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04Juin/17
Fleur Lys d'Eau

Que je Meure à Moi-même

159 Je me demande si nous sommes autant disposés ce soir. Je me demande si le monde pentecôtiste est disposé ce soir à s’accorder de même avec Dieu. « Seigneur Dieu, si cela met ma dénomination en pièces, qu’on m’excommunie du conseil ! Peu m’importe qu’on me retire la carte de membre, et que je doive me coucher à plate couture, boire de l’eau du robinet et manger des biscuits secs, plutôt que rouler dans une grosse voiture avec un gros salaire. Peu m’importe le prix. Ce système m’a éloigné de Toi. Ramène-moi une fois de plus, Seigneur. Je croirai Ta Parole. Venge-moi de mes yeux crevés. Que je meure avec cela. Amen. Que je meure à moi-même. Peu m’importe ce qu’on dit à mon sujet. Je peux devenir l’évêque. Je peux devenir ceci, cela ou autre. Peu m’importe ce qu’on dit. Restaure la puissance du Saint-Esprit dans ma vie. J’ai été assez longtemps aveuglé. »

160 Ô église, êtes-vous disposée pour cela ? « Que je meure avec les autres. Que mon titre de révérend, docteur, ou je ne sais quoi, périsse. Ô Dieu, accorde-moi une fois seulement, envoie sur moi, une fois seulement, cette glorieuse puissance qui était descendue le jour de la Pentecôte, qui peut relever le défi de cette heure, face au communisme qui se lève ou n’importe quoi d’autre qui se lève. Que je meure, Seigneur, avec eux. » Il y a une possibilité, vous savez.

161 Vous savez quoi ? Lors de cette confession, les Philistins, ils étaient trop ivres pour remarquer ce qu’il faisait. Tout d’un coup, quand il a vu qu’il y avait une possibilité, il a redressé la tête vers les cieux, et les larmes ont coulé de ses orbites aveugles. Il s’est mis à bouger les lèvres, les larmes coulaient de ses yeux. Les autres ne le remarquaient pas. Ils étaient trop occupés à se moquer de lui. Il voulait la Parole de Dieu, que le véritable Dieu vivant entre une fois de plus en scène. Il lui avait fait défaut. Il savait qu’il Lui avait fait défaut. Mais il voulait voir le Dieu vivant vivre ici pour prouver à ce groupe de Jézabel qu’Il était toujours Dieu.

Extrait de « Encore une fois », prêchée le 17 Novembre 1963 par William Branham

29Avr/16
Prenez soin de votre papa

Comment pouvez-vous haïr votre frère ?

E-69 Souvenez-vous de Lui pendant que nous sommes à genoux à la croix. Que ce soit un prêtre catholique, un presbytérien, quoi qu’il puisse être, que cet homme vienne pendant qu’il lit son nom là-dedans : « Il était blessé pour les péchés de ce prêtre. Il était blessé pour ce méthodiste, ce baptiste, ce pentecôtiste, ce que. blessé pour nos péchés. » Mon nom, votre nom, peu importe qui vous êtes. Croyons donc cela. Non pas ce que le credo dit ; ce que la Parole dit. Ensuite agenouillons-nous ensemble à la croix ; nous sommes frères. Oh, oui, les traditions. Nous nous purifions alors de toutes les traditions mortes. Il se pourrait qu’il y ait quarante évêques de district ; il se pourrait qu’il y ait quarante souverains sacrificateurs ; il se pourrait qu’il y ait des cardinaux, des évêques, des papes, et toute autre chose, criant : « Sortez de là. Ne vous souillez pas. » Mais vous, mettez votre bras autour de votre frère, frère. Il y a quelque chose de réel. Vous avez reçu le pardon sous la même expiation par laquelle il a été pardonné. Vous êtes des frères. Cela rapproche plus qu’un frère. Il y a là quelque chose qui vous attire si près de Dieu. Et quand vous êtes près de Dieu, vous vous rapprochez l’un de l’autre. Comment pouvez-vous haïr votre frère que vous voyez, ou le mépriser, et dire que vous aimez Dieu que vous n’avez pas vu ? Vous devenez un menteur, et la vérité n’est pas en vous. Mais quand nous en arrivons à ce point où le Sang de Jésus-Christ nous purifie de tout péché, alors nous sommes frères. Alors il n’y a pas de distinction parmi nous. Nos vieilles petites marques que nous avons apposées sur nous ne représentent rien.

