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27Oct/15
Si vous demeurez sous l’Esprit

Si vous demeurez sous l’Esprit

60     J’ai dit: «J’ai dû venir ici et me retirer à part dans ce désert». Et j’ai pensé: «Je me demande pourquoi Dieu m’a amené dans un désert, là où il n’y a que des scorpions et des lézards monstrueux». Non seulement c’est un désert naturel (il y fait très chaud) mais c’est aussi un désert spirituel. Oh, mon Dieu! Il n’y a aucune vie spirituelle. Les églises sont contre… Oui, je n’ai jamais vu cela de ma vie. Nous n’avons même pas une église ou aller, rien. Les gens sont sur le point de périr spirituellement. J’ai remarqué cela dans les gens que l’on voit là-dehors, je les ai observés et j’ai vu ce qui les différenciait. Si vous demeurez sous l’Esprit de Dieu, votre vie prend un caractère doux, tendre, comme l’eau qui fait pousser l’herbe et ces doux bourgeons. En Arizona, cette herbe ne pourrait pas pousser. Ces arbres seraient des cactus. Ce serait la fin de ces feuilles qui se tourneraient en épines. C’est ainsi que cela se passe quand il commence à faire sec autour de l’église, les gens commencent à se piquer les uns les autres, vous savez… Vous voyez? Vous devez recevoir les douces eaux de la pluie pour être apaisés et produire des feuilles et de l’ombre pour les pèlerins qui passent.

William Branham, extrait de « Honteux de Lui », prêché le 11 Juillet 1965, Traduction MS

25Oct/15
Soif

Que rien ne vous arrête

28     Mais mon point de vue est celui-ci: lorsque vous essayez de faire ce qui est juste, la première chose que vous faites est de sentir si vous êtes conduits à faire cette chose; ensuite vous vérifiez avec la Parole pour voir si c’est en accord avec Elle; alors que rien ne vous arrête. Peu m’importe combien de bâtons le diable va vous jeter dans les roues, passez simplement par-dessus tout cela.

William Branham, extrait de « Honteux de Lui », prêché le 11 Juillet 1965, Traduction MS

10Oct/15
Joyeux Noël

Que cet esprit ne quitte jamais ce lieu!

98 Je dis ceci avec une grande joie dans mon coeur, pour Christ : Beaucoup d’entre eux dorment, aux alentours d’ici, dans des tombes marquées, ce soir, ils attendent cette grande résurrection où nous serons de nouveau réunis.
99 Que cet esprit ne quitte jamais ce lieu! Si, un jour, cela arrive, alors, peu m’importe, votre pasteur aura beau être très éloquent, il aura beau apporter très bien la Parole de Dieu, l’Esprit de Dieu aura été attristé, Il s’en sera allé. Voyez? Quand nous pourrons tout partager dans la communion fraternelle, avoir tout en commun, et nous aimer les uns les autres, alors Dieu oeuvrera avec nous.
100 Alors nous indiquons l’heure, de sorte que les gens qui viendront, ils diront : “Si vous voulez voir une église qui est vraiment humble, une église qui aime vraiment Dieu, allez faire un tour au Tabernacle, là-bas, une fois, et observez. Voyez la sollicitude qu’ils ont les uns pour les autres, le respect; pendant qu’on prêche l’Évangile, comme ils sont respectueux; comme tout est en ordre.” Oui, alors on pourra regarder et voir à quelle heure nous vivons. Vous verrez l’Esprit de Dieu se mouvoir parmi vous : il se fera de grands signes et de grands prodiges, et tout. Si toute la chose oeuvre ensemble, elle indique l’heure. Mais si elle n’oeuvre pas comme ça, alors le temps s’arrête, elle n’indiquera plus l’heure. Donc, si nous voulons savoir à quelle heure nous vivons, que tout le monde se mette à oeuvrer ensemble dans l’Évangile, à s’aimer les uns les autres, à aimer Dieu, alors les aiguilles, elles-mêmes, indiqueront l’heure où nous vivons. Le croyez-vous? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Bien sûr. Amen. Que le Seigneur vous bénisse, abondamment.

