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26Mar/16
En commun

Ce qu’ils avaient en commun

E-73 Récemment (pour terminer), un homme et une femme, mari et femme, étaient en train de se séparer. Et ils ont essayé de se réconcilier. Ils sont allés consulter un psychiatre pour voir s’il pouvait rapprocher leurs idées. Mais il n’a pas pu. Ils ont recouru à tout ce qu’ils pouvaient imaginer pour essayer de rester ensemble, mais ils ne faisaient que se quereller et étaient continuellement divisés. Et ils ne pouvaient pas se supporter, et ils ne pouvaient pas supporter l’un la présence de l’autre, et ils ont continué à se quereller. Ils ont donc décidé de divorcer. Alors ils ont payé le service d’un avocat pour obtenir le divorce. Et il a dit : « Eh bien, maintenant avant de faire cela, a-t-il dit, nous allons vendre la maison. » Et il a dit : « Vous feriez mieux tous les deux d’aller vous partager le reste avant que le divorce vous soit accordé et que la maison ne soit vendue. »
E-74 Le mari et la femme sont donc partis ensemble, ils sont allés à la maison. Puis ils sont entrés au salon, et elle a dit : « Je vais prendre ceci. » Et lui a dit : « Je vais prendre ceci. » Et ils se sont querellés, et ils se sont fait des histoires et ils ont continué à se traiter ainsi. Quelques instants après, ils ont dit : « Eh bien, je te donnerai ceci si tu acceptes de prendre ceci. » « Très bien ! » Cela a marché pendant un instant. Ensuite ils sont allés au salon et à différents endroits, dans la cuisine et dans la chambre à coucher. Ils se sont partagé le reste.
E-75 Puis finalement ils se sont rappelé qu’il y avait des choses au grenier. Alors ils sont montés au grenier et ils ont sorti la vieille malle. Puis ils ont commencé à faire sortir les différents effets, disant : « Tu peux prendre ceci, et tu peux prendre ceci. » Puis finalement, leurs yeux sont tombés sur une certaine petite chose et ils se sont tous deux saisis de cela. Ensuite ils se sont regardés. Qu’était-ce ? Une paire de petites chaussures blanches qui appartenaient à leur bébé qui était mort. Il était une partie de tous les deux. Là, avec leurs mains serrées comme cela sur la chaussure du bébé… A qui appartenait-elle réellement ? A qui était-elle ? Elle leur appartenait à eux deux. Ils avaient des choses en commun. Quelques minutes après, comme ils se regardaient l’un l’autre, les larmes ont commencé à couler sur leurs joues. Qu’est-ce ? Ils pouvaient partager tout le reste, mais quand ils en sont arrivés à ce qu’ils avaient en commun, l’enfant, et qui était au ciel, alors la querelle était terminée. Quelques minutes après, ils étaient dans les bras l’un de l’autre ; le divorce était une affaire oubliée. La paix s’était rétablie.
E-76 Et, frères, permettez-moi de vous dire ceci ce soir. Nous ne voulons pas que vous vous joigniez à une église. Mais je vous demande ceci ; il y a une chose que nous avons en commun : c’est Jésus-Christ. Il nous est commun. Nous ne pouvons pas tous être des baptistes ; nous ne pouvons pas tous être des méthodistes ; nous ne pouvons pas tous être des unitaires, ou des trinitaires, ou quoi que ce soit. Nous ne pouvons pas être cela. Mais il y a une chose que nous avons en commun. C’est le don du pardon de Dieu, Son Fils, Jésus-Christ. Nous avons toutes choses en Lui. Mais cela est la première chose qu’il nous faut accepter. Ensuite, nous pouvons avoir les autres choses quand nous acceptons le pardon que Dieu nous a offert. Et cela ne se fera pas au moyen de notre système d’instruction, au moyen de notre système dénominationnel, mais ce sera par le Sang de Jésus-Christ. Nous pouvons tous nous rencontrer sous la croix et être un et avoir des choses en commun. Croyez-vous cela ? Inclinons la tête juste un instant pendant que nous prions.

