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29Avr/16
Prenez soin de votre papa

Comment pouvez-vous haïr votre frère ?

E-69 Souvenez-vous de Lui pendant que nous sommes à genoux à la croix. Que ce soit un prêtre catholique, un presbytérien, quoi qu’il puisse être, que cet homme vienne pendant qu’il lit son nom là-dedans : « Il était blessé pour les péchés de ce prêtre. Il était blessé pour ce méthodiste, ce baptiste, ce pentecôtiste, ce que. blessé pour nos péchés. » Mon nom, votre nom, peu importe qui vous êtes. Croyons donc cela. Non pas ce que le credo dit ; ce que la Parole dit. Ensuite agenouillons-nous ensemble à la croix ; nous sommes frères. Oh, oui, les traditions. Nous nous purifions alors de toutes les traditions mortes. Il se pourrait qu’il y ait quarante évêques de district ; il se pourrait qu’il y ait quarante souverains sacrificateurs ; il se pourrait qu’il y ait des cardinaux, des évêques, des papes, et toute autre chose, criant : « Sortez de là. Ne vous souillez pas. » Mais vous, mettez votre bras autour de votre frère, frère. Il y a quelque chose de réel. Vous avez reçu le pardon sous la même expiation par laquelle il a été pardonné. Vous êtes des frères. Cela rapproche plus qu’un frère. Il y a là quelque chose qui vous attire si près de Dieu. Et quand vous êtes près de Dieu, vous vous rapprochez l’un de l’autre. Comment pouvez-vous haïr votre frère que vous voyez, ou le mépriser, et dire que vous aimez Dieu que vous n’avez pas vu ? Vous devenez un menteur, et la vérité n’est pas en vous. Mais quand nous en arrivons à ce point où le Sang de Jésus-Christ nous purifie de tout péché, alors nous sommes frères. Alors il n’y a pas de distinction parmi nous. Nos vieilles petites marques que nous avons apposées sur nous ne représentent rien.

Extrait du sermon « ETRE PARDONNE », prêché par William BRANHAM le 28 Octobre 1963, Traduction SHP

08Avr/16
Agneau, Pardon, Jésus-Christ

La Foi est basée sur le Pardon

E-18 Maintenant, lisons: Jésus prit la parole et leur dit: Ayez foi en Dieu Je vous le dis en vérité, si quelqu’un dit à cette montagne: Ôte-toi de là et jette-toi dans la mer, et qu’ il ne doute point en son coeur, mais croit que ce qu’il dit arrive, il le verra s’accomplir. C’est pourquoi je vous dis: Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous 1’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir. Et, lorsque vous êtes debout faisant votre prière, si vous avez quelque chose contre quelqu’un, pardonnez, afin que votre Père qui est dans les cieux vous pardonne aussi vos offenses. Mais si vous ne pardonnez pas, votre Père qui est dans les cieux ne vous pardonnera pas non plus vos offenses.
E-19 Ainsi, la foi est basée sur le pardon. Et, alors, comme nous l’avons dit ce matin, essayant de placer l’église là où nous pouvons réellement voir les temps apostoliques agissant au milieu de nous, c’est de cela que nous avons tous faim. Et cela se trouve juste à la porte. Nous le voyons, mais nous voulons en voir plus. Nous voulons que ce soit une telle effusion que cela nous aide à nous déverser sur d’autres.
E-20 Souvenez-vous, Jésus (comme nous l’avons dit dans la leçon ce matin), n’a jamais utilisé Sa puissance pour Lui-même. Il l’utilisa pour les autres. C’est pour cela qu’elle fut envoyée. Et vous pensez parfois: «Pourquoi un Homme comme Lui, qui était si plein de puissance, devrait-Il être une fois malade?» Oui, monsieur. J’ai lu dans un livre quelque part, que lorsqu’Il ressuscita ce garçon, le fils de la veuve de Naïn (je crois que c’est dans Le Prince de la Maison de David), Il s’assit sur un rocher et se plaignit d’un mal de tête. Il porta sur Lui nos infirmités. Porter signifie «prendre sur Lui». Vous voyez, Il les porta. Et Il avait toutes choses en… comme nous. Il avait la maladie, Il avait des tentations, Il avait des ennuis, il avait des frustrations comme nous en avons, parce qu’Il devait être le genre de Médiateur parfait. Il devait donc être un participant, le cultivateur du fruit, avant de savoir… La femme au puits et beaucoup d’autres choses, voyez-vous… si nous regardons dans l’Écriture.