Extrait du sermon « ETRE PARDONNE », prêché par William BRANHAM le 28 Octobre 1963, Traduction SHP

14Fév/16
un sermon vécu vaut mieux qu'un sermon prêché

Premièrement d’amener les âmes perdues à Christ

5     Maintenant, nous essayons de placer les réunions dans le meilleur cadre possible. Nous ne nous spécialisons pas dans la guérison divine, comme on dit, parce que la guérison divine n’est pas le plus important. Et vous ne pouvez pas mettre en avant le moins important, nous savons cela. La grande chose donc que nous recherchons dans tout réveil, c’est premièrement d’amener les âmes perdues à Christ, et de réveiller l’église, la ramenant à un état spirituel, là où elle doit être, une communion intime avec Dieu. Troisièmement, de susciter la communion entre les églises; et quatrièmement, de prier pour les malades. C’est notre but, c’est ce que nous essayons de faire.

6     Ce sont les pécheurs d’abord, la communion entre les églises, et une marche intime entre l’église et Dieu, et ensuite la prière pour les malades.

Prédication « Parle à cette Montagne » du 23 Novembre 1959

 

25Déc/15
Bible rayonnante

Que devons-nous donc faire ?

  1. Que devons-nous donc faire ? Nous lever et refléter la Lumière de Dieu à ceux qui sont mourants. Dans l’obscurité profonde de ce monde, nous devons refléter et faire briller la Présence du Seigneur Jésus dans Sa puissance de la résurrection. Ce qu’Il était hier, Il l’est aussi aujourd’hui afin qu’on Le reflète.
  2. Mais rappelez-vous une fois de plus que l’Etoile, après qu’elle a terminé sa course, elle ne reçoit donc aucun honneur. L’Etoile avait tout simplement amené les gens à leur destination, et leur a montré cette Lumière parfaite. Et nous, en tant que membres du corps de Christ ce matin, mes amis, nous sommes les lumières de Dieu, mais nous ne recevons aucun honneur pour nous-mêmes. Lorsque nous avons notre – notre patient, et notre – et notre personne que nous conduisons, lorsque nous les avons, nous devons mettre de côté notre honneur et les conduire à la grande et parfaite Lumière qui brille, pour illuminer le chemin de tout homme qui vient au monde, le Seigneur Jésus-Christ : pas un mythe appelé père Noël, pas une église dénominationnelle ; mais cette vraie et parfaite Lumière, Jésus-Christ, le Fils du Dieu vivant.

Extrait de « LA GRANDE LUMIERE BRILLANTE » de William Branham, du 22 Décembre 1957, Traduction SHP

16Déc/15
donner la première place à Dieu

Donner la première place à Dieu

     51     Remarquez, quand ces rois, avant de se lancer, ils auraient dû… Josaphat, avant même de faire une alliance avec Achab, premièrement, il aurait dû dire: “Prions pour voir quelle est la volonté du Seigneur.”
     52     Présentez-moi un prédicateur, présentez-moi un Chrétien, présentez-moi une ménagère qui est Chrétienne, présentez-moi un cultivateur ou un ouvrier d’usine, qui va donner la première place à Dieu en toutes choses, je vous montrerai là un homme qui réussira en dépit de tout ce que le diable pourra lui infliger. Il cherche Dieu, premièrement. Nous devons avoir, premièrement…
     53     Mais eux ne l’ont pas fait. Ils avaient tous la tête dans les nuages, parce qu’Achab, il avait un royaume splendide, et il avait accompli un tas de choses, et il avait ses parures imposantes, son or et son argent, c’était un homme qui avait très bien réussi; mais c’était quand même un incroyant.