« ETRE PARDONNE » prêché par Fr Branham le 28Octobre 1963, Traduction SHP

20Mar/16
William Marrion Branham

Pardonnez…

36        Ce n’est pas l’homme. Quand vous voyez une personne comme ça, n’allez jamais penser que c’est l’homme; c’est le démon, qui est dans l’homme.

Or, ce fou furieux, qui était sur l’estrade ce soir-là, qui voulait me tuer, là-bas, dans l’Oregon. Cet homme, je, quand il est venu vers moi, au lieu de… il m’avait craché au visage et m’avait traité de “serpent dans l’herbe” devant près de dix mille personnes; eh bien, ce n’était pas cet, ce n’était pas l’homme. Lui, c’est un homme qui mange, qui boit, qui dort, qui a peut-être une famille, et qui aime, et–et qui est comme vous et moi. Mais c’était ce démon en lui qui faisait ça. Voyez?

37        Et on ne chasse jamais un démon par une mauvaise attitude. Il faut de l’amour pour le faire. L’amour est la force la plus puissante du monde. Or, si vous remarquez, un démon, c’est toujours de la haine. La haine vient du diable. Et quand des gens haïssent quelqu’un, souvenez-vous, c’est un démon terrible, ça : d’avoir du mépris ou de l’aversion. Il ne faut pas faire ça.

38        Vous vous souvenez que le–le… Jésus a dit, dans Son sermon, que lorsque vous priez : “Notre Père qui es aux Cieux”… Et plus loin, Il a dit : “Si, de tout votre coeur, vous ne pardonnez pas à chacun ses offenses, votre Père Céleste ne vous pardonnera pas non plus vos offenses.” Voyez? Il ne faut pas faire ça.

William Branham dans Questions et Réponses du 23 Décembre 1959

 

24Fév/16
Dans quel but venir à la maison du Seigneur

Dans quel but venir à la maison du Seigneur

  1. Pourriez-vous, s’il vous plaît, nous dire ce que notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ attend de nous, quand nous entrons dans la maison de notre Seigneur pour adorer?

111      Très bien, c’est une bonne question. C’est une question tout à fait essentielle, pour n’importe quelle église. Dieu s’attend à ce que vous veniez à cette maison, à l’église… Bon, celle-là, ce n’est qu’une question, qu’une question posée, comme ça. Ce n’est pas une question sur l’Écriture, c’est – mais en même temps ça l’est. Attendez, je vais vous dire ce qu’Il a dit. Premièrement, si vous voulez l’Écriture, les gens sont censés venir à la maison de Dieu dans un seul but, celui d’adorer, de chanter des cantiques et d’adorer Dieu. Voilà ce que Dieu attend de nous. Il ne s’attend pas à ce que nous entrions dans la maison de Dieu pour parler de ce qui nous concerne, ou d’autre chose, ou pour parler les uns des autres, ou pour parler de ce que nous prévoyons faire pendant la semaine; Il s’attend à ce que nous venions pour L’adorer. C’est une maison d’adoration. “Et tout doit se faire avec bienséance et avec ordre”, a dit Paul, dans la Bible. Tout doit être impeccable. Il doit y avoir un message.

112      La première chose que je dirais, c’est que, selon les règles observées par l’Église dans l’Ancien Testament, ou plutôt, dans le Nouveau Testament, premièrement, les gens entraient dans l’église de–de Dieu avec un Esprit d’adoration. Et ils entraient, on chantait des cantiques. Et peut-être que le prédicateur prenait la parole, car il était un prophète de l’église. (Un prophète du Nouveau Testament est un prédicateur; nous savons ça : “Le témoignage de Jésus-Christ est l’Esprit de la prophétie”, dit l’Apocalypse.)

