Tag Archives: William Branham

28Oct/15
Responsabilité, Faire face, foumi

Faire face

46     Et ici, Jonas, un des petits prophètes de la Bible, a été appelé à descendre dans cette ville.
Et là, on voit un exemple de nous tous. Chacun d’entre nous, on fuit toujours quelque chose. On fuit les difficultés. On fuit les responsabilités. On–on a tous tendance à faire ça. On–on est, on est plus portés à fuir qu’à rester là et à faire face. Vous voyez, c’est simplement qu’on… on–on–on se met à fuir.
Des fois, on est portés à fuir le travail. On ne veut pas, on ne veut pas travailler. Il y a des gens qui s’imaginent simplement qu’ils peuvent gagner leur vie sans travailler. Mais, je pense, c’est Salomon qui a dit que c’est là qu’on peut trouver la réponse, en observant une fourmi.

47     Vous savez, une petite fourmi, on m’a dit que si cette fourmi (chacune), si elle ne travaille pas pour faire des provisions, cette fourmi ne mange pas non plus, cet hiver-là. Alors chacun doit-doit travailler.

48     On a tellement de choses qu’on doit faire, tellement de responsabilités auxquelles on doit faire face. Tout le monde doit faire face à une certaine responsabilité.

William Branham dans la prédication « Un Homme qui fuit la face de l’Eternel », 17 Février 1965

 
27Oct/15
Si vous demeurez sous l’Esprit

Si vous demeurez sous l’Esprit

60     J’ai dit: «J’ai dû venir ici et me retirer à part dans ce désert». Et j’ai pensé: «Je me demande pourquoi Dieu m’a amené dans un désert, là où il n’y a que des scorpions et des lézards monstrueux». Non seulement c’est un désert naturel (il y fait très chaud) mais c’est aussi un désert spirituel. Oh, mon Dieu! Il n’y a aucune vie spirituelle. Les églises sont contre… Oui, je n’ai jamais vu cela de ma vie. Nous n’avons même pas une église ou aller, rien. Les gens sont sur le point de périr spirituellement. J’ai remarqué cela dans les gens que l’on voit là-dehors, je les ai observés et j’ai vu ce qui les différenciait. Si vous demeurez sous l’Esprit de Dieu, votre vie prend un caractère doux, tendre, comme l’eau qui fait pousser l’herbe et ces doux bourgeons. En Arizona, cette herbe ne pourrait pas pousser. Ces arbres seraient des cactus. Ce serait la fin de ces feuilles qui se tourneraient en épines. C’est ainsi que cela se passe quand il commence à faire sec autour de l’église, les gens commencent à se piquer les uns les autres, vous savez… Vous voyez? Vous devez recevoir les douces eaux de la pluie pour être apaisés et produire des feuilles et de l’ombre pour les pèlerins qui passent.

William Branham, extrait de « Honteux de Lui », prêché le 11 Juillet 1965, Traduction MS

10Oct/15
Joyeux Noël

Que cet esprit ne quitte jamais ce lieu!

98 Je dis ceci avec une grande joie dans mon coeur, pour Christ : Beaucoup d’entre eux dorment, aux alentours d’ici, dans des tombes marquées, ce soir, ils attendent cette grande résurrection où nous serons de nouveau réunis.
99 Que cet esprit ne quitte jamais ce lieu! Si, un jour, cela arrive, alors, peu m’importe, votre pasteur aura beau être très éloquent, il aura beau apporter très bien la Parole de Dieu, l’Esprit de Dieu aura été attristé, Il s’en sera allé. Voyez? Quand nous pourrons tout partager dans la communion fraternelle, avoir tout en commun, et nous aimer les uns les autres, alors Dieu oeuvrera avec nous.
100 Alors nous indiquons l’heure, de sorte que les gens qui viendront, ils diront : “Si vous voulez voir une église qui est vraiment humble, une église qui aime vraiment Dieu, allez faire un tour au Tabernacle, là-bas, une fois, et observez. Voyez la sollicitude qu’ils ont les uns pour les autres, le respect; pendant qu’on prêche l’Évangile, comme ils sont respectueux; comme tout est en ordre.” Oui, alors on pourra regarder et voir à quelle heure nous vivons. Vous verrez l’Esprit de Dieu se mouvoir parmi vous : il se fera de grands signes et de grands prodiges, et tout. Si toute la chose oeuvre ensemble, elle indique l’heure. Mais si elle n’oeuvre pas comme ça, alors le temps s’arrête, elle n’indiquera plus l’heure. Donc, si nous voulons savoir à quelle heure nous vivons, que tout le monde se mette à oeuvrer ensemble dans l’Évangile, à s’aimer les uns les autres, à aimer Dieu, alors les aiguilles, elles-mêmes, indiqueront l’heure où nous vivons. Le croyez-vous? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Bien sûr. Amen. Que le Seigneur vous bénisse, abondamment.