Extrait de « Les Esprits Séducteurs », 24 Juillet 1955 (William Branham)

12Déc/15
WilliamBranham

Communion

Il y a 50 ans, exactement le 12 Décembre 1965, le message « Communion », le dernier message enregistré avant le départ du Prophète, était prêché à Tucson.

Nous voulons remercier le Seigneur pour le prophète Branham, et nous vous invitons à (re-)découvrir ce message, dans un esprit de méditation :

11Nov/15
Ouvriers de la Onzieme Heure

Ouvriers de la onzième heure

38     Maintenant, le Message du septième ange, c’est de dévoiler le mystère des Sceaux, en appelant les ouvriers de la onzième heure, ceux des nations, à recevoir le même salaire que les ouvriers de la première heure avaient reçu. Voyez?
    Or, Jésus a enseigné cela. Il a dit que des gens étaient allés travailler dans la moisson. Ils avaient été embauchés. À ce moment-là, tôt le matin, ils allaient être payés à–à–à raison d’un denier par jour. Ensuite, à midi, quelqu’un d’autre est arrivé, et est allé travailler. Ensuite, à la onzième heure. ce qui est la dernière heure du jour, là, quelqu’un est arrivé, et il a reçu comme salaire la même chose que ce qu’avaient reçu ceux de la première heure du jour; la dernière heure.

39     C’est tellement parfait. Les messagers de la première heure, avec la Parole, avec l’Évangile, avec la Vérité, ils sont arrivés au Jour de la Pentecôte. Ensuite, il y a eu un âge des ténèbres, où ils ont été bloqués. Ensuite, au milieu du jour, Luther, Wesley et les autres sont arrivés. Et ensuite, il doit y avoir un Message du temps du soir, où on recevra la même chose que ce que ceux du commencement avaient reçu. Le Message du temps du soir doit rétablir de nouveau, ramener la même chose de nouveau.

40     Et, rappelez-vous la vision de la semaine passée, là, quand l’Épouse est arrivée pour… la vision préalable. La petite Épouse est arrivée, charmante, dans la vision. Et je… alors que je n’y pensais pas, j’étais simplement assis là, dehors, à observer. Et l’Épouse est arrivée. J’ai entendu une Voix à côté de moi, qui disait: “Voici une vision préalable de l’Épouse.” Et Elle est passée. Je L’ai remarquée, comment Elle était, très charmante, jolie, jeune. Elle marchait simplement d’un pas normal; pas une marche militaire, mais en marchant simplement avec des longs pas de–de femme, à la façon dont elles marchent, gracieusement, d’une manière distinguée. C’est comme ça qu’Elle marchait, alors qu’Elle arrivait à ma gauche, de ce côté-ci; et Elle est sortie de mon champ de vision.

Extrait de la Brochure « Reconnaître votre jour et son message  » préché le 26 Juillet 1964, Matin, par William Branham

29Oct/15
Je vous rendrai au centuple

Je vous rendrai au centuple

59     Alors que je me tenais là l’autre jour (ils nous ont construit une nouvelle maison là-haut), frère Moseley est descendu et a parlé de cette maison. J’ai dit: «C’est juste un petit don de mon Père». Et il s’est mis à pleurer. J’ai dit: «Voyez-vous, a-t-Il dit, si vous laissez vos foyers, vos maisons, vos terres, votre père, votre mère, je vous rendrai au centuple des maisons, terres, père et mère dans cette vie et vous hériterez de la Vie Éternelle». Je dis: «Tu vois, j’ai dû quitter ce tabernacle que j’aime tellement; j’ai dû quitter cette maison que le Seigneur m’a donnée. Et Il m’a tout simplement donné celle-ci en retour. Il est merveilleux. Tu vois?». Et il s’est mis à pleurer.