Extrait de la prédication « La Foi Parfaite » du 25 Août 1963, prêchée par William Branham Traduction MS

26Mar/16
En commun

Ce qu’ils avaient en commun

E-73 Récemment (pour terminer), un homme et une femme, mari et femme, étaient en train de se séparer. Et ils ont essayé de se réconcilier. Ils sont allés consulter un psychiatre pour voir s’il pouvait rapprocher leurs idées. Mais il n’a pas pu. Ils ont recouru à tout ce qu’ils pouvaient imaginer pour essayer de rester ensemble, mais ils ne faisaient que se quereller et étaient continuellement divisés. Et ils ne pouvaient pas se supporter, et ils ne pouvaient pas supporter l’un la présence de l’autre, et ils ont continué à se quereller. Ils ont donc décidé de divorcer. Alors ils ont payé le service d’un avocat pour obtenir le divorce. Et il a dit : « Eh bien, maintenant avant de faire cela, a-t-il dit, nous allons vendre la maison. » Et il a dit : « Vous feriez mieux tous les deux d’aller vous partager le reste avant que le divorce vous soit accordé et que la maison ne soit vendue. »
E-74 Le mari et la femme sont donc partis ensemble, ils sont allés à la maison. Puis ils sont entrés au salon, et elle a dit : « Je vais prendre ceci. » Et lui a dit : « Je vais prendre ceci. » Et ils se sont querellés, et ils se sont fait des histoires et ils ont continué à se traiter ainsi. Quelques instants après, ils ont dit : « Eh bien, je te donnerai ceci si tu acceptes de prendre ceci. » « Très bien ! » Cela a marché pendant un instant. Ensuite ils sont allés au salon et à différents endroits, dans la cuisine et dans la chambre à coucher. Ils se sont partagé le reste.
E-75 Puis finalement ils se sont rappelé qu’il y avait des choses au grenier. Alors ils sont montés au grenier et ils ont sorti la vieille malle. Puis ils ont commencé à faire sortir les différents effets, disant : « Tu peux prendre ceci, et tu peux prendre ceci. » Puis finalement, leurs yeux sont tombés sur une certaine petite chose et ils se sont tous deux saisis de cela. Ensuite ils se sont regardés. Qu’était-ce ? Une paire de petites chaussures blanches qui appartenaient à leur bébé qui était mort. Il était une partie de tous les deux. Là, avec leurs mains serrées comme cela sur la chaussure du bébé… A qui appartenait-elle réellement ? A qui était-elle ? Elle leur appartenait à eux deux. Ils avaient des choses en commun. Quelques minutes après, comme ils se regardaient l’un l’autre, les larmes ont commencé à couler sur leurs joues. Qu’est-ce ? Ils pouvaient partager tout le reste, mais quand ils en sont arrivés à ce qu’ils avaient en commun, l’enfant, et qui était au ciel, alors la querelle était terminée. Quelques minutes après, ils étaient dans les bras l’un de l’autre ; le divorce était une affaire oubliée. La paix s’était rétablie.
E-76 Et, frères, permettez-moi de vous dire ceci ce soir. Nous ne voulons pas que vous vous joigniez à une église. Mais je vous demande ceci ; il y a une chose que nous avons en commun : c’est Jésus-Christ. Il nous est commun. Nous ne pouvons pas tous être des baptistes ; nous ne pouvons pas tous être des méthodistes ; nous ne pouvons pas tous être des unitaires, ou des trinitaires, ou quoi que ce soit. Nous ne pouvons pas être cela. Mais il y a une chose que nous avons en commun. C’est le don du pardon de Dieu, Son Fils, Jésus-Christ. Nous avons toutes choses en Lui. Mais cela est la première chose qu’il nous faut accepter. Ensuite, nous pouvons avoir les autres choses quand nous acceptons le pardon que Dieu nous a offert. Et cela ne se fera pas au moyen de notre système d’instruction, au moyen de notre système dénominationnel, mais ce sera par le Sang de Jésus-Christ. Nous pouvons tous nous rencontrer sous la croix et être un et avoir des choses en commun. Croyez-vous cela ? Inclinons la tête juste un instant pendant que nous prions.

« ETRE PARDONNE » prêché par Fr Branham le 28Octobre 1963, Traduction SHP

20Mar/16
William Marrion Branham

Pardonnez…

36        Ce n’est pas l’homme. Quand vous voyez une personne comme ça, n’allez jamais penser que c’est l’homme; c’est le démon, qui est dans l’homme.

Or, ce fou furieux, qui était sur l’estrade ce soir-là, qui voulait me tuer, là-bas, dans l’Oregon. Cet homme, je, quand il est venu vers moi, au lieu de… il m’avait craché au visage et m’avait traité de “serpent dans l’herbe” devant près de dix mille personnes; eh bien, ce n’était pas cet, ce n’était pas l’homme. Lui, c’est un homme qui mange, qui boit, qui dort, qui a peut-être une famille, et qui aime, et–et qui est comme vous et moi. Mais c’était ce démon en lui qui faisait ça. Voyez?

37        Et on ne chasse jamais un démon par une mauvaise attitude. Il faut de l’amour pour le faire. L’amour est la force la plus puissante du monde. Or, si vous remarquez, un démon, c’est toujours de la haine. La haine vient du diable. Et quand des gens haïssent quelqu’un, souvenez-vous, c’est un démon terrible, ça : d’avoir du mépris ou de l’aversion. Il ne faut pas faire ça.