« Humile-Toi », 14 Juillet 1963, Extrait du Message de William Branham

10Oct/15
Micro

« Bulletin d’informations »

Nous avons souhaité partager cette vidéo qu’un frère nous a recommandée. Cette vidéo a été postée sur Youtube par l’utilisateur « l’ABC du Salut ». A l’heure où nous voyons les prophéties se réaliser, nous souhaitons savoir ce que le Prophète William Branham a dit. C’est le temps d’être encore plus sincères avec ce Message. Où en sommes-nous ? Nous avons alors intitulé cela « Bulletin d’informations »… Si certaines parties de la vidéo ne vous semblaient pas concorder exactement avec le Message, cependant, nous voulons surtout mettre en avant le travail réalisé, et interpeler chacun face aux évènements modernes rendus clairs par les Prophéties de William BRANHAM. N’hésitez pas à nous faire part de vos remarques…

ATTENTION : Certaines images peuvent choquer la sensibilité.

Deuteronome 18:21-22 :
18.21 Peut-être diras-tu dans ton coeur: Comment connaîtrons-nous la parole que l’Éternel n’aura point dite?
18.22 Quand ce que dira le prophète n’aura pas lieu et n’arrivera pas, ce sera une parole que l’Éternel n’aura point dite. C’est par audace que le prophète l’aura dite: n’aie pas peur de lui.

08Oct/15
Seigneur, pardonne-moi

Faites tout ce que vous pouvez faire

25     Tenez! Il n’y a pas longtemps en Suisse, pendant que je me tenais là, dans les hautes montagnes des Alpes, je pensais à Arnold Von Winkelried. Beaucoup d’entre vous connaissent l’histoire. Quel vaillant héros il a été en Suisse, il y a bien des années. Et voir comment la nation Suisse était envahie par une puissante armée et comment les villes étaient prises. Et les Suisses au sang noble s’étaient rassemblés, depuis les montagnes jusque dans la vallée, munis de toutes petites armes autant qu’ils pouvaient en avoir pour pouvoir se défendre.
    Et pendant qu’ils étaient là sur le champ de bataille, ils les voyaient s’approcher, et pendant qu’ils s’approchaient de cette grande armée, celle-ci était cinquante fois plus nombreuse qu’eux. Et ils étaient – ils n’étaient pas des soldats, ils n’avaient pas été entraînés. Ils ne savaient que faire. Mais cette armée qui envahissait était bien entraînée, ils venaient tous comme un mur en briques.

26     Et pendant qu’ils étaient là, avec leurs lances, en train d’avancer, un grand homme, Arnold Von Winkelried, surgit là. Et, au moment où il se présenta là devant eux, ils étaient désespérés; tout ce à quoi ils pouvaient penser était perdu. Ils allaient simplement s’incliner et perdre leurs maisons. Leurs familles allaient être tuées. Leur patrie allait être détruite. Il n’y avait rien qu’ils pouvaient faire, la situation était désespérée.
    Alors Arnold Von Winkelried surgit et dit: « Mes frères Suisses, aujourd’hui, je vais donner ma vie pour la Suisse ainsi que pour la patrie. »
    On lui demanda: « Que vas-tu faire? »
    Il répondit: « Là, au fond de la vallée, se trouve une belle petite maison où ma femme et mes petits enfants attendent mon retour, mais ils ne me verront plus jamais, car aujourd’hui, je vais donner ma vie pour mon pays. »
    Et quand il fit cette déclaration, ils lui demandèrent: « Que vas-tu faire? »
    Et il répondit: « Maintenant, vous tous qui avez des armes, venez, suivez-moi et faites le mieux que vous pouvez. Combattez avec ce que vous avez. Faites tout ce que vous pouvez faire avec ce que vous avez.