William Branham, extrait de « Honteux de Lui », prêchè le 11 Juillet 1965, Traduction MS

Vous trouverez d’autres sermons sur la page « Brochures« 

08Oct/15
Seigneur, pardonne-moi

Faites tout ce que vous pouvez faire

25     Tenez! Il n’y a pas longtemps en Suisse, pendant que je me tenais là, dans les hautes montagnes des Alpes, je pensais à Arnold Von Winkelried. Beaucoup d’entre vous connaissent l’histoire. Quel vaillant héros il a été en Suisse, il y a bien des années. Et voir comment la nation Suisse était envahie par une puissante armée et comment les villes étaient prises. Et les Suisses au sang noble s’étaient rassemblés, depuis les montagnes jusque dans la vallée, munis de toutes petites armes autant qu’ils pouvaient en avoir pour pouvoir se défendre.
    Et pendant qu’ils étaient là sur le champ de bataille, ils les voyaient s’approcher, et pendant qu’ils s’approchaient de cette grande armée, celle-ci était cinquante fois plus nombreuse qu’eux. Et ils étaient – ils n’étaient pas des soldats, ils n’avaient pas été entraînés. Ils ne savaient que faire. Mais cette armée qui envahissait était bien entraînée, ils venaient tous comme un mur en briques.

26     Et pendant qu’ils étaient là, avec leurs lances, en train d’avancer, un grand homme, Arnold Von Winkelried, surgit là. Et, au moment où il se présenta là devant eux, ils étaient désespérés; tout ce à quoi ils pouvaient penser était perdu. Ils allaient simplement s’incliner et perdre leurs maisons. Leurs familles allaient être tuées. Leur patrie allait être détruite. Il n’y avait rien qu’ils pouvaient faire, la situation était désespérée.
    Alors Arnold Von Winkelried surgit et dit: « Mes frères Suisses, aujourd’hui, je vais donner ma vie pour la Suisse ainsi que pour la patrie. »
    On lui demanda: « Que vas-tu faire? »
    Il répondit: « Là, au fond de la vallée, se trouve une belle petite maison où ma femme et mes petits enfants attendent mon retour, mais ils ne me verront plus jamais, car aujourd’hui, je vais donner ma vie pour mon pays. »
    Et quand il fit cette déclaration, ils lui demandèrent: « Que vas-tu faire? »
    Et il répondit: « Maintenant, vous tous qui avez des armes, venez, suivez-moi et faites le mieux que vous pouvez. Combattez avec ce que vous avez. Faites tout ce que vous pouvez faire avec ce que vous avez.

27     Et il poussa un cri, projeta son arme en l’air et dit: « Frayez la voie à la liberté. » Et il fonça vers cette armée-là et il alla tout droit là où il y avait beaucoup plus de lances. Et quand il descendit jusqu’à l’endroit où ils étaient, où des centaines de lances brillantes pouvaient l’atteindre pendant qu’il avançait, il leva ses mains et dit: « Frayez la voie à la liberté. » Et il saisit à pleins bras ces lances et les enfonça dans sa poitrine. Et chacun de ces soldats suisses le suivait derrière. Il rompit les rangs de l’ennemi et ils remportèrent une victoire comme ils n’en avaient jamais remporté une auparavant.
    Et aujourd’hui, si vous citez son nom en Suisse, leurs yeux se rempliront de larmes et leurs joues rougiront à cause de leur héros. A mon avis, c’était l’un des plus grands héros qui eut existé dans l’histoire de l’armée. Mais ce n’est qu’une petite chose, juste une toute petite chose. Un jour, les fils d’Adam se tenaient là, vaincus; la loi, les prophètes et tout avaient failli. Toute approche que nous avions essayée avait totalement échoué. Et là dans la gloire, il y eut Quelqu’un, appelé Fils de Dieu, qui surgit et les Anges Lui demandèrent: « Que vas-Tu faire? »
    Il répondit: « Je vais descendre et Je vais donner Ma vie. Et aujourd’hui, Je vais racheter les fils déchus d’Adam. »

