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10Jan/16
Baptême, Lac Michigan Réveil

Ramenez les réunions de prière à l’ancienne mode

E-139 La grande dénomination tomba. Ça a toujours été ainsi quand Dieu entre en action, les autres choses tombent. Ce fut alors la plus grande victoire de Samson. Oh ! je souhaiterais voir l’Eglise du Dieu vivant se lever ce soir :  » Encore une fois, Seigneur. Encore une fois. Envoie-nous un réveil, qu’il me coûte le tout ; qu’il me coûte tout ce que j’ai, envoie-moi un réveil. Envoie-le sur moi, Seigneur.  » Ecoute ce groupe d’environ trois cent personnes ou plus crier ici ce soir, à l’unisson :  » Seigneur Dieu, encore une fois, laisse-moi voir Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Laisse-moi reconnaître qu’Il est près de moi. Laisse-moi savoir qu’Il est ici pour prendre soin de moi. Je suis disposé maintenant.  »
E-140 Oh ! rendez-vous (compte), tous les ennemis étaient détruis. Les pentecôtistes se tiennent à ce poteau-là ce soir. Nous sommes nés pour détruire, ces choses, elles ont pris le dessus. Repentez-vous, criez à haute voix :  » Seigneur, encore une fois ; encore une fois, laisse-nous voir cela.  »
E-141 Laissez-moi dire ceci, mon ami. Vous feriez mieux de détruire votre ennemi avant que votre ennemi vous détruise. Ramenez les réunions de prière à l’ancienne mode, la repentance à l’ancienne mode, quand on restait à l’autel jusqu’à ce qu’on meurt et qu’on en ait fini avec le péché. On ne voyait jamais une femme allait à l’autel, mourir au péché, et le lendemain, revenir avec des cheveux coupés et du maquillage au visage. Cela n’existe pas. Le Saint-Esprit enseigne, la nature enseigne, la nature du Saint-Esprit. On ne voyait jamais des femmes sortir en sexy, elle rentraient et cherchaient à se couvrir. On ne voyait jamais des hommes avoir peur de se lever et craindre que sa petite femme le quitte l’une ou l’autre chose, pour avoir pris l’initiative. Eh bien, les hommes étaient des hommes à l’époque. Ils parlaient, ils étaient des hommes ; ils étaient maîtres chez eux. Ils étaient les chefs de la maison. Mais cet Américain raffiné.

E-142 J’ai appris il n’y a pas longtemps d’un petit érudit Grec, il est assis ici à me regarder maintenant, il vient de la Grèce, c’est un érudit en grec, il s’est mis à jouer mes bandes et il a suivi le Message. Il a dit :  » Je sais que vous n’avez même pas l’instruction, mais, Frère Branham, vos termes et votre Message sont en parfaite harmonie avec l’interprétation grecque de la Bible.  » Il a dit :  » C’est tout à fait exact. Ce que vous avez dit est tout à fait exact.  » Et il est venu vers moi, il me disait :  » Laodicée signifie,  » femme  » en grec. C’est le monde de la femme.  » C’est l’église de la femme.  » C’est l’âge de la femme. Plusieurs hommes voulaient… Quand est-ce que Dieu s’est jamais retrouvé dans cette condition-là ? Oui, êtes-vous prêt à ramener un réveil ? Etes-vous prêt ?

E-143 Une femme disait :  » J’ai le droit de faire ce que je veux. C’est mon privilège d’Américaine.  » C’est votre privilège d’Américaine ; ce n’est cependant pas un privilège que Dieu vous a donné. Une brebis… Une chèvre s’agitera toujours, mais une brebis se tiendra tranquille et abandonnera ses droits. Voyez ? Si vous êtes un véritable enfant de Dieu, vous abandonnerez vos droits d’Américain au Saint-Esprit, vous Le laisserez vous modeler et faire de vous ce que vous devriez être.  » Encore une fois, Seigneur.  » Oh ! la la !
E-144 Oh ! Eglise, abandonnez la Délila d’Hollywood ; elle va vous tuer. Elle fera sortir la vie spirituelle de vous en vous suffoquant. Abandonnez-la. Vos mises en scène d’Hollywood sur l’estrade. Votre Hollywood, vos clinquants, notre réunion ressemble en grande partie au reste du monde ; ce qu’on a dans les plus grandes églises. Un évangéliste va dans une ville, vous devez lui promettre beaucoup d’argent sinon, il ira pas là. Comme c’est ridicule ! Cela montre là où se trouve votre trésor, c’est là que se trouve votre cœur. Tournez-vous de tout votre cœur vers Dieu et vers Sa Parole, et crions :  » Encore une fois, Seigneur. Encore une fois, manifeste Ta Présence. « 

