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26Août/15
La Prière fervente, Le travail de l'âme

Prière fervente

E-75 Nous voyons dans Jacques 5.15, la Bible dit que la prière fervente (c’est-à-dire qu’on est poussé à bout) – la prière fervente du juste a une grande efficacité. Quand un homme juste, un homme de bien est en travail ou que son âme voyage ou plutôt que son âme est en travail, l’un ou l’autre… [Frère Branham utilise le terme anglais  » travel « , qui signifie  » voyage  » au lieu du terme  » travail « , qui signifie  » douleurs d’enfantement  » – N.D.T.] (Je – je pense que voyage [En anglais :  » Travel – N.D.T.] est le meilleur terme. Travail ou voyage [En anglais :  » Travail  » or  » travel  » – N.D.T.], l’un ou l’autre, le terme par lequel vous voulez désigner cela.) Mais quand une – l’âme est poussée à bout tandis qu’elle travaille, la prière fervente d’un homme qui peut montrer le Signe produit quelque chose. Vous voyez?

E-76 Remarquez ce que la Bible dit aussi ici dans Jacques 16… 5.16, il est dit:  » Si… En confessant nos péchés (en nous mettant en ordre, nous préparant pour cela)… Confessons nos péchés les uns aux autres.  » N’ayons point – point de péché… demandez aux gens de prier pour vous, confessant nos péchés les uns aux autres et priant les uns pour les autres… Voilà ! Ayant un amour – un amour tel que j’aurai confiance, et que je pourrai vous confesser mes torts. Vous pouvez me confesser vos torts; je vous aime tellement que je vais prier pour vous, et vous, vous prierez pour moi; et je m’en tiendrai à cela, à cette prière fervente jusqu’à ce qu’elle soit exaucée. C’est – c’est cela être poussé à bout. C’est la condition dans laquelle nous devrions être.

Poussé à bout, prêché le 01 Septembre 1963, soir, à Jeffersonville par le Prophète William Branham, Traduction SHP

 

23Août/15
Dieu comme l'Arc-en-Ciel

Dieu d’abord, Sa Parole d’abord

98    Aussi certain qu’Il est Dieu, Il doit tenir Sa Parole. Certainement! L’ordre était donc: «Va à la ville, j’y ai ordonné à une femme veuve…» Une vision surgit devant le prophète. Et le voilà qui se met à marcher. Il ne sait pas où il va; cela ne fait aucune différence. Il ne fait qu’obéir.

99    Elle ne sait pas où se trouveront ces morceaux de bois, mais il y a, quelque part dans le jardin, deux morceaux de bois. Elle se met en route; elle va au jardin. Elle regarde autour d’elle: «Oh, comme il fait chaud!»; et ces hurlements qui proviennent de la ville, et les rôdeurs de nuit qui, titubant, rentrent en buvant du vin et ainsi de suite… Elle jette un coup d’oeil dans la rue; elle ne voit rien. Elle trouve un morceau de bois, une partie de la croix, le sacrifice de soi. Elle trouve un autre morceau de bois et, comme elle ramasse ce second morceau de bois…

100    Oh! quelle heure lugubre cela devait être: la mort était sur le seuil de sa porte. Une petite bouchée de gâteau de maïs et elle et son fils mourraient. C’était tout. C’est parfois au beau milieu des ténèbres qu’on entend la voix.

101    Repartant vers la maison après avoir ramassé ce second morceau de bois, elle entend une voix de l’autre côté du portail: «Va me chercher un peu d’eau dans un vase!»

102    Elle se retourne pour voir, les deux morceaux de bois dans sa main, la farine et l’huile mélangées et prêtes. Elle dit les avoir préparées, mélangées. C’est cela: la Parole et l’Esprit doivent se mélanger, et être placés sur la croix du sacrifice de soi, afin de nier tout ce qui est contraire à ce que vous avez demandé. C’est exact. «J’ai fait le mélange; je vais maintenant aller chercher ces morceaux de bois.» Et cette voix déclare: «Apporte-moi un peu d’eau dans un vase!»

