraiment ravi nos cœurs : « Le Puissant Conquérant. » Nous sommes très heureux de savoir qu’Il est ici ce soir pour déchirer tout voile qui est entre Lui et nous. Ô Dieu, je Te prie d’ôter, des yeux des gens, tout voile de ténèbres ce soir, et que ce voile soit déchiré en deux, de sorte que les gens voient le Seigneur Jésus dans Sa puissance.
Que le pécheur vienne, se prosterne et se repente de ses péchés. Que le rétrograde se fraye un chemin vers la Maison ce soir. Que le voile s’enlève pour lui aussi. Et pour les pauvres, les malades et les nécessiteux, que le voile soit aussi déchiré pour eux. Et puisse ceci être la soirée de grande joie, car nous le demandons pour la gloire de Dieu, au Nom de Son Unique et Bien-aimé Fils, Jésus-Christ. Amen.

2.  C’est vraiment un privilège pour moi ce soir! Je suis venu tôt pour suivre ce merveilleux cantique. Généralement, je ne fais pas ça. Et – et j’ai apprécié le ministère de mon frère Bosworth : sa prédication, son enseignement, il est… il enseignait cet Evangile alors que j’étais un – probablement avant ma naissance. Et je… Ça me fait du bien de l’entendre, ô comme il peut toujours lier Satan par les Ecritures et…
Je l’ai suivi dans des discussions, des débats, et je vous assure qu’il prêche la Parole de telle manière que le – Satan ne peut absolument pas rester là où il se tient. Et quant à la voix, il n’a certainement pas une voix forte, peut-être, comme certains, mais il sait certainement de quoi il parle. Et c’est depuis plusieurs années que je connais frère Bosworth, et je sais que sa vie… Ce n’est pas étonnant que Dieu exauce ses prières, il vit ce dont il parle. Vous savez, un sermon vécu vaut mieux qu’un sermon prêché. Vivez-moi un sermon, c’est de loin mieux.

Extrait de « Ayez bon courage » de William Branham, prêché le 21 Juillet 1954

30Déc/15
WilliamBranham

Venant à la communion

E-5 Bien, je pensais que peut-être ce soir, ce serait une soirée consacrée à la communion. Et j’apprends qu’on a tenu un service de baptême et qu’on va en tenir un autre. J’aime venir pour – pour la communion. La fois passée, j’ai manqué cela pour n’avoir pas été ici. J’ai manqué cela. Et je savais que ceci est le premier dimanche, c’est pourquoi j’ai pris des dispositions pour être ici, afin de pouvoir prendre part à la communion ce soir. En effet, je pense vraiment que c’est le devoir de tout chrétien de prendre la communion. La Bible dit : « Si vous ne prenez pas ceci, vous n’avez point de part avec Moi. » Et je crois que c’est un – un moment d’épreuve pour les Chrétiens. Si nous ne la prenons pas, nous n’avons point de part avec Lui. Et si nous la prenons indignement, nous sommes alors coupables envers le Corps et la mort de Christ. Ainsi, cela amène le chrétien au point où il reste en prière. Ainsi, en venant à la communion, on devrait venir avec révérence, solennité et sainteté, s’en approcher en confessant toutes nos fautes, en priant les uns pour les autres. Pas seulement cela, mais nous devrions sentir… S’il y a parmi nous un frère ou une soeur que nous pensons être un tout petit peu sorti de la ligne quelque part, la nuit de la communion, nos coeurs devraient avoir un fardeau pour cette personne, surtout pour les rencontrer, afin qu’ils soient en mesure de s’approcher pour prendre la communion et ne pas être condamnés avec le monde, car ce sont nos frères et soeurs.

Prédication « Que votre Lumière luise ainsi devant les Hommes (Le Panneau Publicitaire de Dieu) », préchée le 1963, William Marrion Branham