28     Et Il vint au Calvaire. Il alla là où il y avait beaucoup plus de lances. Il traversa la vallée de l’ombre de la mort, et attrapa tous les traits du diable, et les enfonça dans Son propre sein et Il demanda à l’ Église de prendre ce qu’Elle a et de faire le mieux qu’Elle peut. Gloire à Dieu! Au jour de la Pentecôte, un puissant vent impétueux descendit des cieux et dota chaque homme d’une arme.
    Et je dis aujourd’hui, mes frères, que tout homme, peu importe ce que vous avez, faisons le mieux que nous pouvons avec ce que nous avons, et combattons jusqu’au dernier homme parce que nous avons rompu les rangs de l’ennemi. Christ a vaincu Satan, Il l’a dépouillé de tout ce qu’il ait jamais eu, et aujourd’hui il n’est qu’un bluffeur. Tandis qu’il vous dit que nous ne pouvons pas avoir une autre effusion du Saint-Esprit à l’ancienne mode, une effusion de l’Esprit, nous pouvons bien en avoir une aujourd’hui parce que les rangs de l’ennemi sont rompus et Dieu domine et règne aujourd’hui. Alléluia! Je suis heureux pour une expérience à l’ancienne mode du Saint-Esprit du Dieu Vivant.

Extrait du Sermon « Le Jubilé d’Azusa », prêché le 16 Septembre 1956 par William Branham, traduction SHP

13Sep/15
Baptême, Lac Michigan Réveil

Revenir aux Réunions de Prière

16     Je vous le dis, Madame McPherson est partie, beaucoup de vétérans sont partis, mais s’il leur était possible de jeter un regard par-dessus les rampes de la gloire aujourd’hui, ils crieraient « Amen » à cela, tout aussi sûr que je me tiens debout ici. C’est vrai. Retournez de nouveau à l’ancienne ligne de démarcation; retournez à la Pentecôte.
Ce qu’il nous faut faire, c’est nous débarrasser de beaucoup de nos futilités fantaisistes et retourner à la Bible, retourner au Saint-Esprit à l’ancienne mode, retourner au point où les hommes et les femmes paraissent, agissent et marchent comme des Chrétiens. Amen. Vous pourriez penser que je suis un peu excité, que je suis juste un peu fou, mais je vous assure que j’aime bien être ainsi.
Il y a quelque temps, alors que je parcourais les rues ici à Los Angeles, j’ai vu un homme qui portait un écriteau. Par devant, il y était mentionné: « Je suis fou de Christ », et par derrière, il était écrit: « De qui es-tu fou? » Ainsi, je préférerais simplement être fou de Christ plutôt que d’être, à n’importe quel moment, fou du diable.

17     Ce qu’il nous faut aujourd’hui, ministres, ce qu’il nous faut aujourd’hui, frères et soeurs, c’est cette unique chose. Le diable est entré dans notre église et nous a rendus tous formalistes, indifférents. Ce qu’il nous faut, c’est un appel à retourner. Ce qu’il nous faut, c’est encore un rassemblement à l’ancienne mode, le retentissement du Jubilé, l’effusion du Saint-Esprit, le déversement de l’Esprit. Amen. Certainement, c’est bien là une raison pour revenir aux réunions de prière.
C’est vrai, nous avons simplement commencé à suivre la mode, juste comme le monde, à agir exactement comme le monde. Cela est arrivé à cause de tant d’évangélisation à la Hollywood, de tant de télévision, du fait de rester à la maison le soir pour regarder la télévision au lieu d’aller à la réunion de prière; regarder « Qui aime Lucy » et toutes sortes de sottises, et rester loin de la Parole de Dieu et loin de l’église. Et je vous le dis, frère, c’est cela la raison. Vous savez bien que c’est la vérité. Que Dieu nous aide aujourd’hui à revenir à l’expérience de la Pentecôte à l’ancienne mode: celle du baptême du Saint-Esprit.

 Le jubile d’Azusa,  William Branham, a été prêchée le 16 Septembre 1956