Extrait de la brochure « Encore une fois seulement, Seigneur », prêchée par William Branham  le 20 Janvier 1963

16Déc/15
donner la première place à Dieu

Donner la première place à Dieu

     51     Remarquez, quand ces rois, avant de se lancer, ils auraient dû… Josaphat, avant même de faire une alliance avec Achab, premièrement, il aurait dû dire: “Prions pour voir quelle est la volonté du Seigneur.”
     52     Présentez-moi un prédicateur, présentez-moi un Chrétien, présentez-moi une ménagère qui est Chrétienne, présentez-moi un cultivateur ou un ouvrier d’usine, qui va donner la première place à Dieu en toutes choses, je vous montrerai là un homme qui réussira en dépit de tout ce que le diable pourra lui infliger. Il cherche Dieu, premièrement. Nous devons avoir, premièrement…
     53     Mais eux ne l’ont pas fait. Ils avaient tous la tête dans les nuages, parce qu’Achab, il avait un royaume splendide, et il avait accompli un tas de choses, et il avait ses parures imposantes, son or et son argent, c’était un homme qui avait très bien réussi; mais c’était quand même un incroyant.

Extrait de « Les Esprits Séducteurs », 24 Juillet 1955 (William Branham)

12Déc/15
WilliamBranham

Communion

Il y a 50 ans, exactement le 12 Décembre 1965, le message « Communion », le dernier message enregistré avant le départ du Prophète, était prêché à Tucson.

Nous voulons remercier le Seigneur pour le prophète Branham, et nous vous invitons à (re-)découvrir ce message, dans un esprit de méditation :

11Nov/15
Ouvriers de la Onzieme Heure

Ouvriers de la onzième heure

38     Maintenant, le Message du septième ange, c’est de dévoiler le mystère des Sceaux, en appelant les ouvriers de la onzième heure, ceux des nations, à recevoir le même salaire que les ouvriers de la première heure avaient reçu. Voyez?
    Or, Jésus a enseigné cela. Il a dit que des gens étaient allés travailler dans la moisson. Ils avaient été embauchés. À ce moment-là, tôt le matin, ils allaient être payés à–à–à raison d’un denier par jour. Ensuite, à midi, quelqu’un d’autre est arrivé, et est allé travailler. Ensuite, à la onzième heure. ce qui est la dernière heure du jour, là, quelqu’un est arrivé, et il a reçu comme salaire la même chose que ce qu’avaient reçu ceux de la première heure du jour; la dernière heure.

39     C’est tellement parfait. Les messagers de la première heure, avec la Parole, avec l’Évangile, avec la Vérité, ils sont arrivés au Jour de la Pentecôte. Ensuite, il y a eu un âge des ténèbres, où ils ont été bloqués. Ensuite, au milieu du jour, Luther, Wesley et les autres sont arrivés. Et ensuite, il doit y avoir un Message du temps du soir, où on recevra la même chose que ce que ceux du commencement avaient reçu. Le Message du temps du soir doit rétablir de nouveau, ramener la même chose de nouveau.

40     Et, rappelez-vous la vision de la semaine passée, là, quand l’Épouse est arrivée pour… la vision préalable. La petite Épouse est arrivée, charmante, dans la vision. Et je… alors que je n’y pensais pas, j’étais simplement assis là, dehors, à observer. Et l’Épouse est arrivée. J’ai entendu une Voix à côté de moi, qui disait: “Voici une vision préalable de l’Épouse.” Et Elle est passée. Je L’ai remarquée, comment Elle était, très charmante, jolie, jeune. Elle marchait simplement d’un pas normal; pas une marche militaire, mais en marchant simplement avec des longs pas de–de femme, à la façon dont elles marchent, gracieusement, d’une manière distinguée. C’est comme ça qu’Elle marchait, alors qu’Elle arrivait à ma gauche, de ce côté-ci; et Elle est sortie de mon champ de vision.