38        Vous vous souvenez que le–le… Jésus a dit, dans Son sermon, que lorsque vous priez : “Notre Père qui es aux Cieux”… Et plus loin, Il a dit : “Si, de tout votre coeur, vous ne pardonnez pas à chacun ses offenses, votre Père Céleste ne vous pardonnera pas non plus vos offenses.” Voyez? Il ne faut pas faire ça.

William Branham dans Questions et Réponses du 23 Décembre 1959

 

20Fév/16
Seigneur, pardonne-moi

Seigneur, pardonne-moi

  1. Je voudrais savoir ce que signifie ce qui–ce qui suit : I Timothée, 2… II Timothée, chapitre 2, verset 16.

136      Un instant. II Timothée. [espace.non.enregistré.sur.la.bande–N.D.É.] On se réunit. Peut-être que vous ne serez pas d’accord sur ce que j’ai dit. On rentre chez nous… Ensuite, vous rentrerez chez vous et vous étudierez beaucoup, ce qui servira à faire de vous quelqu’un de spirituel. Très bien, II Timothée 2.16, voici ce qu’on y lit :

Évite les discours vains et profanes; car ceux qui les tiennent avanceront toujours plus dans l’impiété,

Oui. Très bien, vous voulez savoir ce que sont ces “discours profanes”. “Profanes… évite les discours profanes, car ils se multiplieront.”

137      Bon, la première chose, “les discours profanes, car ils se multiplieront”. Bon, tout ce qui n’est que de l’espèce de vieux… que du babillage, sans plus. La Bible dit, Jésus a dit : “Que votre oui soit oui, et que votre non soit non, car tout ce qu’on y ajoute mène au péché.” Vous n’êtes même pas censés blaguer ni faire le pitre l’un avec l’autre. Dieu vous fera rendre compte de chaque parole vaine que vous aurez proférée. Saviez-vous ça? La Bible dit que vous devrez rendre compte de toute parole vaine. Alors, quelle sorte de gens devrions-nous être? Des gens qui sont francs, sérieux, pleins d’amour, gentils, jamais un déversement de sottises, toujours en train de…

138      Regardez. Prenez quelqu’un qui commence, aujourd’hui… J’ai remarqué que c’est mon cas, c’est dans ma nature, étant Irlandais; et, de toute manière, j’ai toujours beaucoup de salive quand il s’agit de faire le pitre et toutes sortes de singeries. Et de temps–de temps à autre, même ma femme me dit : “Allons, Bill!”

Je dis : “C’est vrai, chérie.” Elle dit, je joue avec les enfants, je dis, je fais le pitre avec eux ou quelque chose comme ça, je dis : “Eh bien, vous savez, il y a eu trois grands hommes qui sont sortis du Kentucky.

– Qui ça?
– Eh bien, Abraham Lincoln.
– Oui.
– Daniel Boone.
– Oui.
– Et votre père.” Quelque chose comme ça.

139      Elle me dit : “Allons, Bill, te voilà reparti.” Je suis obligé de me retirer dans le petit bureau, quelque part, et je dis : “Seigneur, pardonne-moi, je ne voulais pas dire ça. Fais quelque chose pour moi; fais que j’arrête de faire ça.” Voyez?

140      Et chaque jour, je, si je fais ça… Or, nous parlions du mot rétrograder, ce matin. Quand vous faites ça, vous êtes rétrograde. Oui monsieur! Vous devez vous repentir. Pas vrai? Bon, je ne dis pas que vous êtes retourné dans le monde et que vous avez fait ceci et cela, mais vous avez fait quelque chose. Vous devez vous repentir et mourir journellement, pour vivre en Jésus-Christ. Donc, chaque, – journellement, – chaque jour, vous devez mourir chaque jour, pour vivre en Jésus-Christ.

141      Quand je fais quelque chose – et il m’arrive souvent de mal agir. Je suis quelque part, et quelqu’un dit telle ou telle chose, et je me permets une petite plaisanterie à ce sujet. Quelqu’un dit… Pas une plaisanterie de mauvais goût; en effet, je ne crois pas que les Chrétiens font des plaisanteries grossières. Non monsieur! Non monsieur! Ce n’est même pas digne de Chrétiens, dit la Bible. Il y est dit de repousser les choses profanes de ce genre, les plaisanteries, les blagues et ce genre de chose. Non, les Chrétiens ne racontent pas ces choses-là; les Chrétiens ont des pensées pures.

142      Mais si on ne fait pas attention, de temps en temps, là, un homme, il fera une petite plaisanterie aujourd’hui. Eh bien, il pensait qu’il n’y avait pas vraiment de mal à ça, alors il laisse passer, il n’y pense plus. Le lendemain, on fait deux petites plaisanteries. Et tout d’un coup, on fait quelque chose d’autre. Et voilà, ça mène tout droit dans le même vieux système de nouveau. Pas vrai? Tenez-vous loin de cette affaire-là. Fuyez ça! Et évitez ce babillage profane.

QUESTIONS ET RÉPONSES n° 2 prêché le 03 Janvier 1954, soir, par William Branham, Traduction VGR