103    Elle regarde et voit un homme se tenant là, appuyé contre le portail; un homme aux joues creuses, barbu, chauve, qui, depuis l’autre côté du portail, la regarde, enveloppé d’une vieille peau de mouton. Il avait l’air d’être un aimable vieillard. Elle se dit: «Je vais partager mon eau avec lui.»

104    Les eaux de la Vie: vous êtes prêt à en donner à tout le monde, à en parler à tout le monde, à aller n’importe où. «Un instant, Monsieur.»

105    Elle s’en retourne, avec les morceaux de bois dans sa main. Et la voix tonne à nouveau: «Non seulement partageras-tu ton eau, mais apporte-moi aussi un petit morceau de pain dans ta main!» Le pain de la Vie, l’eau de la Vie: «de la Vie»? Elle mourrait aussitôt qu’ils seraient épuisés.

106    «Apporte-moi ton eau, et apporte-moi ton pain!» Que trouvons-nous ici? Quelle leçon pouvons-nous en tirer? «Cherchez premièrement le Royaume de Dieu et toute Sa justice; les autres choses vous seront données par-dessus.» «Apporte-moi un peu d’eau et un morceau de pain.»

107    Encore tout abattue, elle se retourne alors; je peux l’entendre dire: «Monsieur!» – quelque chose comme ceci – «Vous êtes différent des hommes que j’ai vus, des hommes que j’ai entendus parler, vous semblez si sûr de ce que vous avancez. Mais j’ai tout juste assez de farine, juste une poignée, et juste une cuillerée d’huile. J’avais préparé cela, et je vais le cuire avec ces deux morceaux de bois. Et puis je le mangerai avec mon fils, après quoi nous mourrons. C’est tout ce que j’ai!»

108    Qu’entendons-nous ensuite? «Mais apporte-moi d’abord le petit gâteau!» Dieu d’abord! Peu importe ce qu’on peut dire, ou quoi que ce soit d’autre, une quelconque évidence et combien sombre cela peut paraître, quoi qu’il en soit, prenez Dieu d’abord, Sa Parole d’abord!

109    «Le médecin a dit que je ne peux me rétablir»; mais Sa Parole passe d’abord! «Je suis un trop grand pécheur!», «Je suis une prostituée!», «Je joue à l’argent!», «Je suis un ivrogne!»; la Parole de Dieu d’abord! «Si vos péchés sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige; s’ils sont rouges comme la pourpre, ils deviendront blancs comme la laine.» Dieu d’abord.

Soyez certains de Dieu, 25 Janvier 1959, William Branham

22Août/15
Soif

Soif d’amour

73     C’est comme un jeune homme et une jeune femme. Bon, ce n’est pas inutile, ou ce n’est pas (je veux dire) anormal pour un jeune homme et une jeune femme de–de s’aimer. C’est une soif d’amour. C’est de leur âge, et ils–ils s’aiment. Et ce n’est pas quelque chose d’anormal, c’est tout simplement naturel chez eux.

74     Maintenant, nous voyons qu’il y a beaucoup de choses, dans la vie que nous menons dans ce corps naturel, dont nous avons soif. C’est simplement quelque chose qui est là, à l’intérieur de nous. Nous voulons faire ces choses, nous considérons vraiment que c’est nécessaire. Et c’est effectivement nécessaire que nous les fassions.

75     Nous voyons qu’il y a beaucoup de femmes, de nos jours, qui ont soif de beauté. Or, il n’y a pas une seule femme… C’est une chose naturelle chez la femme d’avoir soif d’être belle. Ça, c’est–c’est son instinct, que Dieu lui a donné, et–et sa beauté que Dieu lui a donnée pour son compagnon. Et donc, nous voyons que les femmes veulent être comme ça. Pourquoi donc? C’est simplement parce que c’est quelque chose que Dieu lui a donné. Que les femmes soient belles, il n’y a pas de mal à ça. Elles devraient l’être.