Extrait de la Brochure « Reconnaître votre jour et son message  » préché le 26 Juillet 1964, Matin, par William Branham

30Oct/15
William Marrion Branham

Nous voulons faire quelque chose de plus

121 Paul a dit : “Bon, tenez, je sais que je prêche l’Évangile, ça–ça–ça, c’est mon devoir.” Je suis prédicateur, il est prédicateur, Frère Neville est prédicateur, mais… C’est notre devoir, ça, d’être prédicateurs. Eh bien, c’est ce que nous sommes censés faire, c’est tout. “Mais moi, je vais faire quelque chose”, a dit Paul, “de plus que cela.” “Bon, j’ai le droit de recueillir de l’argent,” a dit Paul, “mais je vais faire des tentes, juste pour vous montrer que je peux–je peux faire des sacrifices.” Il a dit : “Il est honorable, le mariage est honoré de tous, le lit est exempt de souillure. Il est bon que l’homme se marie.” Il a dit : “J’ai le droit de me marier. Moi, je–je pourrais me marier, j’ai le droit, légalement, de me marier. Mais je ne me marierai pas, c’est tout, je veux faire ce sacrifice-là aussi, pour le Seigneur.” Voyez? Et puis il a dit : “Chaque homme connaît sa vocation. Qu’il fasse selon… Certains sont eunuques à cause de la Parole de Dieu, et tout.”
122 Nous voulons faire quelque chose de plus que notre devoir. Et si vous êtes réellement né de nouveau de l’Esprit de Dieu, et que vous dites : “Eh bien, c’est mon devoir d’aller à l’église, il va bien falloir que j’y aille.” Oh! la la! Eh bien, moi, je veux faire plus que ça, je veux gagner des âmes à Christ. Je veux faire quelque chose! Je veux rendre visite aux malades, faire quelque chose pour Lui. Prêcher aux services funèbres, c’est mon devoir, prêcher l’Évangile, c’est mon devoir, prier pour les malades, c’est mon devoir. Je vais faire quelque chose d’autre, je vais aller faire quelque chose pour lequel Dieu m’honorera.

QUESTIONS ET RÉPONSES SUR LA GENÈSE, William Branham, 29 Juillet 1953

08Oct/15
Seigneur, pardonne-moi

Faites tout ce que vous pouvez faire

25     Tenez! Il n’y a pas longtemps en Suisse, pendant que je me tenais là, dans les hautes montagnes des Alpes, je pensais à Arnold Von Winkelried. Beaucoup d’entre vous connaissent l’histoire. Quel vaillant héros il a été en Suisse, il y a bien des années. Et voir comment la nation Suisse était envahie par une puissante armée et comment les villes étaient prises. Et les Suisses au sang noble s’étaient rassemblés, depuis les montagnes jusque dans la vallée, munis de toutes petites armes autant qu’ils pouvaient en avoir pour pouvoir se défendre.
    Et pendant qu’ils étaient là sur le champ de bataille, ils les voyaient s’approcher, et pendant qu’ils s’approchaient de cette grande armée, celle-ci était cinquante fois plus nombreuse qu’eux. Et ils étaient – ils n’étaient pas des soldats, ils n’avaient pas été entraînés. Ils ne savaient que faire. Mais cette armée qui envahissait était bien entraînée, ils venaient tous comme un mur en briques.

26     Et pendant qu’ils étaient là, avec leurs lances, en train d’avancer, un grand homme, Arnold Von Winkelried, surgit là. Et, au moment où il se présenta là devant eux, ils étaient désespérés; tout ce à quoi ils pouvaient penser était perdu. Ils allaient simplement s’incliner et perdre leurs maisons. Leurs familles allaient être tuées. Leur patrie allait être détruite. Il n’y avait rien qu’ils pouvaient faire, la situation était désespérée.
    Alors Arnold Von Winkelried surgit et dit: « Mes frères Suisses, aujourd’hui, je vais donner ma vie pour la Suisse ainsi que pour la patrie. »
    On lui demanda: « Que vas-tu faire? »
    Il répondit: « Là, au fond de la vallée, se trouve une belle petite maison où ma femme et mes petits enfants attendent mon retour, mais ils ne me verront plus jamais, car aujourd’hui, je vais donner ma vie pour mon pays. »
    Et quand il fit cette déclaration, ils lui demandèrent: « Que vas-tu faire? »
    Et il répondit: « Maintenant, vous tous qui avez des armes, venez, suivez-moi et faites le mieux que vous pouvez. Combattez avec ce que vous avez. Faites tout ce que vous pouvez faire avec ce que vous avez.