27     Et il poussa un cri, projeta son arme en l’air et dit: « Frayez la voie à la liberté. » Et il fonça vers cette armée-là et il alla tout droit là où il y avait beaucoup plus de lances. Et quand il descendit jusqu’à l’endroit où ils étaient, où des centaines de lances brillantes pouvaient l’atteindre pendant qu’il avançait, il leva ses mains et dit: « Frayez la voie à la liberté. » Et il saisit à pleins bras ces lances et les enfonça dans sa poitrine. Et chacun de ces soldats suisses le suivait derrière. Il rompit les rangs de l’ennemi et ils remportèrent une victoire comme ils n’en avaient jamais remporté une auparavant.
    Et aujourd’hui, si vous citez son nom en Suisse, leurs yeux se rempliront de larmes et leurs joues rougiront à cause de leur héros. A mon avis, c’était l’un des plus grands héros qui eut existé dans l’histoire de l’armée. Mais ce n’est qu’une petite chose, juste une toute petite chose. Un jour, les fils d’Adam se tenaient là, vaincus; la loi, les prophètes et tout avaient failli. Toute approche que nous avions essayée avait totalement échoué. Et là dans la gloire, il y eut Quelqu’un, appelé Fils de Dieu, qui surgit et les Anges Lui demandèrent: « Que vas-Tu faire? »
    Il répondit: « Je vais descendre et Je vais donner Ma vie. Et aujourd’hui, Je vais racheter les fils déchus d’Adam. »

28     Et Il vint au Calvaire. Il alla là où il y avait beaucoup plus de lances. Il traversa la vallée de l’ombre de la mort, et attrapa tous les traits du diable, et les enfonça dans Son propre sein et Il demanda à l’ Église de prendre ce qu’Elle a et de faire le mieux qu’Elle peut. Gloire à Dieu! Au jour de la Pentecôte, un puissant vent impétueux descendit des cieux et dota chaque homme d’une arme.
    Et je dis aujourd’hui, mes frères, que tout homme, peu importe ce que vous avez, faisons le mieux que nous pouvons avec ce que nous avons, et combattons jusqu’au dernier homme parce que nous avons rompu les rangs de l’ennemi. Christ a vaincu Satan, Il l’a dépouillé de tout ce qu’il ait jamais eu, et aujourd’hui il n’est qu’un bluffeur. Tandis qu’il vous dit que nous ne pouvons pas avoir une autre effusion du Saint-Esprit à l’ancienne mode, une effusion de l’Esprit, nous pouvons bien en avoir une aujourd’hui parce que les rangs de l’ennemi sont rompus et Dieu domine et règne aujourd’hui. Alléluia! Je suis heureux pour une expérience à l’ancienne mode du Saint-Esprit du Dieu Vivant.

Extrait du Sermon « Le Jubilé d’Azusa », prêché le 16 Septembre 1956 par William Branham, traduction SHP

13Sep/15
Baptême, Lac Michigan Réveil

Revenir aux Réunions de Prière

16     Je vous le dis, Madame McPherson est partie, beaucoup de vétérans sont partis, mais s’il leur était possible de jeter un regard par-dessus les rampes de la gloire aujourd’hui, ils crieraient « Amen » à cela, tout aussi sûr que je me tiens debout ici. C’est vrai. Retournez de nouveau à l’ancienne ligne de démarcation; retournez à la Pentecôte.
Ce qu’il nous faut faire, c’est nous débarrasser de beaucoup de nos futilités fantaisistes et retourner à la Bible, retourner au Saint-Esprit à l’ancienne mode, retourner au point où les hommes et les femmes paraissent, agissent et marchent comme des Chrétiens. Amen. Vous pourriez penser que je suis un peu excité, que je suis juste un peu fou, mais je vous assure que j’aime bien être ainsi.
Il y a quelque temps, alors que je parcourais les rues ici à Los Angeles, j’ai vu un homme qui portait un écriteau. Par devant, il y était mentionné: « Je suis fou de Christ », et par derrière, il était écrit: « De qui es-tu fou? » Ainsi, je préférerais simplement être fou de Christ plutôt que d’être, à n’importe quel moment, fou du diable.