76     Et, vous savez, les seules créatures où–où la femelle est plus belle que le mâle, c’est dans la race humaine. Tous les autres animaux, prenez la–la vache et le taureau, la biche et le cerf, la poule et le coq, l’oiselle et l’oiseau, vous allez toujours constater que le mâle est grand et beau. Mais, dans la race humaine, preuve que c’est là qu’il y a eu la perversion, c’est le contraire; ce sont les femmes, alors, qui sont–sont belles, et elles ont soif d’être belles.

77     Pas comme certaines de ces créatures bizarres qu’on voit dans la rue aujourd’hui; non, non, pas cette sorte de beauté là. Non. Ça, c’est le spectacle le plus horrible que j’ai jamais vu de ma vie. Oui monsieur. Ça, c’est de la perversion, c’est de pervertir la vraie soif.

78     Or, la vraie soif qu’une femme devrait avoir, ce serait de “se vêtir d’une manière décente, et d’avoir un esprit semblable à celui de Christ”, I Timothée 2.9. Maintenant, la femme, c’est d’être comme ça qu’elle devrait avoir soif. Maintenant, si vous voulez être belles, c’est ça qui fait votre beauté, voyez-vous, c’est un esprit semblable à celui de Christ, et d’être vêtues d’une manière décente.

Extrait de la Prédication La Soif de William Branham,  prêchée le 19 Septembre 1965

17Août/15
William Marrion Branham

Prier, c’est entrer dans une atmosphère

34.  Les hommes et les femmes qui y vivent sont mal compris. Saisissez-vous cela? Ils deviennent particuliers. Ils n’entendent plus les choses du monde, ou même s’ils les entendent, ils n’y prêtent plus attention. Ils avancent tout simplement. Dieu n’a jamais mis cela là-dedans pour rien. Dieu ne vient jamais de façon hasardeuse. La prière n’est pas un – un peut-être. La prière est une chose sincère. Prier, c’est parler à Dieu. Prier, ce n’est pas s’agenouiller, fermer les yeux, et penser à votre lessive ou au travail que vous faites, et dire :  » Seigneur, aide-moi et John, et guéris Mlle Jones et ainsi de suite. » Ce n’est pas ça prier. Ça, c’est réciter des paroles. Mais prier, c’est entrer dans une atmosphère où vous réalisez que vous êtes dans la Présence de Dieu et alors vous entrez dans la plus profonde sincérité. Tout d’abord, vous offrez une petite adoration, disant : « Ô Jéhovah, comme je T’aime ! » Saisissez-vous cela ? Ensuite, après la prière d’adoration, vous vous approchez alors avec un cœur sincère pour faire une demande.

« Si vous demeurez en Moi« , ce n’est pas sortir de derrière les rideaux pour retourner dans le monde aujourd’hui et courir partout, puis chercher à revenir ce soir derrière les rideaux. « Si vous demeurez en Moi, que Mes Paroles demeurent en vous… » En d’autres termes, si vous êtes comme la verge d’Aaron qui avait été amenée jusque dans la Gloire de la Shekinah, près du pot en or contenant la manne, où vous pouvez la manger n’importe quand… Et votre âme est rafraîchie, elle fleurit et porte des fruits. Demeurer. « Si vous demeurez en Moi, et que Mes Paroles demeurent en vous, alors demandez ce que vous voulez, cela vous sera accordé. »

Le Surnaturel (L’Atmosphère SPIRITUELLE), prêché par William BRANHAM, le 29 Janvier 1956

14Août/15
Dieu comme l'Arc-en-Ciel

Sauver des âmes pour Christ

2     Quelqu’un me demandait l’autre jour: «Pensez-vous, frère Branham, que la venue du Seigneur est proche?»
J’ai dit: «Certainement qu’elle l’est.»
Il a dit: «Mais ça fait si longtemps qu’on nous dit ça!»

3     J’ai répondu: «Mais un jour, tu en entendras parler pour la dernière fois.» Vous voyez? C’est exact. Un jour Il sera là. Et quand cela arrivera, je veux être fin prêt.

4     Nous parlions dernièrement devant des hommes d’affaires, des avocats, et ainsi de suite, et puis l’un d’entre eux m’a demandé quel était mon principal objectif ici-bas.
J’ai répondu: «J’en ai un.»
Il a dit: «Quel est-il?»