27     Et il poussa un cri, projeta son arme en l’air et dit: « Frayez la voie à la liberté. » Et il fonça vers cette armée-là et il alla tout droit là où il y avait beaucoup plus de lances. Et quand il descendit jusqu’à l’endroit où ils étaient, où des centaines de lances brillantes pouvaient l’atteindre pendant qu’il avançait, il leva ses mains et dit: « Frayez la voie à la liberté. » Et il saisit à pleins bras ces lances et les enfonça dans sa poitrine. Et chacun de ces soldats suisses le suivait derrière. Il rompit les rangs de l’ennemi et ils remportèrent une victoire comme ils n’en avaient jamais remporté une auparavant.
    Et aujourd’hui, si vous citez son nom en Suisse, leurs yeux se rempliront de larmes et leurs joues rougiront à cause de leur héros. A mon avis, c’était l’un des plus grands héros qui eut existé dans l’histoire de l’armée. Mais ce n’est qu’une petite chose, juste une toute petite chose. Un jour, les fils d’Adam se tenaient là, vaincus; la loi, les prophètes et tout avaient failli. Toute approche que nous avions essayée avait totalement échoué. Et là dans la gloire, il y eut Quelqu’un, appelé Fils de Dieu, qui surgit et les Anges Lui demandèrent: « Que vas-Tu faire? »
    Il répondit: « Je vais descendre et Je vais donner Ma vie. Et aujourd’hui, Je vais racheter les fils déchus d’Adam. »

28     Et Il vint au Calvaire. Il alla là où il y avait beaucoup plus de lances. Il traversa la vallée de l’ombre de la mort, et attrapa tous les traits du diable, et les enfonça dans Son propre sein et Il demanda à l’ Église de prendre ce qu’Elle a et de faire le mieux qu’Elle peut. Gloire à Dieu! Au jour de la Pentecôte, un puissant vent impétueux descendit des cieux et dota chaque homme d’une arme.
    Et je dis aujourd’hui, mes frères, que tout homme, peu importe ce que vous avez, faisons le mieux que nous pouvons avec ce que nous avons, et combattons jusqu’au dernier homme parce que nous avons rompu les rangs de l’ennemi. Christ a vaincu Satan, Il l’a dépouillé de tout ce qu’il ait jamais eu, et aujourd’hui il n’est qu’un bluffeur. Tandis qu’il vous dit que nous ne pouvons pas avoir une autre effusion du Saint-Esprit à l’ancienne mode, une effusion de l’Esprit, nous pouvons bien en avoir une aujourd’hui parce que les rangs de l’ennemi sont rompus et Dieu domine et règne aujourd’hui. Alléluia! Je suis heureux pour une expérience à l’ancienne mode du Saint-Esprit du Dieu Vivant.

Extrait du Sermon « Le Jubilé d’Azusa », prêché le 16 Septembre 1956 par William Branham, traduction SHP

01Sep/15
Nature

Amener la Présence de Dieu à un auditoire

  13     J’ai eu le privilège d’entendre prêcher des hommes saints. On a raconté, une fois, au sujet de Charles Finney, un petit bout d’homme qui n’a jamais pesé plus de cent dix livres [50 kg], mais qui s’exprimait de manière tellement énergique que… Un jour, il testait l’acoustique d’un bâtiment. À cette époque-là, les systèmes de sonorisation n’existaient pas. Et un homme qui faisait des travaux de réfection en haut, au balcon, ou, en haut, sur le toit du bâtiment, a entendu cet homme qui entrait, alors, comme il ne savait pas qui étaient ces gens, il est resté bien tranquille. Et M. Finney allait tester l’acoustique. Après avoir passé beaucoup de temps en prière en vue des réunions de réveil qu’il allait faire, il a testé sa voix pour voir jusqu’où elle portait. Il est allé à la chaire en vitesse et il a dit: “Repentez-vous, sinon vous périrez!” Et il l’a dit avec tant de force–de force, après avoir été sous l’onction de Dieu, que l’homme a dégringolé du haut du balcon, sur le sol, ou, du haut du bâtiment, sur le sol.
     14     Il prêchait l’Évangile avec tant d’ardeur qu’à Boston, dans le Massachusetts, il a dû se tenir dans une petite bay-window, parce qu’aucune église ne pouvait contenir sa foule. Il se tenait là à déployer une énergie si puissante, et il prêchait l’enfer comme un lieu si affreux que les ouvriers avec leur panier sous le bras s’effondraient dans la rue, implorant la miséricorde à grands cris. Dans la Présence de Dieu! De grands prédicateurs qui ont pu, par la Parole de Dieu, amener la Présence de Dieu à un auditoire. Loin de nous la pensée qu’un jour des hommes aient le coeur tellement endurci qu’ils ne puissent plus reconnaître la Présence de Dieu. Loin de nous cette pensée!