113      Alors, le prédicateur commençait à prêcher. Pendant qu’il prêchait, là les bénédictions – vers la, peut-être la fin de sa prédication – se mettaient à descendre; les gens disaient : “Amen”, se mettaient à bénir Dieu. Ensuite, dès qu’il arrêtait de prêcher, peut-être qu’un message venait, peut-être que c’était prononcé dans des langues inconnues (I Corinthiens 14.13, 14). Alors–alors, s’il n’y avait pas d’interprète dans l’église, ces gens devaient se taire – parce qu’ils parlent effectivement en langues, mais ils le font devant Dieu. Voyez? Par contre, s’ils parlent en langues et qu’il y a un interprète, l’interprète est censé donner le message. Toutes les églises sont en train de se rallier à cela.

QUESTIONS ET RÉPONSES n° 2 prêché le 03 Janvier 1954, soir, par William Branham, Traduction VGR

20Fév/16
Seigneur, pardonne-moi

Seigneur, pardonne-moi

  1. Je voudrais savoir ce que signifie ce qui–ce qui suit : I Timothée, 2… II Timothée, chapitre 2, verset 16.

136      Un instant. II Timothée. [espace.non.enregistré.sur.la.bande–N.D.É.] On se réunit. Peut-être que vous ne serez pas d’accord sur ce que j’ai dit. On rentre chez nous… Ensuite, vous rentrerez chez vous et vous étudierez beaucoup, ce qui servira à faire de vous quelqu’un de spirituel. Très bien, II Timothée 2.16, voici ce qu’on y lit :

Évite les discours vains et profanes; car ceux qui les tiennent avanceront toujours plus dans l’impiété,

Oui. Très bien, vous voulez savoir ce que sont ces “discours profanes”. “Profanes… évite les discours profanes, car ils se multiplieront.”

137      Bon, la première chose, “les discours profanes, car ils se multiplieront”. Bon, tout ce qui n’est que de l’espèce de vieux… que du babillage, sans plus. La Bible dit, Jésus a dit : “Que votre oui soit oui, et que votre non soit non, car tout ce qu’on y ajoute mène au péché.” Vous n’êtes même pas censés blaguer ni faire le pitre l’un avec l’autre. Dieu vous fera rendre compte de chaque parole vaine que vous aurez proférée. Saviez-vous ça? La Bible dit que vous devrez rendre compte de toute parole vaine. Alors, quelle sorte de gens devrions-nous être? Des gens qui sont francs, sérieux, pleins d’amour, gentils, jamais un déversement de sottises, toujours en train de…

138      Regardez. Prenez quelqu’un qui commence, aujourd’hui… J’ai remarqué que c’est mon cas, c’est dans ma nature, étant Irlandais; et, de toute manière, j’ai toujours beaucoup de salive quand il s’agit de faire le pitre et toutes sortes de singeries. Et de temps–de temps à autre, même ma femme me dit : “Allons, Bill!”

Je dis : “C’est vrai, chérie.” Elle dit, je joue avec les enfants, je dis, je fais le pitre avec eux ou quelque chose comme ça, je dis : “Eh bien, vous savez, il y a eu trois grands hommes qui sont sortis du Kentucky.

– Qui ça?
– Eh bien, Abraham Lincoln.
– Oui.
– Daniel Boone.
– Oui.
– Et votre père.” Quelque chose comme ça.

139      Elle me dit : “Allons, Bill, te voilà reparti.” Je suis obligé de me retirer dans le petit bureau, quelque part, et je dis : “Seigneur, pardonne-moi, je ne voulais pas dire ça. Fais quelque chose pour moi; fais que j’arrête de faire ça.” Voyez?

140      Et chaque jour, je, si je fais ça… Or, nous parlions du mot rétrograder, ce matin. Quand vous faites ça, vous êtes rétrograde. Oui monsieur! Vous devez vous repentir. Pas vrai? Bon, je ne dis pas que vous êtes retourné dans le monde et que vous avez fait ceci et cela, mais vous avez fait quelque chose. Vous devez vous repentir et mourir journellement, pour vivre en Jésus-Christ. Donc, chaque, – journellement, – chaque jour, vous devez mourir chaque jour, pour vivre en Jésus-Christ.