« Humile-Toi », 14 Juillet 1963, Extrait du Message de William Branham

13Sep/15
Baptême, Lac Michigan Réveil

Revenir aux Réunions de Prière

16     Je vous le dis, Madame McPherson est partie, beaucoup de vétérans sont partis, mais s’il leur était possible de jeter un regard par-dessus les rampes de la gloire aujourd’hui, ils crieraient « Amen » à cela, tout aussi sûr que je me tiens debout ici. C’est vrai. Retournez de nouveau à l’ancienne ligne de démarcation; retournez à la Pentecôte.
Ce qu’il nous faut faire, c’est nous débarrasser de beaucoup de nos futilités fantaisistes et retourner à la Bible, retourner au Saint-Esprit à l’ancienne mode, retourner au point où les hommes et les femmes paraissent, agissent et marchent comme des Chrétiens. Amen. Vous pourriez penser que je suis un peu excité, que je suis juste un peu fou, mais je vous assure que j’aime bien être ainsi.
Il y a quelque temps, alors que je parcourais les rues ici à Los Angeles, j’ai vu un homme qui portait un écriteau. Par devant, il y était mentionné: « Je suis fou de Christ », et par derrière, il était écrit: « De qui es-tu fou? » Ainsi, je préférerais simplement être fou de Christ plutôt que d’être, à n’importe quel moment, fou du diable.

17     Ce qu’il nous faut aujourd’hui, ministres, ce qu’il nous faut aujourd’hui, frères et soeurs, c’est cette unique chose. Le diable est entré dans notre église et nous a rendus tous formalistes, indifférents. Ce qu’il nous faut, c’est un appel à retourner. Ce qu’il nous faut, c’est encore un rassemblement à l’ancienne mode, le retentissement du Jubilé, l’effusion du Saint-Esprit, le déversement de l’Esprit. Amen. Certainement, c’est bien là une raison pour revenir aux réunions de prière.
C’est vrai, nous avons simplement commencé à suivre la mode, juste comme le monde, à agir exactement comme le monde. Cela est arrivé à cause de tant d’évangélisation à la Hollywood, de tant de télévision, du fait de rester à la maison le soir pour regarder la télévision au lieu d’aller à la réunion de prière; regarder « Qui aime Lucy » et toutes sortes de sottises, et rester loin de la Parole de Dieu et loin de l’église. Et je vous le dis, frère, c’est cela la raison. Vous savez bien que c’est la vérité. Que Dieu nous aide aujourd’hui à revenir à l’expérience de la Pentecôte à l’ancienne mode: celle du baptême du Saint-Esprit.

 Le jubile d’Azusa,  William Branham, a été prêchée le 16 Septembre 1956

01Sep/15
Nature

Amener la Présence de Dieu à un auditoire

  13     J’ai eu le privilège d’entendre prêcher des hommes saints. On a raconté, une fois, au sujet de Charles Finney, un petit bout d’homme qui n’a jamais pesé plus de cent dix livres [50 kg], mais qui s’exprimait de manière tellement énergique que… Un jour, il testait l’acoustique d’un bâtiment. À cette époque-là, les systèmes de sonorisation n’existaient pas. Et un homme qui faisait des travaux de réfection en haut, au balcon, ou, en haut, sur le toit du bâtiment, a entendu cet homme qui entrait, alors, comme il ne savait pas qui étaient ces gens, il est resté bien tranquille. Et M. Finney allait tester l’acoustique. Après avoir passé beaucoup de temps en prière en vue des réunions de réveil qu’il allait faire, il a testé sa voix pour voir jusqu’où elle portait. Il est allé à la chaire en vitesse et il a dit: “Repentez-vous, sinon vous périrez!” Et il l’a dit avec tant de force–de force, après avoir été sous l’onction de Dieu, que l’homme a dégringolé du haut du balcon, sur le sol, ou, du haut du bâtiment, sur le sol.
     14     Il prêchait l’Évangile avec tant d’ardeur qu’à Boston, dans le Massachusetts, il a dû se tenir dans une petite bay-window, parce qu’aucune église ne pouvait contenir sa foule. Il se tenait là à déployer une énergie si puissante, et il prêchait l’enfer comme un lieu si affreux que les ouvriers avec leur panier sous le bras s’effondraient dans la rue, implorant la miséricorde à grands cris. Dans la Présence de Dieu! De grands prédicateurs qui ont pu, par la Parole de Dieu, amener la Présence de Dieu à un auditoire. Loin de nous la pensée qu’un jour des hommes aient le coeur tellement endurci qu’ils ne puissent plus reconnaître la Présence de Dieu. Loin de nous cette pensée!