17     Ce qu’il nous faut aujourd’hui, ministres, ce qu’il nous faut aujourd’hui, frères et soeurs, c’est cette unique chose. Le diable est entré dans notre église et nous a rendus tous formalistes, indifférents. Ce qu’il nous faut, c’est un appel à retourner. Ce qu’il nous faut, c’est encore un rassemblement à l’ancienne mode, le retentissement du Jubilé, l’effusion du Saint-Esprit, le déversement de l’Esprit. Amen. Certainement, c’est bien là une raison pour revenir aux réunions de prière.
C’est vrai, nous avons simplement commencé à suivre la mode, juste comme le monde, à agir exactement comme le monde. Cela est arrivé à cause de tant d’évangélisation à la Hollywood, de tant de télévision, du fait de rester à la maison le soir pour regarder la télévision au lieu d’aller à la réunion de prière; regarder « Qui aime Lucy » et toutes sortes de sottises, et rester loin de la Parole de Dieu et loin de l’église. Et je vous le dis, frère, c’est cela la raison. Vous savez bien que c’est la vérité. Que Dieu nous aide aujourd’hui à revenir à l’expérience de la Pentecôte à l’ancienne mode: celle du baptême du Saint-Esprit.

 Le jubile d’Azusa,  William Branham, a été prêchée le 16 Septembre 1956

01Sep/15
Nature

Amener la Présence de Dieu à un auditoire

  13     J’ai eu le privilège d’entendre prêcher des hommes saints. On a raconté, une fois, au sujet de Charles Finney, un petit bout d’homme qui n’a jamais pesé plus de cent dix livres [50 kg], mais qui s’exprimait de manière tellement énergique que… Un jour, il testait l’acoustique d’un bâtiment. À cette époque-là, les systèmes de sonorisation n’existaient pas. Et un homme qui faisait des travaux de réfection en haut, au balcon, ou, en haut, sur le toit du bâtiment, a entendu cet homme qui entrait, alors, comme il ne savait pas qui étaient ces gens, il est resté bien tranquille. Et M. Finney allait tester l’acoustique. Après avoir passé beaucoup de temps en prière en vue des réunions de réveil qu’il allait faire, il a testé sa voix pour voir jusqu’où elle portait. Il est allé à la chaire en vitesse et il a dit: “Repentez-vous, sinon vous périrez!” Et il l’a dit avec tant de force–de force, après avoir été sous l’onction de Dieu, que l’homme a dégringolé du haut du balcon, sur le sol, ou, du haut du bâtiment, sur le sol.
     14     Il prêchait l’Évangile avec tant d’ardeur qu’à Boston, dans le Massachusetts, il a dû se tenir dans une petite bay-window, parce qu’aucune église ne pouvait contenir sa foule. Il se tenait là à déployer une énergie si puissante, et il prêchait l’enfer comme un lieu si affreux que les ouvriers avec leur panier sous le bras s’effondraient dans la rue, implorant la miséricorde à grands cris. Dans la Présence de Dieu! De grands prédicateurs qui ont pu, par la Parole de Dieu, amener la Présence de Dieu à un auditoire. Loin de nous la pensée qu’un jour des hommes aient le coeur tellement endurci qu’ils ne puissent plus reconnaître la Présence de Dieu. Loin de nous cette pensée!

Extrait de la prédication « Dans Sa Présence », prêché par Fr William Branham le 09 Septembre 1962, soir, Traduction de la Voix de Dieu.