141      Quand je fais quelque chose – et il m’arrive souvent de mal agir. Je suis quelque part, et quelqu’un dit telle ou telle chose, et je me permets une petite plaisanterie à ce sujet. Quelqu’un dit… Pas une plaisanterie de mauvais goût; en effet, je ne crois pas que les Chrétiens font des plaisanteries grossières. Non monsieur! Non monsieur! Ce n’est même pas digne de Chrétiens, dit la Bible. Il y est dit de repousser les choses profanes de ce genre, les plaisanteries, les blagues et ce genre de chose. Non, les Chrétiens ne racontent pas ces choses-là; les Chrétiens ont des pensées pures.

142      Mais si on ne fait pas attention, de temps en temps, là, un homme, il fera une petite plaisanterie aujourd’hui. Eh bien, il pensait qu’il n’y avait pas vraiment de mal à ça, alors il laisse passer, il n’y pense plus. Le lendemain, on fait deux petites plaisanteries. Et tout d’un coup, on fait quelque chose d’autre. Et voilà, ça mène tout droit dans le même vieux système de nouveau. Pas vrai? Tenez-vous loin de cette affaire-là. Fuyez ça! Et évitez ce babillage profane.

QUESTIONS ET RÉPONSES n° 2 prêché le 03 Janvier 1954, soir, par William Branham, Traduction VGR

21Jan/16
William Marrion Branham

Je vous souhaite une bonne année

14     Combien sont heureux et joyeux d’avoir encore été gardés pendant une année par le Seigneur? Nous voici entrain d’arriver au bout de la route, et je prie Dieu qu’Il nous pardonne tous nos péchés et nos manquements.

15     Maintenant, je veux encore dire ceci avant de commencer: je souhaite à chacun de vous la nouvelle année la plus réussie et la plus bénie, et la meilleure santé que je puisse vous souhaiter. Que Dieu soit avec vous! Puissiez-vous croître à la fois physiquement, spirituellement, financièrement et matériellement. Tout ce que Dieu peut vous apporter, je prie qu’Il le fasse.

16     Moi aussi, j’ai devant moi une nouvelle année: Dieu seul sait ce que nous réserve le futur. Et nos décisions doivent être prises tout de suite. Toutes nos affaires sont prêtes pour la nouvelle salle de gymnastique. Tout est prêt maintenant pour les invitations et tout le reste, et cela pour le monde entier, et nous attendons de voir où le Seigneur nous conduira. Je réclame vraiment vos prières; je vous demande de prier, de tout votre coeur, que Dieu ne me laisse jamais m’égarer. Et maintenant, je vous souhaite une bonne année!

 Apocalypse, chapitre quatre, partie 1,  prêché par William Branham, le 31 Décembre 1960