5     J’ai dit: «Sauver des âmes pour Christ.» C’est la seule chose que je…

6     Ma plus grande ambition et unique ambition, c’est de voir Jésus-Christ glorifié. Je vis dans ce but.

7     Et je suis si heureux de notre témoignage, que depuis trente et un ans déjà, je L’ai humblement servi. Si je devais vivre un million d’années, si j’avais autant de temps à vivre, je voudrais vivre chaque minute de ce temps pour Lui. Même si je savais devoir être rejeté à la fin, c’est tout un privilège de vivre pour Lui. Il est si réel et si bon.

8     Je n’ai jamais rien découvert dans tous mes voyages ici-bas quoi que ce soit qui se comparerait à cette communion que nous avons ensemble quand nous sommes seuls, Lui et moi. Il n’y a pas de plus douce communion. L’amour de Christ surpasse l’amour envers quoi que ce soit, sa femme, ses enfants, ou quoi que ce soit. C’est si bon.

 Des Images de Christ, 25 Mai 1959, prédication de William Branham

12Août/15
Campagne

Ma maison sera une maison d’adoration, de prière

50     Mais il se trouve que moi, je peux le faire. Alors, je–je… Et je–je veux que vous vous souveniez de mes paroles, vous voyez. Et tout ceci est enregistré, vous voyez. Tout est enregistré. Et, s’il vous plaît, que chacun des diacres reste à son poste, et souvenez-vous que vous avez reçu de Dieu le mandat de vous acquitter de ce poste comme d’un devoir sacré. Voyez? C’est pareil pour chacun des administrateurs. Quant au pasteur, il doit apporter…

51     Ce n’est pas le rôle du pasteur d’avoir à dire ça. C’est celui des administrateurs… ou, je veux dire, des diacres, parce que ce sont eux qui sont la police de l’église. Par exemple, si des jeunes couples viennent à l’extérieur et se mettent à klaxonner, et, vous savez, comme ils ont l’habitude de faire, ou quelque chose comme ça, pendant les réunions, ou s’ils sont là, dehors. De même, si une mère envoie sa fille ici, et qu’elle part avec un petit voyou, qu’elle file en voiture avec lui, alors que sa mère pense qu’elle est à l’église, comme ça. C’est au diacre à s’en occuper. “Ou bien vous entrez et vous vous assoyez, ou bien je vous ramène moi-même chez votre mère dans ma voiture.” Voyez? Vous–vous devez le faire.

52     Rappelez-vous: L’amour est correctif, vous voyez, toujours. L’amour authentique est correctif, alors, vous devez pouvoir supporter la correction. Donc, les mères savent maintenant qu’il y a un endroit ici pour leurs bébés. Vous, les jeunes enfants, vous savez qu’il ne faut pas courir dans le bâtiment. Voyez? Et vous, les adultes, vous savez qu’il ne faut pas parler ou tenir des conversations dans la salle. Voyez? Ne faites pas ça. C’est mal. Ce n’est pas agréable à Dieu.

53     Jésus a dit: “Il est écrit que Ma maison sera une maison d’adoration, de prière. Qu’elle sera appelée la maison de prière, par toutes les nations!” Et ils y achetaient et y vendaient, alors Il s’est fait un fouet avec des cordes et Il a chassé les gens de la salle. On ne veut certainement pas que ça se produise dans ce sanctuaire-ci. Alors, consacrons nos vies, notre église, notre travail, notre service, et tout ce que nous possédons, au Royaume de Dieu.

Dieu se cache et se révèle dans la simplicité, William Branham,  17 Mars 1963

08Août/15
Frère et Soeur Branham

Pour abandonner nos volontés propres

13     L’autre soir, il devait être un peu après minuit, mon épouse et moi, après être restés debout plus tard que d’habitude, à prier et à parler au Seigneur, d’un côté et de l’autre du petit tabouret dans le… notre salon, avec nos deux Bibles ouvertes, nous nous sommes reconsacrés à Dieu, pour un service total, pour abandonner nos volontés propres, et tout, et chaque pensée négative, et, pour servir le Seigneur Jésus.
    Et j’espère que ça a été votre attitude à vous, aussi, que vous avez fait la même chose. Alors, comme nous venons ce soir, nous venons sur un terrain saint, au milieu d’un peuple qui a été en prière, et qui a jeûné, et qui a fait des restitutions, et qui s’est préparé à recevoir quelque chose de Dieu. Et je sais que celui qui viendra affamé ne repartira pas affamé, mais que Dieu le nourrira du Pain de Vie.