Extrait de la prédication « Dans Sa Présence », prêché par Fr William Branham le 09 Septembre 1962, soir, Traduction de la Voix de Dieu.

30Août/15
Bible

Révélation

Vous vous en souvenez, j’ai dit au début de ce message que ce Livre que nous étudions est en fait la révélation de Jésus Lui-même dans l’Église et de Son œuvre dans les âges à venir. J’ai ensuite mentionné que le Saint-Esprit doit nous donner la révélation, sans quoi nous ne pouvons pas la recevoir. Ces deux pensées réunies, vous pouvez voir que l’étude ordinaire et la simple réflexion ne suffiront pas à faire de ce Livre une réalité. Il faudra pour cela l’œuvre du Saint-Esprit. Ceci pour dire que ce Livre ne peut être révélé qu’à une catégorie spéciale de gens. Il faudra pour cela quelqu’un qui a la faculté du discernement prophétique. Cela nécessitera une capacité d’écouter Dieu parler. Cela nécessitera un enseignement surnaturel, pas seulement d’étudier en comparant un verset à l’autre, bien que ce soit une bonne chose. Mais un mystère nécessite l’enseignement de l’Esprit, sans quoi il ne sera jamais clair. Combien nous avons besoin d’écouter Dieu parler, et de nous ouvrir en nous abandonnant à l’Esprit, pour entendre et pour connaître.

   Comme je l’ai déjà dit, ce Livre (l’Apocalypse) est l’accomplissement final des Écritures. Même dans le canon biblique, il est placé à la fin, exactement là où il doit être. Vous comprenez maintenant pourquoi il est dit que quiconque le lit ou même entend ce qui y est dit est béni : c’est la révélation de Dieu qui vous donne autorité sur le diable. Et vous comprenez pourquoi ceux qui y ajouteraient ou en retrancheraient quelque chose seraient maudits. Il en est nécessairement ainsi, car qui pourrait ajouter ou enlever quelque chose à la révélation parfaite de Dieu, tout en ayant la victoire sur l’ennemi? C’est aussi simple que cela. Rien ne peut prévaloir avec autant de puissance que la révélation de la Parole. Voyez : au verset 3, une bénédiction est prononcée sur ceux qui accordent une attention particulière à ce Livre. Je pense qu’il y a ici une référence à l’habitude qu’avaient les sacrificateurs de l’Ancien Testament de lire la Parole devant l’assemblée, le matin. Voyez-vous, comme beaucoup de gens ne savaient pas lire, le sacrificateur devait leur faire la lecture. Du moment que c’était la Parole, la bénédiction était là. Qu’importe si c’était lu ou entendu.

Extrait de l’Exposé des 7 âges de l’Eglise, Révélation de Jésus Christ, 1965, Chapitre 1 p16, William Branham

29Août/15
Education, instruction

Vous avez la responsabilité d’éduquer vos enfants

48 On a tellement de choses qu’on doit faire, tellement de responsabilités auxquelles on doit faire face. Tout le monde doit faire face à une certaine responsabilité.
49 Quand vous–quand vous allez pour–pour choisir votre épouse, pour vous marier, ou choisir votre mari, vous–vous devez prendre une responsabilité. Et alors vous devez vous souvenir… Peut-être que vous construisez une maison; une belle maison, jolie. Et alors, souvenez-vous, en tant que femme mariée, vous devez penser à la responsabilité d’élever des enfants. Et vous devez penser que ces beaux murs bien lisses seront pleins de traces de petites mains sales. Ensuite vous avez la responsabilité d’éduquer vos enfants. Vous avez la responsabilité de les vêtir et de les nourrir.
50 Tout est une responsabilité. Et c’est si facile, quand les responsabilités sont devant nous, de les esquiver. Et on découvre que le mariage est une responsabilité, à tous les points de vue.
51 Même, très souvent, on trouve… Ce n’est pas facile à dire, mais c’est vrai, que des serviteurs de Dieu, souvent, esquivent une responsabilité de prendre position pour la vraie Parole de Dieu quand ils Y sont confrontés. Ils esquivent cette responsabilité. Quand nous, les êtres humains, on est confrontés à la Vérité de la Parole de Dieu, on a… on a tendance à reculer jusqu’à la dernière limite.