10Jan/16
Baptême, Lac Michigan Réveil

Ramenez les réunions de prière à l’ancienne mode

E-139 La grande dénomination tomba. Ça a toujours été ainsi quand Dieu entre en action, les autres choses tombent. Ce fut alors la plus grande victoire de Samson. Oh ! je souhaiterais voir l’Eglise du Dieu vivant se lever ce soir :  » Encore une fois, Seigneur. Encore une fois. Envoie-nous un réveil, qu’il me coûte le tout ; qu’il me coûte tout ce que j’ai, envoie-moi un réveil. Envoie-le sur moi, Seigneur.  » Ecoute ce groupe d’environ trois cent personnes ou plus crier ici ce soir, à l’unisson :  » Seigneur Dieu, encore une fois, laisse-moi voir Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Laisse-moi reconnaître qu’Il est près de moi. Laisse-moi savoir qu’Il est ici pour prendre soin de moi. Je suis disposé maintenant.  »
E-140 Oh ! rendez-vous (compte), tous les ennemis étaient détruis. Les pentecôtistes se tiennent à ce poteau-là ce soir. Nous sommes nés pour détruire, ces choses, elles ont pris le dessus. Repentez-vous, criez à haute voix :  » Seigneur, encore une fois ; encore une fois, laisse-nous voir cela.  »
E-141 Laissez-moi dire ceci, mon ami. Vous feriez mieux de détruire votre ennemi avant que votre ennemi vous détruise. Ramenez les réunions de prière à l’ancienne mode, la repentance à l’ancienne mode, quand on restait à l’autel jusqu’à ce qu’on meurt et qu’on en ait fini avec le péché. On ne voyait jamais une femme allait à l’autel, mourir au péché, et le lendemain, revenir avec des cheveux coupés et du maquillage au visage. Cela n’existe pas. Le Saint-Esprit enseigne, la nature enseigne, la nature du Saint-Esprit. On ne voyait jamais des femmes sortir en sexy, elle rentraient et cherchaient à se couvrir. On ne voyait jamais des hommes avoir peur de se lever et craindre que sa petite femme le quitte l’une ou l’autre chose, pour avoir pris l’initiative. Eh bien, les hommes étaient des hommes à l’époque. Ils parlaient, ils étaient des hommes ; ils étaient maîtres chez eux. Ils étaient les chefs de la maison. Mais cet Américain raffiné.

E-142 J’ai appris il n’y a pas longtemps d’un petit érudit Grec, il est assis ici à me regarder maintenant, il vient de la Grèce, c’est un érudit en grec, il s’est mis à jouer mes bandes et il a suivi le Message. Il a dit :  » Je sais que vous n’avez même pas l’instruction, mais, Frère Branham, vos termes et votre Message sont en parfaite harmonie avec l’interprétation grecque de la Bible.  » Il a dit :  » C’est tout à fait exact. Ce que vous avez dit est tout à fait exact.  » Et il est venu vers moi, il me disait :  » Laodicée signifie,  » femme  » en grec. C’est le monde de la femme.  » C’est l’église de la femme.  » C’est l’âge de la femme. Plusieurs hommes voulaient… Quand est-ce que Dieu s’est jamais retrouvé dans cette condition-là ? Oui, êtes-vous prêt à ramener un réveil ? Etes-vous prêt ?

E-143 Une femme disait :  » J’ai le droit de faire ce que je veux. C’est mon privilège d’Américaine.  » C’est votre privilège d’Américaine ; ce n’est cependant pas un privilège que Dieu vous a donné. Une brebis… Une chèvre s’agitera toujours, mais une brebis se tiendra tranquille et abandonnera ses droits. Voyez ? Si vous êtes un véritable enfant de Dieu, vous abandonnerez vos droits d’Américain au Saint-Esprit, vous Le laisserez vous modeler et faire de vous ce que vous devriez être.  » Encore une fois, Seigneur.  » Oh ! la la !
E-144 Oh ! Eglise, abandonnez la Délila d’Hollywood ; elle va vous tuer. Elle fera sortir la vie spirituelle de vous en vous suffoquant. Abandonnez-la. Vos mises en scène d’Hollywood sur l’estrade. Votre Hollywood, vos clinquants, notre réunion ressemble en grande partie au reste du monde ; ce qu’on a dans les plus grandes églises. Un évangéliste va dans une ville, vous devez lui promettre beaucoup d’argent sinon, il ira pas là. Comme c’est ridicule ! Cela montre là où se trouve votre trésor, c’est là que se trouve votre cœur. Tournez-vous de tout votre cœur vers Dieu et vers Sa Parole, et crions :  » Encore une fois, Seigneur. Encore une fois, manifeste Ta Présence. « 

Extrait de la brochure « Encore une fois seulement, Seigneur », prêchée par William Branham  le 20 Janvier 1963