30Août/15
Bible

Révélation

Vous vous en souvenez, j’ai dit au début de ce message que ce Livre que nous étudions est en fait la révélation de Jésus Lui-même dans l’Église et de Son œuvre dans les âges à venir. J’ai ensuite mentionné que le Saint-Esprit doit nous donner la révélation, sans quoi nous ne pouvons pas la recevoir. Ces deux pensées réunies, vous pouvez voir que l’étude ordinaire et la simple réflexion ne suffiront pas à faire de ce Livre une réalité. Il faudra pour cela l’œuvre du Saint-Esprit. Ceci pour dire que ce Livre ne peut être révélé qu’à une catégorie spéciale de gens. Il faudra pour cela quelqu’un qui a la faculté du discernement prophétique. Cela nécessitera une capacité d’écouter Dieu parler. Cela nécessitera un enseignement surnaturel, pas seulement d’étudier en comparant un verset à l’autre, bien que ce soit une bonne chose. Mais un mystère nécessite l’enseignement de l’Esprit, sans quoi il ne sera jamais clair. Combien nous avons besoin d’écouter Dieu parler, et de nous ouvrir en nous abandonnant à l’Esprit, pour entendre et pour connaître.

   Comme je l’ai déjà dit, ce Livre (l’Apocalypse) est l’accomplissement final des Écritures. Même dans le canon biblique, il est placé à la fin, exactement là où il doit être. Vous comprenez maintenant pourquoi il est dit que quiconque le lit ou même entend ce qui y est dit est béni : c’est la révélation de Dieu qui vous donne autorité sur le diable. Et vous comprenez pourquoi ceux qui y ajouteraient ou en retrancheraient quelque chose seraient maudits. Il en est nécessairement ainsi, car qui pourrait ajouter ou enlever quelque chose à la révélation parfaite de Dieu, tout en ayant la victoire sur l’ennemi? C’est aussi simple que cela. Rien ne peut prévaloir avec autant de puissance que la révélation de la Parole. Voyez : au verset 3, une bénédiction est prononcée sur ceux qui accordent une attention particulière à ce Livre. Je pense qu’il y a ici une référence à l’habitude qu’avaient les sacrificateurs de l’Ancien Testament de lire la Parole devant l’assemblée, le matin. Voyez-vous, comme beaucoup de gens ne savaient pas lire, le sacrificateur devait leur faire la lecture. Du moment que c’était la Parole, la bénédiction était là. Qu’importe si c’était lu ou entendu.

Extrait de l’Exposé des 7 âges de l’Eglise, Révélation de Jésus Christ, 1965, Chapitre 1 p16, William Branham

29Août/15
Education, instruction

Vous avez la responsabilité d’éduquer vos enfants

48 On a tellement de choses qu’on doit faire, tellement de responsabilités auxquelles on doit faire face. Tout le monde doit faire face à une certaine responsabilité.
49 Quand vous–quand vous allez pour–pour choisir votre épouse, pour vous marier, ou choisir votre mari, vous–vous devez prendre une responsabilité. Et alors vous devez vous souvenir… Peut-être que vous construisez une maison; une belle maison, jolie. Et alors, souvenez-vous, en tant que femme mariée, vous devez penser à la responsabilité d’élever des enfants. Et vous devez penser que ces beaux murs bien lisses seront pleins de traces de petites mains sales. Ensuite vous avez la responsabilité d’éduquer vos enfants. Vous avez la responsabilité de les vêtir et de les nourrir.
50 Tout est une responsabilité. Et c’est si facile, quand les responsabilités sont devant nous, de les esquiver. Et on découvre que le mariage est une responsabilité, à tous les points de vue.
51 Même, très souvent, on trouve… Ce n’est pas facile à dire, mais c’est vrai, que des serviteurs de Dieu, souvent, esquivent une responsabilité de prendre position pour la vraie Parole de Dieu quand ils Y sont confrontés. Ils esquivent cette responsabilité. Quand nous, les êtres humains, on est confrontés à la Vérité de la Parole de Dieu, on a… on a tendance à reculer jusqu’à la dernière limite.