14     Maintenant, avant de lire dans Son Livre sacré, courbons la tête juste un instant pour prier.

15     Seigneur, il y a déjà eu de la prière qui a été prononcée dans cet endroit ce soir. Il y a eu… les cantiques de Sion ont été chantés par Tes enfants. Leurs cœurs se sont élevés. Et nous sommes venus ici pour nous consacrer à Toi, et pour T’adorer du plus profond de notre âme. Et nous Te rappelons ceci, Seigneur, c’est que Tu as dit, quand Tu étais assis sur la montagne et que Tu enseignais Tes disciples: “Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés.” Tu l’as promis, Seigneur. Nous venons ce soir avec des cœurs ouverts. Nous venons, nous avons faim et soif, et nous savons que Tu tiendras Ta promesse.

Brochure  » Qu’est-ce que le Saint-Esprit?  prêchée par William Branham le 16 Décembre 1959

04Août/15
Prenez soin de votre papa

Prenez soin de votre papa

262.Que puis-je faire pour lui? Devrais-je continuer à (Oh!) prendre soin de papa, à la ferme? Que puis-je faire… pourvoir aux–aux besoins de…? Et il a signé.
Oui, mon frère… Il–il est écrit, ici, – je ne sais pas qui, – il est dit : “Frère Branham…” Ça commence simplement par : “Que puis-je faire pour lui?”
Alors, c’est probablement un garçon, à propos de son papa. Regardez, mon cher frère, heureux serez-vous quand vous prendrez soin de votre papa, car votre papa a pris soin de vous quand vous ne pouviez pas prendre soin de vous-même. Et le premier commandement avec une promesse, le premier commandement avec une promesse : “Honore ton père et ta mère, afin que tes jours se prolongent sur la terre que l’Éternel, ton Dieu, te donne.” Voyez? Oui, prenez soin de votre papa, de toutes les manières possibles. Veillez à ce qu’il reçoive tout ce qu’il y a de mieux.

Questions et Réponses n°1, 23 Août 1964 Matin, prêché par William Branham

Rubrique Brochures

03Août/15
Bible

Si elle persévère

  1. Maintenant, je pense que la question suivante est peut-être posée par quelqu’un qui… au sujet de ce que j’ai dit l’autre soir. Expliquez le fait que l’épouse soit sauvée en devenant mère.

110      L’épouse n’est pas sauvée en devenant mère. Mais prenons donc I Timothée 2.8 un instant. Et voyons ce que dit la Bible au sujet de l’enfant. Or je sais bien que ça, c’est une doctrine catholique, car les catholiques disent que la femme est sauvée par sa maternité, en devenant mère. Mais nous n’allons pas… moi, je ne crois pas ça. I Timothée, chapitre 2, commençons au verset 8, et lisons maintenant pendant un instant. Très bien, écoutez.

Je veux aussi que les femmes, vêtues d’une manière décente… (On ne devrait pas avoir à demander ça, n’est-ce pas? Écoutez bien ceci.) …avec pudeur… (Fiou!) …et modestie, ne se parent ni de tresses, ni d’or, ni de perles, ni d’habits somptueux, (Mes frères, je suis en train de vous aider, ici, j’espère. Tous ces chapeaux, renouvelés tous les jours ou tous les trois jours. Vous voyez? Ça ne convient pas à des Chrétiennes.)