31Déc/15
un sermon vécu vaut mieux qu'un sermon prêché

Un sermon vécu vaut mieux qu’un sermon prêché

1.  Inclinons la tête juste un instant. Notre Bienveillant Père céleste, nous sommes très heureux ce soir d’avoir cette communion ensemble, et du fait que Tu nous as rassemblés. Ce merveilleux cantique a vraiment ravi nos cœurs : « Le Puissant Conquérant. » Nous sommes très heureux de savoir qu’Il est ici ce soir pour déchirer tout voile qui est entre Lui et nous. Ô Dieu, je Te prie d’ôter, des yeux des gens, tout voile de ténèbres ce soir, et que ce voile soit déchiré en deux, de sorte que les gens voient le Seigneur Jésus dans Sa puissance.
Que le pécheur vienne, se prosterne et se repente de ses péchés. Que le rétrograde se fraye un chemin vers la Maison ce soir. Que le voile s’enlève pour lui aussi. Et pour les pauvres, les malades et les nécessiteux, que le voile soit aussi déchiré pour eux. Et puisse ceci être la soirée de grande joie, car nous le demandons pour la gloire de Dieu, au Nom de Son Unique et Bien-aimé Fils, Jésus-Christ. Amen.

2.  C’est vraiment un privilège pour moi ce soir! Je suis venu tôt pour suivre ce merveilleux cantique. Généralement, je ne fais pas ça. Et – et j’ai apprécié le ministère de mon frère Bosworth : sa prédication, son enseignement, il est… il enseignait cet Evangile alors que j’étais un – probablement avant ma naissance. Et je… Ça me fait du bien de l’entendre, ô comme il peut toujours lier Satan par les Ecritures et…
Je l’ai suivi dans des discussions, des débats, et je vous assure qu’il prêche la Parole de telle manière que le – Satan ne peut absolument pas rester là où il se tient. Et quant à la voix, il n’a certainement pas une voix forte, peut-être, comme certains, mais il sait certainement de quoi il parle. Et c’est depuis plusieurs années que je connais frère Bosworth, et je sais que sa vie… Ce n’est pas étonnant que Dieu exauce ses prières, il vit ce dont il parle. Vous savez, un sermon vécu vaut mieux qu’un sermon prêché. Vivez-moi un sermon, c’est de loin mieux.

Extrait de « Ayez bon courage » de William Branham, prêché le 21 Juillet 1954

30Déc/15
WilliamBranham

Venant à la communion

E-5 Bien, je pensais que peut-être ce soir, ce serait une soirée consacrée à la communion. Et j’apprends qu’on a tenu un service de baptême et qu’on va en tenir un autre. J’aime venir pour – pour la communion. La fois passée, j’ai manqué cela pour n’avoir pas été ici. J’ai manqué cela. Et je savais que ceci est le premier dimanche, c’est pourquoi j’ai pris des dispositions pour être ici, afin de pouvoir prendre part à la communion ce soir. En effet, je pense vraiment que c’est le devoir de tout chrétien de prendre la communion. La Bible dit : « Si vous ne prenez pas ceci, vous n’avez point de part avec Moi. » Et je crois que c’est un – un moment d’épreuve pour les Chrétiens. Si nous ne la prenons pas, nous n’avons point de part avec Lui. Et si nous la prenons indignement, nous sommes alors coupables envers le Corps et la mort de Christ. Ainsi, cela amène le chrétien au point où il reste en prière. Ainsi, en venant à la communion, on devrait venir avec révérence, solennité et sainteté, s’en approcher en confessant toutes nos fautes, en priant les uns pour les autres. Pas seulement cela, mais nous devrions sentir… S’il y a parmi nous un frère ou une soeur que nous pensons être un tout petit peu sorti de la ligne quelque part, la nuit de la communion, nos coeurs devraient avoir un fardeau pour cette personne, surtout pour les rencontrer, afin qu’ils soient en mesure de s’approcher pour prendre la communion et ne pas être condamnés avec le monde, car ce sont nos frères et soeurs.