52     Je viens juste d’avoir une conversation avec mon petit neveu, là-bas. I1 est catholique, et il… Et j’ai baptisé ce garçon, au Nom de Jésus-Christ, ici il y a quelques années, et il s’est mis à sortir avec une fille et il s’est fait catholique. Et j’ai tenu la main de sa mère quand elle était en train de mourir là-bas. Elle m’a dit, les derniers mots: «Prends soin de Melvin.» Et dernièrement, il a eu des songes. Il ne peut simplement pas… Chaque, chaque jour, la semaine passée, il a eu des songes. Il a dit: «J’entrais dans ton église, oncle Bill, et tu étais là, debout en train de prêcher. J’accourais pour me mettre à faire une confession. Je me réveillais.» Il a dit: «J’ai–j’ai eu tort.»
    Je lui ai dit: «Melvin, tu n’as pas besoin d’interprétation pour ça. Ta place, c’est là-bas, c’est là que tu dois être.» C’est ça. Voyez?

53     Mais d’assumer des responsabilités, parfois, ça nous écorche, de faire ça. Et comme père, d’assumer la responsabilité de donner une correction à votre enfant. Ces petits enfants, vous ne voulez pas faire ça. Mais en tant que père ou que mère, vous devez assumer la responsabilité d’élever cet enfant, parce que la Bible a dit: «Ménage la verge et tu gâteras ton fils.» Et ça tient encore bon aux yeux de chaque psychologue qu’il y a dans le monde. Ça reste toujours la Vérité de Dieu. S’il y avait eu plus de ça mis en pratique, on n’aurait pas eu tant de délinquance juvénile et tout ça, et la pourriture qu’on a dans le monde aujourd’hui. Mais la vieille règle d’or du foyer a été transgressée, il y a longtemps, et ils laissent les enfants faire tout ce qu’ils veulent.

Un Homme qui fuit la face de l’Eternel, 17 Février 1965, prédication de William Branham

27Août/15
Bible rayonnante

C’est le Parfait

5    L’Amour devrait gouverner le foyer. L’Amour est la puissance la plus forte mise à disposition de l’homme. Un–un foyer qui n’est pas discipliné par l’Amour n’est pas vraiment un foyer. Si le mari et la femme ne s’aiment pas profondément, ils ne peuvent pas avoir confiance l’un dans l’autre. C’est pourquoi je pense que au lieu de faire reposer notre foi sur quelque émotion (ce qui est en ordre), ou sur quelque don (ce qui est en ordre), comme crier ou parler en langues, ou d’autres choses que nous prenons pour–disant que nous avons reçu le Saint-Esprit lorsque nous faisons cela… Ces choses sont en ordre. Mais si nous voulions revenir à ce principe: L’Amour d’abord, ensuite les autres choses.
    Si nous faisions cela, notre église avancerait beaucoup plus rapidement, si nous prenions Dieu premièrement; car Dieu est Amour.

6    Maintenant, l’Amour a deux significations différentes, avec deux mots différents pour l’exprimer. En grec, une sorte d’amour est appelée phileo. C’est l’amour naturel que vous pouvez avoir pour votre femme; mais l’amour agapao veut dire amour divin. Bien l’amour que vous avez pour votre femme et l’Amour pour Dieu sont très opposés l’un à L’autre. Écoutez simplement ceci. L’amour que vous avez pour votre femme, si un homme l’insultait, vous le tueriez immédiatement, avec cette sorte d’amour phileo; mais avec l’amour agapao ou amour divin, vous prieriez pour l’âme perdue de cet homme. Voilà la différence.
    Il y a deux sortes d’amour. Et je suis presque sûr que beaucoup d’entre nous se sont trompés, ayant l’amour phileo, en pensant que c’était l’amour agapao. L’amour phileo est intellectuel, tandis que l’amour agapao vient du coeur. C’est l’amour humain, l’amour affectif, et l’Amour divin. L’amour agapao ne se pose pas de questions. L’amour humain raisonne toujours, l’amour divin ne le fait jamais! Il est parfait dans sa confiance. C’est le parfait… cela produit simplement la foi lorsque vous aimez réellement.

Extrait de la Brochure ‘Quand l’amour s’élance’, prêché le 06 Août 1957 par William Branham, traduction MS