Mais qu’elles se parent de bonnes oeuvres, comme il convient à des femmes qui font profession de servir Dieu.
Que les femmes écoutent l’instruction en silence, avec une entière soumission.
Je ne permets pas à la femme d’enseigner, ni de prendre de l’autorité sur l’homme; mais elle doit demeurer…en silence.
Car Adam a été formé le premier, et Ève ensuite;
…ce n’est pas Adam qui a été séduit, c’est la femme qui, séduite, s’est rendue coupable de transgression.
Elle sera néanmoins sauvée en devenant mère, si… (Ce n’est pas à la femme mondaine, là, qu’il parle d’avoir des enfants.) …si elle persévère dans la foi… (Voyez? Si elle persévère. Elle l’est déjà… C’est de cette femme-là qu’il parle, de la femme qui est déjà sauvée. Voyez?) …dans l’amour, dans la sanctification, avec une entière modestie.

111      Ce n’est pas le fait d’avoir un bébé qui la sauve, mais c’est parce qu’elle élève ses enfants, qu’elle fait son devoir, au lieu d’élever des chats, des chiens et n’importe quoi d’autre, ce qui va prendre la place d’un enfant, – comme elles le font aujourd’hui, – c’est à ça qu’elle donne son amour maternel, pour pouvoir se permettre de sortir toute la nuit. Certaines personnes font ça. Désolé, mais c’est ce qu’elles font. C’est une déclaration très directe de ma part, mais la vérité est la vérité. Voyez? Elles ne veulent pas avoir de bébé, ça leur ferait perdre leur liberté. Par contre, en devenant mère, si elle persévère dans la foi, dans la sanctification et dans une entière modestie, elle sera sauvée. Mais le si, ça veut dire que vous serez aussi sauvés, si vous êtes nés de nouveau. Vous serez, vous pouvez être guéris, si vous croyez. Vous pouvez recevoir le Saint-Esprit, si vous Y croyez, que vous vous préparez à Le recevoir, si vous êtes prêts à Le recevoir. De même elle sera sauvée, si elle persévère dans ces choses (voyez?), mais pas parce qu’elle est une femme. Donc, c’est exact, mon frère, ma soeur. Ce n’est pas du tout un enseignement catholique. Maintenant, je veux… En voici une autre, qui est très épineuse. Puis, nous en avons encore une autre. Je pense que nous aurons peut-être le temps d’y répondre. J’ai déjà pris tout le temps que nous avions. Or ça, ce sont simplement–ce sont simplement les répercussions du réveil. Ces questions, ce sont les répercussions des réunions.

Extrait de la Borchure « Questions et Réponses sur le Saint-Esprit », prêché le 19 Décembre 1959

01Août/15
Fleur Lys d'Eau

Amener les gens à recevoir le Saint-Esprit

6 Maintenant, puisque demain soir il y en a plusieurs qui pourront rester assez longtemps dans les pièces, à l’église, je pense que, si nous pouvons avoir autant de prédicateurs et de ces gens qui ont de l’expérience pour ce qui est d’amener les gens à recevoir le Saint-Esprit, pour qu’ils les encouragent, pour qu’ils aillent à la maison avec une—une femme et son mari, ou—ou avec quelqu’un qui cherche le Saint-Esprit, qui soient bien au fait de ce qu’il faut faire.
Si vous voulez bien laisser votre numéro de téléphone ou votre adresse au pasteur, ce soir ou demain soir. Vous n’avez qu’à laisser ça à Frère Neville, comme ça on n’aura pas besoin de se réunir pour une réunion. Vous n’avez qu’à laisser votre numéro de téléphone, là où on peut vous joindre. Et là, dites: «Je serai disponible, et si nous… vous voulez me placer chez quelqu’un.» Si c’est une—une femme seule, alors nous pourrons envoyer une femme vous voyez, chez cette femme. Et puis, si c’est dans un foyer où il y a un homme et sa femme, eh bien, on pourra envoyer un prédicateur.
Et nous serions heureux que vous collaboriez, parce que je sais que ceci, cette chose primordiale, vous intéresse tous. Et souvenez-vous… «Celui qui sauve une âme de son égarement a couvert une multitude de péchés.» Voyez? Et l’Épouse de Christ a faim et soif. Elle est dans les douleurs, pour donner naissance aux enfants de Dieu.

Pourquoi le Saint- Esprit a-t-il été donné? prêché par William Branham le 17 Décembre 1959