Prédication « Que votre Lumière luise ainsi devant les Hommes (Le Panneau Publicitaire de Dieu) », préchée le 1963, William Marrion Branham

28Déc/15
prier les uns pour les autres

Une prière remplie de sincérité

14     Il y avait un petit–petit garçon, une fois, dans le sud, dont on–on racontait qu’il s’était agenouillé au milieu d’un rang qu’il venait de labourer. Et un–un membre du clergé qui passait par là a entendu ce petit garçon qui récitait l’alphabet: «A, B, C, D», et ainsi de suite; et comme il était à genoux, le membre du clergé était fort troublé. Donc, il a entendu ce petit garçon réciter l’alphabet, et dire ensuite: «Amen.»

15     Et, comme il se relevait, eh bien, le membre du clergé lui a parlé, il a dit: «Fiston, je suis un… le serviteur du Seigneur. Je t’ai entendu prier, mais tu ne faisais que réciter l’alphabet. Et je–je ne comprends pas pourquoi tu ne faisais que réciter l’alphabet.»

16     Il a dit: «Monsieur, je–je ne sais pas prier.» Il a dit: «Je–je n’ai jamais prié. Mais ma mère et mon père qui sont déjà partis au Ciel, eux, ils priaient.» Et il a dit: «Maman, je… elle est morte quand j’étais tout petit garçon. Mais je me rappelle l’avoir entendue, quand elle avait des problèmes, elle s’adressait au Seigneur, elle priait. Et j’étais tellement jeune quand elle est morte, qu’elle n’a pas pu m’apprendre à prier. Et on m’a placé sous la responsabilité d’une personne méchante, qui me bat et me maltraite. Et je–je… pensais qu’après avoir appris mon alphabet, peut-être que si je prenais tous les–les mots, que je récitais toutes les lettres, qu’Il serait peut-être capable de les assembler pour comprendre ce que j’ai voulu dire

17     Voilà une prière remplie de sincérité. Bien sûr qu’Il serait capable de les assembler. Ce n’est pas notre manière de prier, ce qui sort de nos lèvres, mais c’est notre motif, dans notre cœur, que Dieu entend. Parfois Il n’entend pas nos lèvres, Il entend notre intention, ce qu’il y a dans notre cœur, notre motif.

Extrait de l’  » Imitation du christianisme », prêché le 20 Janvier 1957, par William  MARRION BRANHAM

25Déc/15
Bible rayonnante

Que devons-nous donc faire ?

  1. Que devons-nous donc faire ? Nous lever et refléter la Lumière de Dieu à ceux qui sont mourants. Dans l’obscurité profonde de ce monde, nous devons refléter et faire briller la Présence du Seigneur Jésus dans Sa puissance de la résurrection. Ce qu’Il était hier, Il l’est aussi aujourd’hui afin qu’on Le reflète.
  2. Mais rappelez-vous une fois de plus que l’Etoile, après qu’elle a terminé sa course, elle ne reçoit donc aucun honneur. L’Etoile avait tout simplement amené les gens à leur destination, et leur a montré cette Lumière parfaite. Et nous, en tant que membres du corps de Christ ce matin, mes amis, nous sommes les lumières de Dieu, mais nous ne recevons aucun honneur pour nous-mêmes. Lorsque nous avons notre – notre patient, et notre – et notre personne que nous conduisons, lorsque nous les avons, nous devons mettre de côté notre honneur et les conduire à la grande et parfaite Lumière qui brille, pour illuminer le chemin de tout homme qui vient au monde, le Seigneur Jésus-Christ : pas un mythe appelé père Noël, pas une église dénominationnelle ; mais cette vraie et parfaite Lumière, Jésus-Christ, le Fils du Dieu vivant.

Extrait de « LA GRANDE LUMIERE BRILLANTE » de William Branham, du 22 Décembre 1957, Traduction SHP