Extrait de la prédication « Dans Sa Présence », prêché par Fr William Branham le 09 Septembre 1962, soir, Traduction de la Voix de Dieu.

29Août/15
Education, instruction

Vous avez la responsabilité d’éduquer vos enfants

48 On a tellement de choses qu’on doit faire, tellement de responsabilités auxquelles on doit faire face. Tout le monde doit faire face à une certaine responsabilité.
49 Quand vous–quand vous allez pour–pour choisir votre épouse, pour vous marier, ou choisir votre mari, vous–vous devez prendre une responsabilité. Et alors vous devez vous souvenir… Peut-être que vous construisez une maison; une belle maison, jolie. Et alors, souvenez-vous, en tant que femme mariée, vous devez penser à la responsabilité d’élever des enfants. Et vous devez penser que ces beaux murs bien lisses seront pleins de traces de petites mains sales. Ensuite vous avez la responsabilité d’éduquer vos enfants. Vous avez la responsabilité de les vêtir et de les nourrir.
50 Tout est une responsabilité. Et c’est si facile, quand les responsabilités sont devant nous, de les esquiver. Et on découvre que le mariage est une responsabilité, à tous les points de vue.
51 Même, très souvent, on trouve… Ce n’est pas facile à dire, mais c’est vrai, que des serviteurs de Dieu, souvent, esquivent une responsabilité de prendre position pour la vraie Parole de Dieu quand ils Y sont confrontés. Ils esquivent cette responsabilité. Quand nous, les êtres humains, on est confrontés à la Vérité de la Parole de Dieu, on a… on a tendance à reculer jusqu’à la dernière limite.

52     Je viens juste d’avoir une conversation avec mon petit neveu, là-bas. I1 est catholique, et il… Et j’ai baptisé ce garçon, au Nom de Jésus-Christ, ici il y a quelques années, et il s’est mis à sortir avec une fille et il s’est fait catholique. Et j’ai tenu la main de sa mère quand elle était en train de mourir là-bas. Elle m’a dit, les derniers mots: «Prends soin de Melvin.» Et dernièrement, il a eu des songes. Il ne peut simplement pas… Chaque, chaque jour, la semaine passée, il a eu des songes. Il a dit: «J’entrais dans ton église, oncle Bill, et tu étais là, debout en train de prêcher. J’accourais pour me mettre à faire une confession. Je me réveillais.» Il a dit: «J’ai–j’ai eu tort.»
    Je lui ai dit: «Melvin, tu n’as pas besoin d’interprétation pour ça. Ta place, c’est là-bas, c’est là que tu dois être.» C’est ça. Voyez?

53     Mais d’assumer des responsabilités, parfois, ça nous écorche, de faire ça. Et comme père, d’assumer la responsabilité de donner une correction à votre enfant. Ces petits enfants, vous ne voulez pas faire ça. Mais en tant que père ou que mère, vous devez assumer la responsabilité d’élever cet enfant, parce que la Bible a dit: «Ménage la verge et tu gâteras ton fils.» Et ça tient encore bon aux yeux de chaque psychologue qu’il y a dans le monde. Ça reste toujours la Vérité de Dieu. S’il y avait eu plus de ça mis en pratique, on n’aurait pas eu tant de délinquance juvénile et tout ça, et la pourriture qu’on a dans le monde aujourd’hui. Mais la vieille règle d’or du foyer a été transgressée, il y a longtemps, et ils laissent les enfants faire tout ce qu’ils veulent.