52     Je viens juste d’avoir une conversation avec mon petit neveu, là-bas. I1 est catholique, et il… Et j’ai baptisé ce garçon, au Nom de Jésus-Christ, ici il y a quelques années, et il s’est mis à sortir avec une fille et il s’est fait catholique. Et j’ai tenu la main de sa mère quand elle était en train de mourir là-bas. Elle m’a dit, les derniers mots: «Prends soin de Melvin.» Et dernièrement, il a eu des songes. Il ne peut simplement pas… Chaque, chaque jour, la semaine passée, il a eu des songes. Il a dit: «J’entrais dans ton église, oncle Bill, et tu étais là, debout en train de prêcher. J’accourais pour me mettre à faire une confession. Je me réveillais.» Il a dit: «J’ai–j’ai eu tort.»
    Je lui ai dit: «Melvin, tu n’as pas besoin d’interprétation pour ça. Ta place, c’est là-bas, c’est là que tu dois être.» C’est ça. Voyez?

53     Mais d’assumer des responsabilités, parfois, ça nous écorche, de faire ça. Et comme père, d’assumer la responsabilité de donner une correction à votre enfant. Ces petits enfants, vous ne voulez pas faire ça. Mais en tant que père ou que mère, vous devez assumer la responsabilité d’élever cet enfant, parce que la Bible a dit: «Ménage la verge et tu gâteras ton fils.» Et ça tient encore bon aux yeux de chaque psychologue qu’il y a dans le monde. Ça reste toujours la Vérité de Dieu. S’il y avait eu plus de ça mis en pratique, on n’aurait pas eu tant de délinquance juvénile et tout ça, et la pourriture qu’on a dans le monde aujourd’hui. Mais la vieille règle d’or du foyer a été transgressée, il y a longtemps, et ils laissent les enfants faire tout ce qu’ils veulent.

Un Homme qui fuit la face de l’Eternel, 17 Février 1965, prédication de William Branham

27Août/15
Bible rayonnante

C’est le Parfait

5    L’Amour devrait gouverner le foyer. L’Amour est la puissance la plus forte mise à disposition de l’homme. Un–un foyer qui n’est pas discipliné par l’Amour n’est pas vraiment un foyer. Si le mari et la femme ne s’aiment pas profondément, ils ne peuvent pas avoir confiance l’un dans l’autre. C’est pourquoi je pense que au lieu de faire reposer notre foi sur quelque émotion (ce qui est en ordre), ou sur quelque don (ce qui est en ordre), comme crier ou parler en langues, ou d’autres choses que nous prenons pour–disant que nous avons reçu le Saint-Esprit lorsque nous faisons cela… Ces choses sont en ordre. Mais si nous voulions revenir à ce principe: L’Amour d’abord, ensuite les autres choses.
    Si nous faisions cela, notre église avancerait beaucoup plus rapidement, si nous prenions Dieu premièrement; car Dieu est Amour.

6    Maintenant, l’Amour a deux significations différentes, avec deux mots différents pour l’exprimer. En grec, une sorte d’amour est appelée phileo. C’est l’amour naturel que vous pouvez avoir pour votre femme; mais l’amour agapao veut dire amour divin. Bien l’amour que vous avez pour votre femme et l’Amour pour Dieu sont très opposés l’un à L’autre. Écoutez simplement ceci. L’amour que vous avez pour votre femme, si un homme l’insultait, vous le tueriez immédiatement, avec cette sorte d’amour phileo; mais avec l’amour agapao ou amour divin, vous prieriez pour l’âme perdue de cet homme. Voilà la différence.
    Il y a deux sortes d’amour. Et je suis presque sûr que beaucoup d’entre nous se sont trompés, ayant l’amour phileo, en pensant que c’était l’amour agapao. L’amour phileo est intellectuel, tandis que l’amour agapao vient du coeur. C’est l’amour humain, l’amour affectif, et l’Amour divin. L’amour agapao ne se pose pas de questions. L’amour humain raisonne toujours, l’amour divin ne le fait jamais! Il est parfait dans sa confiance. C’est le parfait… cela produit simplement la foi lorsque vous aimez réellement.

Extrait de la Brochure ‘Quand l’amour s’élance’, prêché le 06 Août 1957 par William Branham, traduction MS