Un Homme qui fuit la face de l’Eternel, 17 Février 1965, prédication de William Branham

27Août/15
Bible rayonnante

C’est le Parfait

5    L’Amour devrait gouverner le foyer. L’Amour est la puissance la plus forte mise à disposition de l’homme. Un–un foyer qui n’est pas discipliné par l’Amour n’est pas vraiment un foyer. Si le mari et la femme ne s’aiment pas profondément, ils ne peuvent pas avoir confiance l’un dans l’autre. C’est pourquoi je pense que au lieu de faire reposer notre foi sur quelque émotion (ce qui est en ordre), ou sur quelque don (ce qui est en ordre), comme crier ou parler en langues, ou d’autres choses que nous prenons pour–disant que nous avons reçu le Saint-Esprit lorsque nous faisons cela… Ces choses sont en ordre. Mais si nous voulions revenir à ce principe: L’Amour d’abord, ensuite les autres choses.
    Si nous faisions cela, notre église avancerait beaucoup plus rapidement, si nous prenions Dieu premièrement; car Dieu est Amour.

6    Maintenant, l’Amour a deux significations différentes, avec deux mots différents pour l’exprimer. En grec, une sorte d’amour est appelée phileo. C’est l’amour naturel que vous pouvez avoir pour votre femme; mais l’amour agapao veut dire amour divin. Bien l’amour que vous avez pour votre femme et l’Amour pour Dieu sont très opposés l’un à L’autre. Écoutez simplement ceci. L’amour que vous avez pour votre femme, si un homme l’insultait, vous le tueriez immédiatement, avec cette sorte d’amour phileo; mais avec l’amour agapao ou amour divin, vous prieriez pour l’âme perdue de cet homme. Voilà la différence.
    Il y a deux sortes d’amour. Et je suis presque sûr que beaucoup d’entre nous se sont trompés, ayant l’amour phileo, en pensant que c’était l’amour agapao. L’amour phileo est intellectuel, tandis que l’amour agapao vient du coeur. C’est l’amour humain, l’amour affectif, et l’Amour divin. L’amour agapao ne se pose pas de questions. L’amour humain raisonne toujours, l’amour divin ne le fait jamais! Il est parfait dans sa confiance. C’est le parfait… cela produit simplement la foi lorsque vous aimez réellement.

Extrait de la Brochure ‘Quand l’amour s’élance’, prêché le 06 Août 1957 par William Branham, traduction MS

26Août/15
La Prière fervente, Le travail de l'âme

Prière fervente

E-75 Nous voyons dans Jacques 5.15, la Bible dit que la prière fervente (c’est-à-dire qu’on est poussé à bout) – la prière fervente du juste a une grande efficacité. Quand un homme juste, un homme de bien est en travail ou que son âme voyage ou plutôt que son âme est en travail, l’un ou l’autre… [Frère Branham utilise le terme anglais  » travel « , qui signifie  » voyage  » au lieu du terme  » travail « , qui signifie  » douleurs d’enfantement  » – N.D.T.] (Je – je pense que voyage [En anglais :  » Travel – N.D.T.] est le meilleur terme. Travail ou voyage [En anglais :  » Travail  » or  » travel  » – N.D.T.], l’un ou l’autre, le terme par lequel vous voulez désigner cela.) Mais quand une – l’âme est poussée à bout tandis qu’elle travaille, la prière fervente d’un homme qui peut montrer le Signe produit quelque chose. Vous voyez?

E-76 Remarquez ce que la Bible dit aussi ici dans Jacques 16… 5.16, il est dit:  » Si… En confessant nos péchés (en nous mettant en ordre, nous préparant pour cela)… Confessons nos péchés les uns aux autres.  » N’ayons point – point de péché… demandez aux gens de prier pour vous, confessant nos péchés les uns aux autres et priant les uns pour les autres… Voilà ! Ayant un amour – un amour tel que j’aurai confiance, et que je pourrai vous confesser mes torts. Vous pouvez me confesser vos torts; je vous aime tellement que je vais prier pour vous, et vous, vous prierez pour moi; et je m’en tiendrai à cela, à cette prière fervente jusqu’à ce qu’elle soit exaucée. C’est – c’est cela être poussé à bout. C’est la condition dans laquelle nous devrions être.

Poussé à bout, prêché le 01 Septembre 1963, soir, à Jeffersonville par le Prophète William Branham, Traduction SHP

 

23Août/15
Dieu comme l'Arc-en-Ciel

Dieu d’abord, Sa Parole d’abord

98    Aussi certain qu’Il est Dieu, Il doit tenir Sa Parole. Certainement! L’ordre était donc: «Va à la ville, j’y ai ordonné à une femme veuve…» Une vision surgit devant le prophète. Et le voilà qui se met à marcher. Il ne sait pas où il va; cela ne fait aucune différence. Il ne fait qu’obéir.

99    Elle ne sait pas où se trouveront ces morceaux de bois, mais il y a, quelque part dans le jardin, deux morceaux de bois. Elle se met en route; elle va au jardin. Elle regarde autour d’elle: «Oh, comme il fait chaud!»; et ces hurlements qui proviennent de la ville, et les rôdeurs de nuit qui, titubant, rentrent en buvant du vin et ainsi de suite… Elle jette un coup d’oeil dans la rue; elle ne voit rien. Elle trouve un morceau de bois, une partie de la croix, le sacrifice de soi. Elle trouve un autre morceau de bois et, comme elle ramasse ce second morceau de bois…

100    Oh! quelle heure lugubre cela devait être: la mort était sur le seuil de sa porte. Une petite bouchée de gâteau de maïs et elle et son fils mourraient. C’était tout. C’est parfois au beau milieu des ténèbres qu’on entend la voix.

101    Repartant vers la maison après avoir ramassé ce second morceau de bois, elle entend une voix de l’autre côté du portail: «Va me chercher un peu d’eau dans un vase!»

102    Elle se retourne pour voir, les deux morceaux de bois dans sa main, la farine et l’huile mélangées et prêtes. Elle dit les avoir préparées, mélangées. C’est cela: la Parole et l’Esprit doivent se mélanger, et être placés sur la croix du sacrifice de soi, afin de nier tout ce qui est contraire à ce que vous avez demandé. C’est exact. «J’ai fait le mélange; je vais maintenant aller chercher ces morceaux de bois.» Et cette voix déclare: «Apporte-moi un peu d’eau dans un vase!»

103    Elle regarde et voit un homme se tenant là, appuyé contre le portail; un homme aux joues creuses, barbu, chauve, qui, depuis l’autre côté du portail, la regarde, enveloppé d’une vieille peau de mouton. Il avait l’air d’être un aimable vieillard. Elle se dit: «Je vais partager mon eau avec lui.»

104    Les eaux de la Vie: vous êtes prêt à en donner à tout le monde, à en parler à tout le monde, à aller n’importe où. «Un instant, Monsieur.»

105    Elle s’en retourne, avec les morceaux de bois dans sa main. Et la voix tonne à nouveau: «Non seulement partageras-tu ton eau, mais apporte-moi aussi un petit morceau de pain dans ta main!» Le pain de la Vie, l’eau de la Vie: «de la Vie»? Elle mourrait aussitôt qu’ils seraient épuisés.

106    «Apporte-moi ton eau, et apporte-moi ton pain!» Que trouvons-nous ici? Quelle leçon pouvons-nous en tirer? «Cherchez premièrement le Royaume de Dieu et toute Sa justice; les autres choses vous seront données par-dessus.» «Apporte-moi un peu d’eau et un morceau de pain.»

107    Encore tout abattue, elle se retourne alors; je peux l’entendre dire: «Monsieur!» – quelque chose comme ceci – «Vous êtes différent des hommes que j’ai vus, des hommes que j’ai entendus parler, vous semblez si sûr de ce que vous avancez. Mais j’ai tout juste assez de farine, juste une poignée, et juste une cuillerée d’huile. J’avais préparé cela, et je vais le cuire avec ces deux morceaux de bois. Et puis je le mangerai avec mon fils, après quoi nous mourrons. C’est tout ce que j’ai!»

108    Qu’entendons-nous ensuite? «Mais apporte-moi d’abord le petit gâteau!» Dieu d’abord! Peu importe ce qu’on peut dire, ou quoi que ce soit d’autre, une quelconque évidence et combien sombre cela peut paraître, quoi qu’il en soit, prenez Dieu d’abord, Sa Parole d’abord!

109    «Le médecin a dit que je ne peux me rétablir»; mais Sa Parole passe d’abord! «Je suis un trop grand pécheur!», «Je suis une prostituée!», «Je joue à l’argent!», «Je suis un ivrogne!»; la Parole de Dieu d’abord! «Si vos péchés sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige; s’ils sont rouges comme la pourpre, ils deviendront blancs comme la laine.» Dieu d’abord.

Soyez certains de Dieu, 25 Janvier 1959, William Branham

22Août/15
Soif

Soif d’amour

73     C’est comme un jeune homme et une jeune femme. Bon, ce n’est pas inutile, ou ce n’est pas (je veux dire) anormal pour un jeune homme et une jeune femme de–de s’aimer. C’est une soif d’amour. C’est de leur âge, et ils–ils s’aiment. Et ce n’est pas quelque chose d’anormal, c’est tout simplement naturel chez eux.

74     Maintenant, nous voyons qu’il y a beaucoup de choses, dans la vie que nous menons dans ce corps naturel, dont nous avons soif. C’est simplement quelque chose qui est là, à l’intérieur de nous. Nous voulons faire ces choses, nous considérons vraiment que c’est nécessaire. Et c’est effectivement nécessaire que nous les fassions.

75     Nous voyons qu’il y a beaucoup de femmes, de nos jours, qui ont soif de beauté. Or, il n’y a pas une seule femme… C’est une chose naturelle chez la femme d’avoir soif d’être belle. Ça, c’est–c’est son instinct, que Dieu lui a donné, et–et sa beauté que Dieu lui a donnée pour son compagnon. Et donc, nous voyons que les femmes veulent être comme ça. Pourquoi donc? C’est simplement parce que c’est quelque chose que Dieu lui a donné. Que les femmes soient belles, il n’y a pas de mal à ça. Elles devraient l’être.

76     Et, vous savez, les seules créatures où–où la femelle est plus belle que le mâle, c’est dans la race humaine. Tous les autres animaux, prenez la–la vache et le taureau, la biche et le cerf, la poule et le coq, l’oiselle et l’oiseau, vous allez toujours constater que le mâle est grand et beau. Mais, dans la race humaine, preuve que c’est là qu’il y a eu la perversion, c’est le contraire; ce sont les femmes, alors, qui sont–sont belles, et elles ont soif d’être belles.

77     Pas comme certaines de ces créatures bizarres qu’on voit dans la rue aujourd’hui; non, non, pas cette sorte de beauté là. Non. Ça, c’est le spectacle le plus horrible que j’ai jamais vu de ma vie. Oui monsieur. Ça, c’est de la perversion, c’est de pervertir la vraie soif.

78     Or, la vraie soif qu’une femme devrait avoir, ce serait de “se vêtir d’une manière décente, et d’avoir un esprit semblable à celui de Christ”, I Timothée 2.9. Maintenant, la femme, c’est d’être comme ça qu’elle devrait avoir soif. Maintenant, si vous voulez être belles, c’est ça qui fait votre beauté, voyez-vous, c’est un esprit semblable à celui de Christ, et d’être vêtues d’une manière décente.

Extrait de la Prédication La Soif de William Branham,  prêchée le 19 Septembre 1965